• Aussi souvent que d’une rose
    Texte d’Alain Girard

    Copyright. Tous Droits Réservés.
    Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD

    Musique et interprétation Julian Renan

    Si, près de Toi, il m’a tant plu
    De regarder en ton miroir
    Si, depuis, je suis peu ou plus
    C’est que la vie va ses grimoires !

    Le soleil inonde un faux pas
    Comme d’un faux pas l’on s’éprend !
    Le reste est là où l’où n’est pas
    Puis reste ce que l’on comprend !

    Un jour, au soleil éprouvé,
    Les mains de la vie se souviennent :
    « Comme j’avais su te trouver ! »
    Et le gré des Valses de Vienne !

    D’un jour, la nuit veille dans l’ombre
    Infiniment comme un regard
    Pour une pluie où l’on s’égare
    Où la Chanson qui ne fut sombre !

    Il fera doux bientôt, je sais !
    Le printemps ouvre toute porte
    A l’éclosion qu’un cœur emporte
    Et ce qu’il dit, ce qu’il essaie !

    Pour vivre il n’est assez de soi,
    Ni  de Celui qui voudrait être
    Un homme que l’on aperçoit
    Un beau matin, de sa fenêtre !

    Non cela n’est pas le bonheur
    Ni sa chanson, ni son parfum…
    Au temps, le temps sonne son heure
    Et de tous les temps vient la fin !

    Auprès de Toi, comme un trouvère,
    Il est mon cœur même brisé !
    Je ne sais que t’offrir mes vers
    Comme, tendrement, la rosée

    « Sur les feuilles mortes » se pose
    Et balbutie l’amour autant…
    Aussi souvent que d’une rose
    Une main d’une main s’attend !



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  • Nous n'irons plus au bois .....

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    refrain

    Ah que la vie est belle et qu'il est bon le vin

    qu'on boit sous la tonnelle qu'on boit entre copains…

    quand la vie est cruelle pour noyer nos chagrins

    il faut une ritournelle il nous faut un refrain ...

     

    J'avais les poings liés par un simple  je t'aime

    mon cœur prisonnier vient de briser ses chaînes…

    Je veux tout oublier pour changer de destin

    mes ennuis les poser et séparer nos mains…

     

    refrain

    Ah que la vie est belle et qu'il est bon le vin

    qu'on boit sous la tonnelle qu'on boit entre copains…

    quand la vie est cruelle  pour noyer nos chagrins

    il faut une ritournelle il nous faut un refrain ...

     

    Ma mémoire se vide et tout reprend sa place

    S’il me reste des rides ton visage s'efface …

    C’est vers ce désamour que ta froideur me guide

    je veux jour après jour fermer la pyramide

     

    refrain

    Ah que la vie est belle et qu'il est bon le vin

    qu'on boit sous la tonnelle qu'on boit entre copains…

    quand la vie est cruelle  pour noyer nos chagrins

    il faut une ritournelle il nous faut un refrain ...

     

    Oui nos chemins tu vois vont bien se séparer

    je ne veux plus de toi je ne veux plus t’aimer…

    une rupture parfois peut se fair’ bienfaitrice

    nous n’irons plus au bois mais je n'en suis pas triste.

     

    refrain

    Ah que la vie est belle et qu'il est bon le vin

    qu'on boit sous la tonnelle qu'on boit entre copains…

    quand la vie est cruelle  pour noyer nos chagrins

    il faut une ritournelle il nous faut un refrain ... (x3)

     

    quand la vie est cruelle pour noyer nos chagrins

    il faut une ritournelle il nous faut un refrain ...

     


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  • LA TENDRESSE.  

    Texte de Joël François

    Musique & interprétation Julian Renan

     

    La tendresse

    C’est l’amour

    En vieillesse. (Récité)

     

    La tendresse

    C’est un amour qui finit bien,

    La tendresse

    C’est  le panier où dorment chat et chien. (Bis)

     

    Au bal des amants désunis

    Au bout de grandes années de vie

    Tous les deux, main dans la main, passée,

    La tendresse, c’est quand les deux rient,

    C’est quand reste encor l’envie

    Bien que chaines aient été sciées.

