• « SI , LOIN DE TOI ... » 

     

    Pr’essayer de toucher ton cœur , j’ai appris « l’émotion » par cœur :

    Quelques phrases qui rimes , une mélodie facile ;:

    Une octave de ma voix et quelqu’ « palapapa »!

     

    Je veux encore croire au bonheur , bien sur effacer tous les pleurs :

    Mes phrases malhabiles, qui froissent et qui abîmes ,

    Effacées , j’ te promet , de mon vocabulaire ...

     

    J’espère bien qu’un jour toi tu m’reviendras

    Qu’on pourra encore mieux  se serrer  dans nos draps

    Entre nos « quatre murs » , sans habits sans « armures »,

    Te murmurant à l’oreille de plus belles choses …

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

         Pardonnes moi et saches que :  « - Ce n’était pas pour mettre « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !

     

    Je m’étais perdu sur la scène (ou) ,  dev’nu sourd à cause des « larsens »?

    Plongé dans ma passion , noyé d’ mes illusions, :

    Pour une fois dans ma vie , un vrai « feu d’artifice » !

    Et tous ces gens qui m’ont conduis  ,  ceux qui m’ont toujours applaudi ,

    Dans mes grands découchés , mes dimanches manqués :

    Un métier qui demande beaucoup de sacrifices !

     

    Je commence aujourd'hui à regretter ce temps :

    J’composé qu’ pour toi dans notre appartement :

    Solitaire , anonyme  ...; un public magnanime

    Qu’tu r’présentais seule applaudissant mes airs ...

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

             Pardonnes moi et saches que :  « - Je ne mettrais jamais « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !

     

    J’essaie de rallumer la flamme , éteinte à force de toutes les larmes                            

    Que j’ai trop fait couler , ... je sais … j’en ai trop  fait ! :         

    Comment n’ pas comprendre ton départ sans laisser d’ traces?                                  

                                                  

    Il me manque une « part » , ma « moitié »  et c’est moi qui l’a condamné :                                          

     J’t’cherche dans mon sommeil   ; des cauchemars me réveillent : 

    Je me rends compte maint' nant que rien n’ te remplace           ...                               

                           

    J’espère' que très bientôt te parviendra ce chant ,                                           

    Pourqu’tu reviennes chez nous, là où triste, j'attends:                                      

    La maison renaîtra au seul son de ton rire        ! ..                              

    Et R’viendrons dans ma voix les mots que tu  désires ...et 

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

        Pardonnes moi et saches que :  « - Ce n’était pas pour mettre  « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est d’te « chanter » … chanter ma façon d’aimer SI , … LOIN DE TOI , ...

     

    Paroles et Musique : Patrick Moltaldo

     

     


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  • AMOUR MUSIQUE

    Ton amour est un sol

    Sur la gamme de mes accords

    Une douceur qui me rassure

    Sur des notes majeures

     

    La musique s’envole

    Sous les traits de ma plume d’or

    Effaçant toutes mes blessures

    Et leurs notes mineures

     

    Nos amours en musique

    Sont teintées d’harmoniques

     

    Ton amour est un mi

    Sur la gamme des cœurs perdus

    Mais si jamais tu me quittais

    Ma vie serait futile

     

    Partition sans surprise

    Des demi-croches suspendues

    Un silence sur la portée

    Mélodie inutile

     

    Nos amours en musique

    Sont teintées d’harmoniques

     

    Ton amour est un fa

    Dièse vers la tombée du jour

    Soleil couchant sous les étoiles

    Habillées de lumière

     

    Retrouver nos ébats

    Tes bras et ta peau de velours

    Une symphonie sous le voile

    Bleu nuit de mes paupières

     

    Nos amours en musique

    Sont teintées d’harmoniques

     

    Pont musical

     

    Nos amours en musique

    Sont teintées d’harmoniques

     

    Ton amour est un do

    Un bonheur sans moderato

    Un violoncelle et un alto

    Qui m’emportent plus haut

     

    Nos amours en musique

    Nos amours en duo

    Sont teintées d’harmoniques

    Tout en allegretto

     

    Nos amours en musique

    Nos amours en duo

    Sont teintées d’harmoniques

    Tout en allegretto

     

    Paroles et mélodie   Marie-Noëlle RINAUDO
    Arrangements  Giovanni PANARIELLO
    chanson déposée à la SACEM


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  • TU PEUX TOUT PRENDRE

    (Paroles & mélodie: Alain GUERIN)

    - Sur la base d'un arrangement musical de: Michel VALLEE -

     

    Tu peux tout prendre et au-delà,

    Toujours t’attendre je ne fais qu’çà.

    J’ai tous mes jours, mes nuits et mois,

    Dans mon amour le temps n’compte pas.

    C’est plus un cœur qui cogne en moi,

    Une douleur je ne sais quoi ?

    Une peur, un doute, un truc comme çà,

    Une déroute, plus quelquefois.

    Après les peines, y’a de la joie,

    Mais pour les miennes, il y’en a pas.

     

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

     

    Tu peux tout prendre et au-delà,

    Je suis de cendre, je n’suis plus moi.

    Chaque fois qu’tu pars j’suis aux abois,

    Tous ces départs dis-moi pourquoi ?

