• LE GRAND MANITOU

    Texte de Jean-Claude Dousar (Mai 2012)

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Celui qui sait tout

     

    J’ai prié tant de dieux

    Et rêvé d’autres  cieux

    Mais n’ai pas trouvé ceux

    D’un royaume plus bleu

     

    J’ai parcouru des routes

    Des chemins plein de doutes

    Mis mon âme en déroute

    Sans qu’personn’ ne m’écoute (bis)

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Celui qui sait tout

     

    J’ai scruté l’horizon

    Cherchez des solutions

    Dans bien des religions

    C’était pas folichon

     

    J’ai voulu croire aux hommes

    Consulter des médiums

    Voir mêm’ des astronomes

    J’suis resté autonome (bis)

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Celui qui sait tout

     

    Instru

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Celui qui sait tout

     

    J’ai voyagé partout

    J’ai vu des marabouts

    Ils sont venus à bout

    De mes tous derniers sous

     

    J’ai voyagé partout

    J’ai  vu des marabouts

    J’en suis venu à bout

    Je n’ai plus rien du tout (bis)

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     Celui qui sait tout

     

    Où est-il le grand manitou

    Où est-il     celui qui voit tout

    Où est-il le grand manitou

    Celui qui sait tout


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  • Jaouen et Tabarly

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Combien de temps en mer entre Vannes et Gander

    depuis longtemps Pen-Duick n'est plus à Bénodet

    Jaouen le vieux pêcheur voudrait bien s'embarquer

    et au large Molène subit grains et ondées.

     

    refrain

    Une vie toute entière laisse bien des regrets

    une clé peut se perdre et la serrure rouiller

    un bateau sur la mer une femme sur un quai

    un amour qui se perd et passent les années.

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.

     

    Des souvenirs au cœur un cœur un peu lassé

    qui fixe l'océan mais veut encore rêver

    il revient chaque jour pour regarder le quai

    d'où il a jeté l'ancre pendant bien des années

     

    Une vie toute entière laisse bien des regrets

    une clé peut se perdre et la serrure rouiller

    un bateau sur la mer une femme sur un quai

    un amour qui se perd et passent les années.

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.

     

    Il voudrait une fois avant de tout quitter

    pour retrouver Terre-Neuve et ses lacs gelés

    retourner vers le nord contre vents et marées

    pour sentir et revoir flux et reflux iodés.

     

    refrain

    Une vie toute entière laisse bien des regrets

    une clé peut se perdre et la serrure rouiller

    un bateau sur la mer une femme sur un quai

    un amour qui se perd et passent les années.

     

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.

     

    Derrière sa barbe blanche et ses yeux délavés

    regardez son sourire et ses traits burinés

    c'est un vieux loup de mer qui n'a pas oublié

    ni les coups de tonnerre ni les cabans mouillés.

     

    refrain

    Une vie toute entière laisse bien des regrets

    une clé peut se perdre et la serrure rouiller

    un bateau sur la mer une femme sur un quai

    un amour qui se perd et passent les années.

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.

     

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre peine

    Kénavo Kénavo

    Jaouen et Tabarly

    la mer est votre lit.


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  • AMOURS INSULAIRES

     

    Texte de Jacques Mège

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Une belle métisse

    Est au fond de mon verre

    Et chaque soir s’immisce

    En un rêve éphémère

     

    Ce ne sont que prémices

    Pour amours incendiaires

    Image évocatrice

    D’une belle croisière

    Refrain

    Voir quelques reflets d’or

    Sur la voute stellaire

    Heureux conquistador

    Et course aventurière

    Visa sur passeport

    Pour amours insulaires

    Dans le bouge d’un port

    Pas très loin du cap vert.

     

    Voir sa peau de réglisse

    Et sa brune crinière

    Dans les ombres complices

    Le désir s’accélère

     

    Heureuse inspiratrice

    Elle est ma passagère

    A ses pieds je me glisse

    Esclave volontaire

    Refrain

    Voir quelques reflets d’or

    Sur la voute stellaire

    Heureux conquistador

    Et course aventurière

    Visa sur passeport

    Pour amours insulaires

    Dans le bouge d’un port

    Pas très loin du cap vert.

