• Petit bout de femme

    Texte de Jacqueline Labeyrie

    Musique et interprétation : Julian Renan


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  •  

    Mes Vosges

    Texte de Jacqueline Labeyrie

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Sentiers  fleuris  , arbres éternels

    Chère montagne au crâne chauve

    J’aime ton parfum au goût de miel

     J’aime les Vosges aux couleurs mauves

     

    Toute la neige a fondu

    Alimentant tous les torrents

    Les hirondelles sont revenues

    Pour nous annoncer le printemps

     

    Je me promène dans les vallons

    J’oublie le temps , les gens pressés

    Et je respire à pleins poumons

    Sapins  ,  bouleaux de la forêt

     

    Sentiers  fleuris , arbres éternels

    Chère montagne au crâne chauve

    J’aime ton parfum au goût de miel

    J’aime les Vosges aux couleurs mauves

     

    La prune douce et parfumée

    Dont les arbres envahissent la plaine

    La mirabelle jaune et sucrée

    Fruit d’or issue de la Lorraine

     

    Et quand l’automne montre son nez

    La forêt met sa robe rousse

    L’été indien sur les sentiers

    Exhale les arômes de la mousse

     

    Sentiers fleuris , arbres éternels

    Chère montagne au crâne chauve

    J’aime ton parfum au goût de miel

     J’aime les Vosges aux couleurs mauves

     

     

    Et quand l’hiver est arrivé

    Massif aux courbes rassurantes

    Tout de blanc se  sont habillées

    Offrant des images apaisantes

     

    Sentiers  fleuris , arbres éternels

    Chère montagne au crâne chauve

    J’aime ton parfum au goût de miel

    J’aime mes Vosges aux couleurs mauves

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Ne jouez pas au soldat

    Sur une idée de Jacqueline Labeyrie

    qui est allé dénicher ce texte,

    j’ai créé cette chanson pour sa maman

    C'est une chanson pacifiste

    écrite en 1921

    en mémoire des Poilus

    par

    Léo-Félix et Paul Dalbet

     

    A mon petit garçon pour le jour de sa fête

    Je dis viens avec moi acheter un jouet

    Au bazar tu verras pantins et marionnettes

    Des grands chemins de fer, mais l'enfant tout à coup

    Me dit moi je voudrais un fusil, un grand sabre

    Un sac avec un casque comme en ont les soldats

    Alors tout ahuri par le désir fantasque

    J'ai dit non mon petit tu n'auras pas ça

     

    Ne joue pas au soldat mon cher petit bonhomme

    Les sabres et les fusils ne sont pas des jouets

    Plus tard tu en auras quand tu seras un homme

    Je ne veux pas voir ces choses entre tes doigts fluets

    Ces joujoux là vois tu rappellent trop la guerre

    Les chagrins et les deuils que l'on voit ici bas

    Ils ont fait trop pleurer le coeur des pauvres mères

    Dont les enfants sont morts en jouant au soldat

     

    N'as tu pas remarqué, lorsque tes camarades

    Font la petite guerre comme ils deviennent méchants

    Ils ne pensent qu'à frapper ne rêvent que d'embuscades

    Leurs grands sabres de bois les rendent presque arrogants

    Pour eux plus rien n'existe ils n'en font qu'à leur guise

    La grammaire, le calcul ne les intéressent pas

    Quand vient le mardi gras leur mère les déguisent

    En zouave ,en cuirassier des galons plein les bras

     

    Faut il que les parents n'aient rien dans les méninges

    Le soir de carnaval pour déguiser encore

    Leurs enfants en poilus comme des petits singes

    Qui seraient habillés dans la veste d'un mort

    La capote horizon est le suprême emblème

    Le linceul dans lequel nos fils dorment là bas

    Au moins respectez les, les soirs de mi-carême

    Et ne déguisez pas vos enfants en soldats

     

    Pense à ces grands savants, ces héros anonymes

    Qui passent tout leur temps à sauver les humains

    Ceux qui se sacrifient dans un geste sublime

    Pour adoucir la vie de nos contemporains

    Curie, Péant, Pasteur tous ces rois de la science

    Ont autant de mérite que nos plus grands guerriers

    Ils ont chassé la mort qui planait sur l'enfance

    En ne songeant qu'à guérir et non à tuer

     

    Il faut que les enfants dans leur jeunesse apprennent

    à chérir leur pays, à défendre leur honneur

    Ne leur inculquez pas des sentiments de haine

    La guerre et les combats devraient leur faire horreur

    Au nom de nos héros ,mort en pleine jeunesse

    Pour que ce drame affreux ne recommence pas

    Et pour que la bonté sur le monde renaisse

    Il ne faut plus jamais s'amuser au soldat

     

     


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  • Larmes d’Amour

    Texte de Jacqueline Labeyrie

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Interprétée également par Patricia Dupont

    http://hirondelle93.vefblog.net/Larmes_damour

     

    Sur mon visage une à une

    Coulent des larmes de désespoir

    Elles révèlent mon infortune

    La souffrance que l’on ne peut voir

     

    Comme un enfant abandonné

    Le chagrin d’un amour perdu

    Elles ne cessent de couler

    Reflet de mon bonheur déçu

     

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Pareilles aux vagues sur le sable

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Glissent sans fin  insaisissables

     

    Si mon cœur n’est plus que tristesse

    Que tant de peine m’envahit

    Je sais que parfois la vie blesse

    La joie est devenue oublie

     

    Cœur malheureux   sombre est la nuit

    Ou est donc le bout du tunnel ?

    Ma tête est vide aucune envie

    Aucun amour n’est éternel

     

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Pareilles aux vagues sur le sable

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Glissent sans fin  insaisissables

     

    La vie plus forte que le chagrin

    Devrait reprendre bientôt son cours

    Et me guider vers le chemin

    En évitant tous les détours

     

    La force de tourner la page

    De ne plus penser qu’à demain

    Plus une larme sur le visage

    Tout oublier changer de train

     

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Pareilles aux vagues sur le sable

     

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Glissent sans fin insaisissables

     

    Sur mon visage une à une

    Coulent des larmes de désespoir

    Elles révèlent mon infortune

    La souffrance que l’on ne peut voir

     

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Pareilles aux vagues sur le sable

    Larmes d’amour  larmes de joie

    Glissent sans fin insaisissables


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  • MATHILDE

    Texte de Jacqueline Labeyrie

    Musique et interprétation Julian Renan

    Chantée par Patricia Dupont sur :

    http://hirondelle93.vefblog.net/16.html#Mathilde

     

    Une belle journée d’automne

    Mille neuf cent quatre vingt dix huit

    Pointant ton nez dans notre monde

    Tu ensoleilles notre vie

     

    Cette naissance tant attendue

    Petite fille magnifique

    Un prénom qui nous a tant plu

    Qui chante comme une musique

     

    Brel l’a chanté avec Amour

    Disant que tu es revenue

    Pour moi tu seras pour toujours

    L’espoir , la joie mais le sais-tu ?

     

    Accrochée à tous tes sourires

    Tes premiers pas , première dent

    Le temps passe plein de souvenirs

    Que l’on partage tendrement

     

    Tu as grandie beaucoup trop vite

    Mais qu’importent les jours le temps

    Car cet amour qui nous habite

    Continuera malgré les ans

     

    Une belle journée d’automne

    Mille neuf cent quatre vingt dix huit

    Pointant ton nez dans notre monde

    Tu ensoleilles notre vie

     


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