    Je suis vivant quand tu es là,

    Et puis absent quand tu t’en vas.

    Dans les coups d’chaud qui me donne froid,

    Je tombe de haut pourtant j’y crois !

    Au mois de Mai vient le lilas,

    Mais tes regrets ne fleurissent pas.

     

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

     

    Tu peux tout prendre et au-delà,

    Je veux me rendre, mort au combat.

    Un g’nou à terre croisant les doigts,

    Toutes mes prières celles que j’envoie,

    Cherchent des « Dieux » ou une voix,

    On dit qu’aux cieux, il y en a.

    Pouvoir leur dire mon désarroi,

    Qu’il y’a pas pire et qu’ici bas,

    Sans de l’amour on ne vit pas,

    Que chaque jour, le mien s’en va.

     

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

     

    Tu peux tout prendre et au-delà,

    Même me vendre à qui voudra.

    Je suis ta chose, en manque de toi,

    Comme l’overdose qui cherche un bras.

    Tu es ma blanche, ma poudre à moi,

    Je reste en manque quand y’en a pas.

    Pour m’évader, j’me drogue, je bois,

    J’me laisse aller, mourir parfois.

    Dois-je faire mon deuil, porter ma croix

    Et rester seul dans l’immédiat ?

     

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

     

    Tu peux tout prendre et au-delà,

    Voir me descendre avec sang-froid.

    J’ai l’air de rien, mine de quoi ?

    Un bon à rien qu’on montre du doigt !

    Qui pleure de mal, rit sans éclat,

    Et devient sale et cetera.

    Je me demande qui sonne le glas,

    A s’y méprendre, je pense à moi.

    Tout est fini et puis voilà,

    Encore cette nuit qui reviendra.

    Tout est fini et puis voilà,

    Encore cette nuit qui reviendra.

     

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

    Tu peux tout prendre…

     


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  • MAIS QU'EST-CE QUE TU DEVIENS?

    (Paroles & musique: Alain GUERIN)

     

    Tu joues velours sous tes satins quand tu les froisses,

    Tu vas au four, j'reste au moulin et je m'efface,

    Tu dis qu'un pour, c'est plus qu'un moins dans tes audaces.

     

    Tu dis toujours que tu reviens quand tu te casses,

    Et que l'amour çà fait du bien là où çà passe

    Qu'un petit tour si c'est pas loin ne laisse pas d'trace.

     

    Mais, qu'est-ce que tu deviens

    Si je m'en vais, si je te quitte?

     

    Tu fais tes tours et je n'suis rien pour tes passe-passes,

    Aux jeux-concours, tu prends la main je bois la tasse

    Et dans la courre vers les lapins, je garde ta chasse.

     

    Sous tes faux-jours au p'tit matin tu r'fais surface,

    Tous mes discours et mes refrains te laissent de glace.

    Mes "au-secours" et mes trop pleins, tout çà t'agace.

     

    Mais qu'est-ce que tu deviens

    Si je m'en vais, si je te quitte?

     

    Tu dis qu'un jour il faudra bien que je me fasse,

    A tes détours, dans les amours qui me remplacent

    Et qu'en retour, si tu l'veux bien je gard'rai ma place.

     

    Mais qu'est-ce que tu deviens

    Si je m'en vais, si je te quitte?


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  • CONFITURE, BLUES ET CAFÉ NOIR

    Le jour est âgé

    De six heures

    Et dix-huit minutes

     

    Bientôt le lever

    Et j’ai peur

    De faire la culbute

     

    C’est toujours pareil

    Chaque matin

    Un morceau de stress

     

    Dès que le réveil

    Fait du foin

    Tuant ma paresse

     

    J’ai le blues dès que le sommeil s’efface

    J’ai le blues en sortant de mon plumard

    J’ai le blues en entrant dans la baignoire

    J’ai le blues en me voyant dans la glace

     

    Matin chagrin

    Dans le brouillard

    Matin cafard

    Pas très malin

     

    Le jour est âgé

    De sept heures

    Et quatre minutes

     

    Le p’tit déjeuner

    Le pain beurre

    Une tache et zut

     

    C’est toujours pareil

    Chaque fois

    Faut que je renverse

    Confiture ou miel

    Sur mes doigts

    Mon pull ou ma veste

     

    J’ai le blues devant mon café tout noir

    J’ai le blues dès que j’ai bu une tasse

    J’ai le blues je dois soulever ma carcasse

    J’ai le blues de la journée qui démarre

     

    Matin chagrin

    Sur le trottoir

    Matin cafard

    Pluie et crachin

     

    Matin chagrin

    Sur le trottoir

    Matin cafard

    Pluie et crachin

     

    Mais voici que je t’aperçois

    En face de la boulangerie

    Tu me vois et tu me souris

    Une bise et on s’ prend les doigts

     

    C’est le début d’une aventure

    T’es boulangère et moi cuistot

    Je m’ suis levé un peu plus tôt

    Car aujourd’hui c’est fermeture

     

    J’ai plus le blues

    J’ai plus le blues

    J’ai plus le blues

    J’ai plus le blues

     

    Matin velours

    Sur nos deux cœurs

    Matin bonheur

    Sur notre amour

    Bernard PICHARDIE

     


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