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Par julianrenan le 6 Octobre 2013 à 18:31
Petit bout de femme
Texte de Jacqueline Labeyrie
Musique et interprétation : Julian Renan
4 commentaires -
Par julianrenan le 11 Juin 2013 à 20:09
Mes Vosges
Texte de Jacqueline Labeyrie
Musique et interprétation Julian Renan
Sentiers fleuris , arbres éternels
Chère montagne au crâne chauve
J’aime ton parfum au goût de miel
J’aime les Vosges aux couleurs mauves
Toute la neige a fondu
Alimentant tous les torrents
Les hirondelles sont revenues
Pour nous annoncer le printemps
Je me promène dans les vallons
J’oublie le temps , les gens pressés
Et je respire à pleins poumons
Sapins , bouleaux de la forêt
Sentiers fleuris , arbres éternels
Chère montagne au crâne chauve
J’aime ton parfum au goût de miel
J’aime les Vosges aux couleurs mauves
La prune douce et parfumée
Dont les arbres envahissent la plaine
La mirabelle jaune et sucrée
Fruit d’or issue de la Lorraine
Et quand l’automne montre son nez
La forêt met sa robe rousse
L’été indien sur les sentiers
Exhale les arômes de la mousse
Sentiers fleuris , arbres éternels
Chère montagne au crâne chauve
J’aime ton parfum au goût de miel
J’aime les Vosges aux couleurs mauves
Et quand l’hiver est arrivé
Massif aux courbes rassurantes
Tout de blanc se sont habillées
Offrant des images apaisantes
Sentiers fleuris , arbres éternels
Chère montagne au crâne chauve
J’aime ton parfum au goût de miel
J’aime mes Vosges aux couleurs mauves
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Par julianrenan le 2 Février 2013 à 16:31
Ne jouez pas au soldat
Sur une idée de Jacqueline Labeyrie
qui est allé dénicher ce texte,
j’ai créé cette chanson pour sa maman
C'est une chanson pacifiste
écrite en 1921
en mémoire des Poilus
par
Léo-Félix et Paul Dalbet
A mon petit garçon pour le jour de sa fête
Je dis viens avec moi acheter un jouet
Au bazar tu verras pantins et marionnettes
Des grands chemins de fer, mais l'enfant tout à coup
Me dit moi je voudrais un fusil, un grand sabre
Un sac avec un casque comme en ont les soldats
Alors tout ahuri par le désir fantasque
J'ai dit non mon petit tu n'auras pas ça
Ne joue pas au soldat mon cher petit bonhomme
Les sabres et les fusils ne sont pas des jouets
Plus tard tu en auras quand tu seras un homme
Je ne veux pas voir ces choses entre tes doigts fluets
Ces joujoux là vois tu rappellent trop la guerre
Les chagrins et les deuils que l'on voit ici bas
Ils ont fait trop pleurer le coeur des pauvres mères
Dont les enfants sont morts en jouant au soldat
N'as tu pas remarqué, lorsque tes camarades
Font la petite guerre comme ils deviennent méchants
Ils ne pensent qu'à frapper ne rêvent que d'embuscades
Leurs grands sabres de bois les rendent presque arrogants
Pour eux plus rien n'existe ils n'en font qu'à leur guise
La grammaire, le calcul ne les intéressent pas
Quand vient le mardi gras leur mère les déguisent
En zouave ,en cuirassier des galons plein les bras
Faut il que les parents n'aient rien dans les méninges
Le soir de carnaval pour déguiser encore
Leurs enfants en poilus comme des petits singes
Qui seraient habillés dans la veste d'un mort
La capote horizon est le suprême emblème
Le linceul dans lequel nos fils dorment là bas
Au moins respectez les, les soirs de mi-carême
Et ne déguisez pas vos enfants en soldats
Pense à ces grands savants, ces héros anonymes
Qui passent tout leur temps à sauver les humains
Ceux qui se sacrifient dans un geste sublime
Pour adoucir la vie de nos contemporains
Curie, Péant, Pasteur tous ces rois de la science
Ont autant de mérite que nos plus grands guerriers
Ils ont chassé la mort qui planait sur l'enfance
En ne songeant qu'à guérir et non à tuer
Il faut que les enfants dans leur jeunesse apprennent
à chérir leur pays, à défendre leur honneur
Ne leur inculquez pas des sentiments de haine
La guerre et les combats devraient leur faire horreur
Au nom de nos héros ,mort en pleine jeunesse
Pour que ce drame affreux ne recommence pas
Et pour que la bonté sur le monde renaisse
Il ne faut plus jamais s'amuser au soldat
6 commentaires -
Par julianrenan le 22 Septembre 2012 à 14:52
Larmes d’Amour
Texte de Jacqueline Labeyrie
Musique et interprétation Julian Renan
Interprétée également par Patricia Dupont
http://hirondelle93.vefblog.net/Larmes_damour
Sur mon visage une à une
Coulent des larmes de désespoir
Elles révèlent mon infortune
La souffrance que l’on ne peut voir
Comme un enfant abandonné
Le chagrin d’un amour perdu
Elles ne cessent de couler
Reflet de mon bonheur déçu
Larmes d’amour larmes de joie
Pareilles aux vagues sur le sable
Larmes d’amour larmes de joie
Glissent sans fin insaisissables
Si mon cœur n’est plus que tristesse
Que tant de peine m’envahit
Je sais que parfois la vie blesse
La joie est devenue oublie
Cœur malheureux sombre est la nuit
Ou est donc le bout du tunnel ?
Ma tête est vide aucune envie
Aucun amour n’est éternel
Larmes d’amour larmes de joie
Pareilles aux vagues sur le sable
Larmes d’amour larmes de joie
Glissent sans fin insaisissables
La vie plus forte que le chagrin
Devrait reprendre bientôt son cours
Et me guider vers le chemin
En évitant tous les détours
La force de tourner la page
De ne plus penser qu’à demain
Plus une larme sur le visage
Tout oublier changer de train
Larmes d’amour larmes de joie
Pareilles aux vagues sur le sable
Larmes d’amour larmes de joie
Glissent sans fin insaisissables
Sur mon visage une à une
Coulent des larmes de désespoir
Elles révèlent mon infortune
La souffrance que l’on ne peut voir
Larmes d’amour larmes de joie
Pareilles aux vagues sur le sable
Larmes d’amour larmes de joie
Glissent sans fin insaisissables
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Par julianrenan le 15 Juillet 2012 à 09:37
MATHILDE
Texte de Jacqueline Labeyrie
Musique et interprétation Julian Renan
Chantée par Patricia Dupont sur :
http://hirondelle93.vefblog.net/16.html#Mathilde
Une belle journée d’automne
Mille neuf cent quatre vingt dix huit
Pointant ton nez dans notre monde
Tu ensoleilles notre vie
Cette naissance tant attendue
Petite fille magnifique
Un prénom qui nous a tant plu
Qui chante comme une musique
Brel l’a chanté avec Amour
Disant que tu es revenue
Pour moi tu seras pour toujours
L’espoir , la joie mais le sais-tu ?
Accrochée à tous tes sourires
Tes premiers pas , première dent
Le temps passe plein de souvenirs
Que l’on partage tendrement
Tu as grandie beaucoup trop vite
Mais qu’importent les jours le temps
Car cet amour qui nous habite
Continuera malgré les ans
Une belle journée d’automne
Mille neuf cent quatre vingt dix huit
Pointant ton nez dans notre monde
Tu ensoleilles notre vie
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