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    TEMPETE

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    L'hiver a libéré ses ouragans qui grondent

    qui soufflent sur les plages et les quais désertés

    et qui gonflent les vagues en moins d'une seconde

    et font siffler les mâts des bateaux amarrés.

     

    Refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

    D'être si tourmenté l’océan est colère

    et va gifler la grève et la digue du quai 

    il attaque rageur l'épave centenaire,

    qui des coups de butoirs s'en trouve fracassée.

     

     

    Refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

     

    L'ancêtre maintenant ne lui fait plus entrave

    et pour mieux le briser il vient le retourner

    de sa vie de chalut il a tourné la page

    en ce soir de décembre sur ce port isolé

     

    refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

    Il écoute pourtant la tempête sur Ouessant…

     


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    © Texte : Patrice Merelle 10-03-2013 

    © Musique & Interprétation : Julian Renan

     

    (Couplet)

    Est-ce mon imagination,

    Feu et glace, qui laisse trace

    Maintenant et ce sans fin

    Comme une étrange sensation

    Feu et glace, qui nous trace

    Sur ta peau, et secoue la main.

     

    (Couplet)

    Vapeur de la transpiration

    Tu verras toutes les couleurs

    Et du halo de ce néon

    Et l’amour, l’amour dans nos cœurs

    Progresse à travers les rayons

    Mordants, du soleil, n’ai point peur.

     

    [Refrain]

    Comme d’un geste qui vit,

    Annonce que le lendemain

    Aura toujours, et je ris

    Une place pour nos mains.

     

    (Couplet)

    Et tu voudrais tout contrôler

    Si performante dans cet air

    Perfection, douce, ta perfection

    Et moi qui suis tout ton contraire

    Ton image, cette réflexion

    Je regarde, jeu d’attraction

    Lancé à fond, d’un bang, brise l’air.

     

    (Couplet)

    Et le feu brûlant dans nos cœurs

    Et qui parcourent tous  nos corps

    Jusqu’à ce que le brasier encore.

    Tout est sous contrôle et cette lueur

    Qui brille dans tes yeux verts grisés

    Comme un soleil d’un mois d’été.

     

    [Refrain]

    Comme d’un geste qui vit,

    Annonce que le lendemain

    Aura toujours, et je ris

    Une place pour nos mains.

     

    (Couplet)

    Et nous Brûlons sans fin

    Faisant fondre la glace

    Tenons-nous les mains

    Et faisons maintenant place

    A notre amour jamais éteint.

     

    (Couplet)

    Et vaporiser à travers

    Tu verras toutes les couleurs

    Progressant le jour à travers

    Et l’arc-en-ciel de notre amour

    Dans nos cœurs, rien que dans nos cœurs

    Le soleil se lève chaque jour.

     

    [Refrain]

    Comme d’un geste qui vit,

    Annonce que nos lendemains

    Auront toujours, et je ris,

    Une place pour nos mains.

     


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    APPRENDS-MOI

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

    Le jardinier Printemps est passé ce matin

    étaler sur les champs et semer dans les coins

    sa palette d'odeurs jusqu'au fond du jardin...

    qui ravissent les cœurs..... d'oiseaux et des humains.

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Par la douce violette, par l'odeur du muguet

    par la belle clochette et les boutons dorés

    la nature est en fête et moi je veux t'aimer...

    la nature est en fête......et moi je veux t'aimer...

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Le jardinier Printemps est passé ce matin

    faire oublier le temps qui se veut assassin

    faire oublier l'hiver nous mener vers demain...

    faire oublier congères….. et froidure de toussaint.

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Apprends- moi la douceur...et tout ces petits riens .

     


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  • DOUX EMOIS

    Texte de PaulaG

    Musique & interprétation ; Julian Renan

     

    Il me plait à rêver à ces petits matins

    où nous partions heureux ,

    main dans la main, par les petits chemins,

    nos deux regards rivés,

    toi au mien, moi au tien.

     

    Tes yeux étaient velours,

    tes mains étaient amour !

     

    Nous cheminions gaiement,

    et c'était le printemps !

    la nature s'éveillait

    et nous deux, on rêvait.

     

    C'était le doux printemps

    de notre folle jeunesse,

    nous cheminions gaiement

    dans une douce ivresse !

     

    tes yeux étaient velours

    tes mains étaient amour !

     

    Ah ! comme ils étaient doux ces petits matins

    où l'amour se faisait  magicien !

    par les petits chemins,

    où nous rêvions tous deux à de beaux lendemains.

     

    Tes yeux étaient velours

    tes mains étaient amour !

     

    C'était le temps heureux de nos premiers émois,

    le monde n'existait qu'à travers toi et moi !

    le merveilleux printemps de notre amour naissant,

    quand exultait la joie de délicieux instants !

     

    tes yeux étaient velours,

    tes mains étaient amour !

     


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  • Pour une femme

    Texte de Patrice Merelle

    Musique & Interprétation Julian Renan 

     

    Les immortelles clartés,

    De nos âmes fanées,

    Si longtemps incomprise,

    Comme une vérité à nue,

     

    De crainte et de dévoiler,

    J’effeuille sans malice,

    La flamme et sa beauté,

    Et le silence danse nu,

     

    J’embrasse vos songes d’été

    Qui enflamment notre amour.

    J’embrasse toutes vos idées,

    Chaque nuit et chaque jour.

     

    Je vois au travers de vous,

    Je vous aime comme un fou,

    Et dans vos yeux contemplés,

    Je deviens l’amant d’un été.

     

    Je lève mon hanap

    A toutes vos cités,

    Je rêve comme un mortel,

    A la coupe d’hier,

     

    Je lève mon hanap,

    Aux femmes et leur beauté,

    Je rêve de vous, si belle,

    Et demain sera hier,

     

    J’embrasse vos songes d’été

    Qui enflamment notre amour.

    J’embrasse toutes vos idées,

    Chaque nuit et chaque jour.

     

    Je vois au travers de vous,

    Je vous aime comme un fou,

    Et dans vos yeux contemplés,

    Je deviens l’amant d’un été.

     

    Briser le silence de l’été,

    Transformer le papillon,

    Comme ce pauvre apollon,

    Et vous êtes à mes côtés,

     

    Délicate contemplation,

    Qui sourit au firmament,

    Je suis en adoration,

    Comme devant un diamant.

     

    J’embrasse vos songes d’été

    Qui enflamment notre amour.

    J’embrasse toutes vos idées,

    Chaque nuit et chaque jour.

     

    Je vois au travers de vous,

    Je vous aime comme un fou,

    Et dans vos yeux contemplés,

    Je deviens l’amant d’un été.

     

    Ne formons plus qu’un jusqu’à

    L’éternité qui nous étreint,

    Ne formons plus qu’un jusqu’à

    La fin de tous les univers.

     

    Aimons nous, jusqu’à devenir

    Par delà l’étoile qui s’éteint

    Le dernier point de l’avenir

    Visible dans ce sidéral hiver.


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