     

    La tendresse

    C’est le respect  des amours mortes,

    La tendresse

    C’est quand on ne peut clore la porte. (Bis)

     

    Au parjure des serments promis

    Qui laisse le cœur un peu aigri

    Et des blessures ensanglantées,

    La tendresse c’est quand on oublie,

    Qu’on pardonne l’Autre qui trahit,

    Sans remords  ni arrière-pensées

     

    La tendresse

    Ce sont les cendres de l’amour,

    La tendresse

    Ce sont les restes de toujours.(Bis)

     

    Après les foudres de l’incendie

    Viennent les  paroles adoucies,

    Effleurant l’oreille pardonnée,

    La tendresse, c’est quand on revit

    L’espoir naissant qui refleurit

    Au jardin des roses fanées.

     

    La tendresse

    C’est l’amour sans la passion,

    La tendresse

    C’est l’amour à l’âge de raison. (Bis)

     

    Après les accords assagis

    Des corps trop vite réunis,

    Viennent les caresses feutrées,

    La  tendresse, c’est quand  on sourit

    Tout en ayant le cœur meurtri

    Par le chagrin de l’opposée.

     

    La tendresse

    C’est la musique de l’espoir

    La tendresse

    C’est l’ivresse d’un destin noir. (Bis)

     

    Au temps juré pour l’infini

    Qui s’éteint aux larmes de l’ennui,

    Ne restent que passions passées,

    La tendresse, c’est quand il suffit

    D’un regard pour avoir compris

    Tout ce que l’autre a en pensées.

     

    La tendresse

    C’est le berceau où vivent les rêves

    La tendresse

    C’est un nouveau jour qui se lève. (Bis)

     

    La tendresse

    C’est l’amour

    En vieillesse. (Récité)


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  • Printemps après printemps

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    refrain

    Printemps après printemps reviennent nos automnes

    et nous tournons les pages du livre de nos vies

    traversons les saisons où nos années résonnent

    et se creusent les sillons près des cheveux blanchis...

     

    Quand le printemps anime la fleur et le pommier

    quand le soleil taquine la feuille de l’olivier

    il y a  tant des filles qui voudraient-être aimées

    il y a bien des filles qui voudraient se marier...

     

    refrain

     

    Printemps après printemps reviennent nos automnes

    et nous tournons les pages du livre de nos vies

    traversons les saisons où nos années résonnent

    et se creusent les sillons près des cheveux blanchis...

     

     

     

    Qu'il est doux le zéphyr qui souffle sur les cœurs

    qu’il fait bon découvrir l’amour et ses langueurs

    qui déjà nous enivrent de rêve et de bonheur

    quand le monde chavire et qu’ il devient douceur

     

     

    refrain

    Printemps après printemps reviennent nos automnes

    et nous tournons les pages du livre de nos vies

    traversons les saisons où nos années résonnent

    et se creusent les sillons près des cheveux blanchis...

     

     

     

    Au feu de la Saint Jean elles brûleront leurs ailes

    trouveront un amant ou peut-être un mari

    il sera beau et grand leur dira qu'elles sont belles

    et  amoureusement parlera de mairie

     

     

    Printemps après printemps reviennent nos automnes

    et nous tournons les pages du livre de nos vies

    traversons les saisons où nos années résonnent

    et se creusent les sillons près des cheveux blanchis...

     

    et se creusent les sillons près des cheveux blanchis.

     

     

     

     

     

     

     


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  • Mes doigts sur ta peau

    Texte de Jacques Mège

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Mes doigts sur ta peau

    À l’abri du grand chêne

    Dessinent quelques mots

    Qui ressemblent à « je t’aime »

     

    J’aime ta peau de rousse au teint de porcelaine

    La saveur de ta bouche au goût de marjolaine

    Quand tes lèvres si douces se posent sur les miennes

    Comme l’eau de la source qui coule à la fontaine

     

    Viens sur ce lit de mousse écouter ce poème

     

    C’est la pluie de printemps qui vient ragaillardir

    Les jardins et les champs et les fair’ reverdir

    Ell’ tombe finement, le soleil est derrière

    Réchauffant doucement la petite clairière

     

    La natur’ fait les choses comme les fait le ciel

    Ell’ fait si bien qu’elle ose mêler pluie et soleil

     

    Mes doigts sur ta peau

    À l’abri du grand chêne

    Dessinent quelques mots

    Qui ressemblent à « je t’aime »

     

    A nos pieds l’hellébore côtoie la primevère

    Et quelques rayons d’or les irisent de vert

    Les hommes aiment ce temps il les laisse espérer

    Que les blés dans les champs vont se multiplier

     

    Les temps pour nous si durs sont à mettre au passé

    Et des moissons futures empliront nos greniers

     

    Mes doigts sur ta peau

    À l’abri du grand chêne

    Dessinent quelques mots

    Qui ressemblent à « je t’aime »

     

     

     

     


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