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     LA SAMBA PARISIENNE

     

    Texte et musique Alain Sorge

     

    Sous le ciel de Paris

    C’est la grande fiesta

    C’est la fête aujourd’hui

    Et tout le monde est là

    A danser la Samba La nuit comme le jour

    On rit on chante on boit

    Jusqu’au …le…ver ….du….. jour

     

    Refrain

    C’est la fête foraine

    La reine de ces jours

    Ici on se déchaîne

    A danser dans les cours

    La Samba …Samba toujours !

     

    Et, Du Sud jusqu’au Nord

    Les rues sont pavoisées de fleurs multicolores

    Et de rubans dorés

    Les enfants sont les rois

    Et courent de partout

    Ils crient toute leur joie

    Et chan..tent ….comme…. des ….fous

     

    Refrain

     

    On frappe dans nos mains

    On s’embrasse de partout

    On veut que les demain

    Soit toujours aussi fous

    Lorsque le jour paraît

    Les gens vont se coucher

    Ils sont très fatigués à for..ce ….de… dan…..ser

     

    Refrain

    Instrumental

     

    La samba brésilienne

    Qui est pour quelques jours

    Une samba Parisienne

    Une danse de l’Amour

    La Samba, Samba toujours

     

    Sous le ciel de Paris

    C’est la grande fiesta

    On crie, on chante, on rit

    Et tout ca dans la joie

    On y danse la Samba

    La nuit comme le jour

    On rit on chante on boit

    Jusqu’au… lever… du ….jour

     

    La samba parisienne

    Que l’on danse nuit et jour

    La Samba cette reine

    Cette reine d’Amour

    La Samba …Samba ………………toujours !

     

    Ici il fait si bon

    De ne pas travailler

    A chanter des chansons

    Sans trop se fatiguer

    A danser la Samba

    La nuit comme le jour

    On rit on chante on boit

    Jusqu’au …lever ….du….. jour

     

    La Samba …Samba ………………toujours !


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  • LETTRE D’ADIEU SANS POST-SCRIPTUM

     

    Texte : Jacques Mège

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    La vie est un capharnaüm

    Aucun de nous n’est économe,

    Abusant de chair et de rhum

    Toujours le même décorum

    On voudrait bien aimer les hommes

    Oui mais souvent ils nous assomment

     

    Lettre d’adieu sans post-scriptum

     

    Au milieu du grand aquarium

    On est heureux ou on fait comme

    Même l’amour ad libitum,

    Quand on croit toucher au summum

    Prend la forme d’un minimum

    Et se termine en erratum

     

    Lettre d’adieu sans post-scriptum

     

    Avec la télé pour opium

    On veut faire partie du barnum

    Participer au grand forum

    Mais il manque un curriculum

    On se retrouve comme une pomme

    Alors tintin pour le podium

     

    Lettre d’adieu sans post-scriptum

     

    Face au coup du « parabellum »

    L’artiste court et il « slalome »

    Mais il l’aura dans le rectum

    Pour finir au frigidarium

    Et quand s’écrit le dernier tome

    Direction le funérarium

     

    Lettre d’adieu sans post-scriptum

     


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  • Air marin

     

    Texte de Jacques Mège

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    Amère envie pour l’homme à terre

    De l’homme en mer vivre la vie,

    C’est sa famill’ qu’il fout par terre

    Quand il a de la mer l’envie

     

    Et quand un fils dit à sa mère

    Maman c’est la mer qui m’attire

    Sa mère lui dit : fils tu m’atterre

    Ton envie de mer  me déchire

     

    Aimer sa mère, aimer la mer

    ce sont deux amours tour à tour

    Les mères amères se désespèrent,

    toutes les mères sont terre à terre

     

    Les marins des mers font le tour

    Femmes et mères espèrent à terre

    En pleurant au fond de leur cour

    Attendant leur retour à terre

     

    Et cet enfant qu’attir’ la mer

    Dans les remous semblant blêmir

    Bercé par des  remords  amers

    Près du môle où le quai s’étire

     

    Aimer sa mère, aimer la mer

    ce sont deux amours tour à tour

    Les mères amères se désespèrent,

    toutes les mères sont terre à terre

     

    Larguant les amarres vers la mer

    Le fils se tire, la mère est verte

    Deux grosses larmes coulent à terre

    Par ses paupières entrouvertes

     

    Remords amers du fils en mer

    Roulé par les rouleaux de mer

    De voir ainsi son amèr’ mère

    Pleurer à se rouler par terre

     

    Aimer sa mère, aimer la mer

    ce sont deux amours tour à tour

    Les mères amères se désespèrent,

    toutes les mères sont terre à terre

     

    Les fils regrettent en pleine mer

    d’avoir laissé leur mère à terre

    Regrets en mer, genou à terre

    l’amour de la mer désespère

     


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  • Eldorado

     

    Texte de Jacques Mège

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Même si c’est en rêve

    Qu’on parte en odyssée,

    Quitter des yeux la grève,

    C’est déjà voyager

     

    Ne fais pas que survivre,

    Ne fais pas qu’exister,

    Fais de ta vie un livre,

    Une histoire à conter

     

    Des images et des mots, comme un conte de fée

    Parlant d’eldorado, rêvant d’eldorado

     

    Quitter des yeux la terre

    En hissant la grand voile

    S’embarquer pour Cythère

    Regardant les étoiles

     

    Un voyage rêvé

    A parcourir les mers

    Des iles ensorcelées

    Baignant dans la lumière

     

    Comme un conte de fée, voyage imaginé

    Vers un eldorado vers ton eldorado

     

    Tenter d’autres cultures,

    Bercer d’autres idées,

    Vivre une autre aventure

    Oui mais surtout rêver.

     

    Même si c’est en rêve

    Qu’on parte en odyssée,

    Quitter des yeux la grève,

    C’est déjà voyager

     

    Même si c’est en rêve qu’on parte en odyssée,

    Quitter des yeux la grève, c’est déjà voyager

     


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  • Mon désarroi

     

    Ecrit par Anne-Marie le 26 10 2011

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    Pourquoi me fait on souffrir alors que je devrais sourire,

    Y aura t'il quelqu'un pour être là ?

    Pourra t on me laisser une chance de m'en sortir ?

    Je ne comprends plus et je ne sais pas.

     

    Pourquoi continuer de vivre ? même si je m'accroche à chaque instant,

    Savez vous ce que j'endure dans ma vie de chaque jour, non !

    Cette douleur profonde est en moi et elle restera tout le temps,

    Il n'y pas un seul jour où j'y pense, moi seule en connait la raison.

     

    J'ai beau réfléchir, je ne trouve pas le pourquoi ?

    Est ce ma destinée ? Pourquoi est ce tombée sur moi ?

    J'ai beau réfléchir, je ne trouve pas le pourquoi ?

    Une moitié de ma vie gâchée.

     

    Autour de moi, tout semble se compliquer,

    La douleur se liant à mon corps,

    Possédée par la peur de me laisser aller,

    J'ai très mal au cœur d'y songer encore.

     

    De l'abime profond où je tombe, je ne pourrais plus refaire surface,

    Je n'ai plus grand chose à dire, juste ces quelques lignes

    Ecrites sur du papier, comme une trace,

    En mémoire de mon triste vécu, peut être me fera t on un Signe !

     

    J'ai beau réfléchir, je ne trouve pas le pourquoi ?

    Est ce ma destinée ? Pourquoi est ce tombée sur moi ?

    J'ai beau réfléchir, je ne trouve pas le pourquoi ?

    Une moitié de ma vie gâchée.

     

     

     


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