    Sur le sable qui crisse

    Nouvel itinéraire

    Tout au long de ses cuisses

    Et ses doux hémisphères

     

    En un doux sacrifice,

    A genoux, en prière

    Nos étreintes franchissent

    Les ultimes frontières

    Refrain

    Voir quelques reflets d’or

    Sur la voute stellaire

    Heureux conquistador

    Et course aventurière

    Visa sur passeport

    Pour amours insulaires

    Dans le bouge d’un port

    Pas très loin du cap vert.

     


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  • Triste terre

     

    Texte de Jacques Mège

    Musique & Interprétation Julian Renan

     

    Mon Dieu qu’elle est triste ma terre

    De voir se perdre ainsi les hommes

    Et de voir certains de leurs frères

    Jouer au milieu des atomes

     

    Voir les squelettes calcinés

    Des tours de Manhattan brûlantes

    Et cette centrale éventrée

    Dans la campagne agonisante

     

    Mon Dieu qu’elle est triste ma terre

    Les peuples marchent à grand pas

    Vers la porte des cimetières

    Les églises ont sonné le glas

     

    Tandis que les dictateurs chantent

    Les barricades sont montées

    La liberté est balbutiante

    Mais bien des enfants vont tomber

     

    Les pièges où les hommes s’engouffrent

    Des innocents qui vont mourir

    Savoir que tant de peuples souffrent,

    Souviens toi de la place Trahrir

     

    Mon Dieu qu’elle est triste ma terre

    Alors que s’attisent les feux

    Chaque jour voir pleurer des mères

    Pleurer à s’en brûler les yeux

     

    Se pourrait-il qu’il reste encor

    Des raisons d’être et espérer

    Que face aux portes de la mort

    On sauve quelques nouveaux nés

     

    En espérant que sur la terre

    Enfin se lève un nouveau jour

    Où les hommes devenus frères

    Ne conjugueraient que l’amour

     

    Transformant la terre en vaisseau

    Dans un océan dévasté

    Pour donner un dernier assaut

    Vers cet éden tant espéré

    Mon Dieu qu’elle est triste ma terre


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  • Leçon de la chose
       Texte & Musique d'Alain Sorge    

    Je n’ai pas toujours bien compris la chose
    Lorsque j’étais sur les bancs de l’école
    Mais voyez-vous cette métamorphose
    J’ai tout saisi pendant les heures de colle

    J’étais timide et n’osait regarder
    Les filles riaient et se moquaient de moi
    Depuis je me suis  entrainé
    Je fais  la fête tous les soirs chez moi

    REFRAIN

    Je les invite dans mon paradis
    Je leur raconte quelques histoires
    On boit un verre ça se termine au lit
    Ce n’est la fête que pour un soir

    J’étais  amoureux de l’institutrice
    Lorsque la barbe commençait à pousser
    J’étais  le cancre
    plein de malice
    Mais pour les femmes
    fallait pas en parler

    Depuis j’ai appris à parler aux dames
    Quelques bisous quelques caresses
    Un parfum doux, baisers de flamme
    Un feu de bois réchauffant la pièce

    REFRAIN

    Je les invite dans mon paradis
    Je leur raconte quelques histoires
    On boit un verre ça se termine au lit
    Ce n’est la fête que pour un soir

    Je n’ai pas toujours bien compris la chose
    Lorsque j’étais sur les bancs de l’école
    Mais voyez-vous depuis c’est quelque chose
    Les femmes  m’excitent  dès que les  jupes volent.

    Je ne suis plus timide et je  les regarde
    J’ai même fait des comparaisons
    Mes yeux sur elles souvent s’attardent
    J’ai bien appris toutes ses leçons

    REFRAIN

    Je les invite dans mon paradis
    Je leur raconte quelques histoires
    On boit un verre ça se termine au lit
    Ce n’est la fête que pour un soir

     

    La La La La ……….

     


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