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« IL MANQUE UN SENTIMENT »
Cette chanson fut inspirée par un texte de Bernard Pichardie
Tout prés du téléphone posé sur le bottin,
À même le plancher,
Se trouve son calepin :
À la douzième consonne, la page pleine à moitié,
Mon numéro noté est situé à la fin
Un contenu « basic » pour une jeune femme libre,
Des estimes logiques comme maintient de l’équilibre.
Elle m’appelle souvent, c’est pas d’ça que je me plains ;
Mais qu’ j’sui pas l’ « amant », juste un meilleur copain ...
Ref : Il manque un sentiment dans « l’appel » ...
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle,
Je demande ce qui est dû : juste une main tendue :
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
Absente préoccupée, quand j’l'invite à manger
Dissipée, débordée, elle pourra pas passer ...
Une pensée d’amitié ; « salut à la prochaine »
J’raccroche le combiné, je n’éprouve aucune haine
Pas d’ranqueur amère, pas de colère aigüe,
Mais consterné, dépité, à la voir m’éviter
Je sais qu'elle compte sur moi comme un frère un cousin
Les confidences ne s’f’’ront, jamais sur le coussin
Ref : car il manque un sentiment dans l'appel
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle ...
Je demande ce qui est dû : juste une main tendue !
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
De grandes et bonnes excuses pour des lapins posés
Regret quand elle refuse parfois de m’accompagner
Ravie de me retrouver, heureuse de me connaître
Rassurée, rassasiée quand elle reçoit mes lettres
Inquiète, solidaire aux mauvaises nouvelles
À nos manques de moral, à, « jeter » aux poubelles.
Sérieuse, autoritaire quand elle fait sa « police »,
Elle sait quand ça fait mal à subir l’injustice ...
Ref : Mais il manque un sentiment dans « l’appel » ...
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle
Je demande ce qui m’est dû : juste une main tendue ! :
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
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« J’AIMERAIS »
Texte de Mireille Fayollet
Musique de Patrick Moltaldo
J’aimerais voir le monde en perle d’Univers
Une Terre où le vent ne saurait que danser
J’aimerais que les Hommes aient le droit d’aventure
Au lieu de travailler pour payer leurs factures
Je rêve d’utopie au fond de mon panier
Je pourrais l’échanger contre ma poésie
Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé
Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer
Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves
Accueillent en leur berceau un petit nouveau-né
Je tresserai pour lui mes derniers cheveux blancs
Pour qu’un tissu d’argent orne de jour sa nuit.
Je saurai dévider l’écheveau de mes veines
Et broder un manteau de plumes et de soleil
Je me nourrirai d’ombre et tairai les silences
En vue d’ouvrir les ondes aux mélodies feutrées
Je veux bien embarquer sur un radeau de muses
Et me perdre aux remous d’un poème hors de sens
Errer sur l’océan d’un univers sans lune
Voir mon aube s’éteindre à la lumière du soir
Les rivières de l’oubli perfusées dans mes peines
Pour combler ce désir de mon enfant qui saigne
Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé
Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer
Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves
Accueillent en leur berceau, un petit nouveau-né
J’aimerais que là-haut, tout en bas, où ailleurs,
Une graine de pluie déniche dans l’Ether
Un petit bout de fruit, une fleur à mûrir
Petit Etre en futur dans le jardin des limbes
Entends-tu les doux sons qui s’unissent pour toi
Le cœur d’une maman dans le chœur d’un papa ?
Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé
Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer
Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve
En offrant un berceau à l’enfant espéré …
Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé
Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer
Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve
En offrant un berceau à l’enfant espéré …
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PAUSE
Le vent dans les branchesFrissonnement des feuilles
Tout près de l’accueil
Et du pain sur la planche
Un verre de vin doux
Le miaulement du chat
Un rire en éclats
Un baiser sur la joue
Velours
Tendresse
Lueurs
Ivresse
Amour
Pétales
Bonheur
Cigale
( pont musical )Mitan du voyage
Les rayons du soleil
Repos sous la treille
Juste quelques images
Le chant d’un oiseau
La vie au ralenti
Rêves sous abri
Le murmure de l’eau
VeloursTendresse
Lueurs
Ivresse
Amour
Pétales
Bonheur
Cigale
Bernard PICHARDIE
texte déposéMusique : Julian Renan
Ecrit pour la comédie musicale : RENCONTRES
le site http://chantsongs.e-monsite.com
le blog http://bernardpichardie.centerblog.net
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QUAND LE TEMPS EST TROP DUR
Quand le temps est trop dur
Aux alentours
Que tu manques d’air pur
Au carrefour
Ton amour te murmure
Vers ton cœur lourd
Des mots qui te rassurent
Te font la cour
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Juste une enluminure
À ton secours
Pour soigner les blessures
Qui te parcourent
Ton amour ligature
Sous l’abat-jour
Tes petites fêlures
Avec humour
Des mots d’humour
Des mots tout fous
Des calembours
Tout partout
Des mots d’humour
Des mots tout fous
Des calembours
Tout partout
T’attends sous ta toiture
Au petit jour
Un frisson en bordure
De tes contours
Ton amour te procure
Sans grand discours
Des p’tits bonheurs qui durent
Sur ton parcours
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Quand le temps est trop dur
Aux alentours
Que tu manques d’air pur
Au carrefour
Ton amour te murmure
Vers ton cœur lourd
Des mots qui te rassurent
Te font la cour
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Des mots d’humour
Des mots tout fous
Des calembours
Tout partout
Des mots d’amour
Des mots tout doux
Et de velours
Tout partout
Texte & musique : Bernard PICHARDIE
Arrangement musical : Lucien Neboit
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LES PLEURS DE MON COEUR
Les pleurs de mon cœur
Sont une chanson
Et je sens mon cœur
Qui bat sans raison
Pour toi
Je ne pense qu'à toi,
Je ne vois que toi
Pour notre amour mon cœur
Aimes- moi !
Dans mon cœur d'enfant
Les rêves se pressent
Et je sens gaiement
La joie qui m'oppresse
Pourquoi ?
Je ne pense qu'à toi
Je ne vois que toi
Pour notre Amour mon cœur
Aimes- moi !Vingt ans ont passés
On s'est retrouvés
Et là sur ce banc
Je veux te parler
à toiJe ne pense qu'à toi
Je ne vois que toi
Pour notre Amour mon cœur
Aimes- moi !Les pleurs de mon cœur
Sont secs à présent
Et toi belle fleur
Plus fière comme avant
Tu vois !Le temps est passé
Sur nos cœurs blessés
De nos anciens bonheurs
Souviens-toiOn a dans nos cœurs
Des souvenirs d’enfants
Refaisant nos bonheurs
Assis sur ce banc
De bois.Il est trop tard à présent
Pour se l’avouer
Et, ne pourra-t’on
Jamais se pardonnerDe n’avoir su simplement s’aimer
Alain SORGE SACEM : T-04.898.794.5
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