• MOI LE MAGICIEN DE L'ECRITURE

    Moi, le magicien de l'écriture.

    En moi, j'ai besoin de cette armure.

    C'est le soin qui ne fait pas mal.

    C'est le témoin qui m'a redonné le mental.

    Ce n'est pas du foin sur mon papier.

    C'est juste le coin du Paradis qu'il me fallait.

    Je ne suis pas l'assassin de la rime.

    Et je ne suis pas le bourrin de la frime.

    Je veux des câlins par millier sur moi.

    Je veux du bien sur ma beauté en moi.

    C'est certain, je suis le poète nouvelle génération.

    Mais c'est rien de le dire, je vis dans une fête,

    où le soleil est ma consolation.

    Moi, le magicien de l'écriture.

    Sur moi, j'ai faim de cette aventure.

    C'est le dessin qui est original.

    C'est le chemin qui est loyal.

    Ce n'est pas du chagrin sur ma feuille.

    C'est juste le copain de ma vie, qui me fait un clin d'œil.

    Je ne joue pas le malin dans le slam.

    Mais j'ai tout dans mes mains qui s'entame.

    Je veux des lendemains dans la tendresse.

    Je veux mon destin dans la richesse.

    C'est divin, de composer à longueur de journée.

    Mais ce n'est rien, à côté d'un cœur qui veut aimer.

     

    Moi, le magicien de l'écriture.

    En moi, j'ai besoin de cette armure.

    C'est le soin qui ne fait pas mal.

    Moi, le magicien de l'écriture.

    Sur moi, j'ai faim de cette aventure.

    C'est le dessin qui est original.

     

    Texte de François Lehembre

    Musique de Julian Renan

     


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  • LE CHATEAU DE L'ESPERANCE

    J'fais la cour debout.

    J'ai de l'amour sur les joues.

    J'écris jour après jour avec goût.
    J'fais un tour dans le domaine.

    J'y savoure la fontaine.

    Je souris au retour de ma Reine.
    J'adresse des roses à ma dulcinée.

    Je dresse de la prose sur papier.

    Je cesse le morose sur mes traits.
    J'aligne les rimes.

     Je souligne l'illégitime.

    J'indigne le richissime.

    Le château de l'espérance.

    berceau de la tolérance.

    Flambeaux pour la paix.

    Drapeaux pour l'égalité.
    Le château de l'espérance.

    Renouveau et délivrance.

    Oiseaux blancs pour la pureté.

    Bateaux flottants pour la liberté.

    J'rêve toutes les nuits.

    J'enlève les doutes et l'insomnie.

    Je m'élève et écoute les mélodies.
    J'fais que penser à mon hirondelle.

    J'fais que bronzer au soleil.

    J'fais que dessiner à l'aquarelle.
    J'suis acteur de ma vie.

    J'suis preneur pour l'envie.

    J'suis acheteur pour les rubis.
    J'ai besoin d'une âme-sœur.

    J'ai les refrains dans la flamme de mon cœur.

    Afin d'attirer une femme de couleur.

    Le château de l'espérance.

    Cadeau de la bienveillance.

    Gâteaux pour le partage.

    Joyaux pour l'habillage.
    Le château de l'espérance.

    L'anneau de la reconnaissance.

    L'eau pour la bénédiction.

    Les tonneaux pour la réconciliation.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     


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  • Cent jours et cent nuits

     

    Cent jours et cent nuits.

    En ta compagnie.

    C'était vraiment un amour de folie.

    Dans ma vie.

    Les secondes étaient des heures.

    Sur ce Monde de couleur.

    Sans que gronde la douleur.


    Cent jours et cent nuits.

    En ta présence.

    C'était tellement court, mais joli.

     Dans le silence.

    Tes câlins étaient profonds.

    Tous les matins, très bons.

    Surtout avec tes petits soins à l'horizon.


    Cent jours et cent nuits.

    Prés de ton corps.

    J'étais totalement dans la cour du Paradis.

    Emerveiller par tant d'or.

    Tes baisers étaient d'une saveur absolue.

    Ta pureté était une fraîcheur, qui m'a plus.

    Ta sincérité était une valeur sur l'Avenue.


    Cent jours et cent nuits.

    Dans cette histoire parfaite.

    C'était touchant, comme le velours d'une poésie.

    Mais dès à présent, c'est la tempête.

    Et noir dans ma tête.

    Mais l'espoir à fait de moi un poète.

    Pour pouvoir continuer ma voie dans la fête.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     


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  • FATRAS DE MOTS

    Joël Maillard (14 janvier 2011)

    Vapeurs de brume, ciel qui s’allume, lumière éteinte, où sont mes plaintes ?

    Dans le brouillard, lueur d’espoir, et je m’endors, Tel est mon sort

     

    Mon parapluie est si petit, je vois la mer au fond d’un verre

    Je bois la mer dans le désert, un coquillage sonne l’orage

     

     ll est midi, je suis au lit, un ascenseur dans la douleur

     Plume qui vole, plus de pétrole, je vois un phare dans un miroir

     

    J’attends la mort, sans un remords, et mes chagrins volent au loin 

    Sur un radeau, je vois des mots, et des regards, remplis d’espoir

     

    Fleurs sur la lune, c’est la fortune, qui ce matin, semble si loin

    Lueur d’espoir dans un regard, Et ton sourire, fuit mon délire

     

    Un doryphore, berce mon corps, Berce mon âme, souffle ma flamme

    C’est un péché, faut le partager, Dieu me pardonne, je ne suis qu’un homme

     

    Et pour finir, Je dois bien dire, les papillons sont des poissons

    Et je termine, ma triste mine, dans le miroir, donne l’espoir

     

    Une parenthèse, couleur de braise, et mon chapeau me dit ces mots

    Tant de couleurs, l’odeur des fleurs, tant de parfums n’y changent rien

     

    Tant de prisons, tant de pigeons, tant de couillons qui tournent en rond

    Tant de pigeons, j’oublie les noms de ces couillons qui tournent en rond.



    Mélodie : Joël Maillard

    Arrangements musicaux : Julian Renan

     


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