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    TEMPETE

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    L'hiver a libéré ses ouragans qui grondent

    qui soufflent sur les plages et les quais désertés

    et qui gonflent les vagues en moins d'une seconde

    et font siffler les mâts des bateaux amarrés.

     

    Refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

    D'être si tourmenté l’océan est colère

    et va gifler la grève et la digue du quai 

    il attaque rageur l'épave centenaire,

    qui des coups de butoirs s'en trouve fracassée.

     

     

    Refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

     

    L'ancêtre maintenant ne lui fait plus entrave

    et pour mieux le briser il vient le retourner

    de sa vie de chalut il a tourné la page

    en ce soir de décembre sur ce port isolé

     

    refrain

    Marin en sa maison ne dort que d’un œil

    Il va passer la nuit auprès de ses enfants

    Marin en son foyer n’a pas franchi le seuil

    Il écoute pourtant la tempêt’ sur Ouessant .

     

    Il écoute pourtant la tempête sur Ouessant…

     


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    APPRENDS-MOI

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

    Le jardinier Printemps est passé ce matin

    étaler sur les champs et semer dans les coins

    sa palette d'odeurs jusqu'au fond du jardin...

    qui ravissent les cœurs..... d'oiseaux et des humains.

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Par la douce violette, par l'odeur du muguet

    par la belle clochette et les boutons dorés

    la nature est en fête et moi je veux t'aimer...

    la nature est en fête......et moi je veux t'aimer...

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur, le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Le jardinier Printemps est passé ce matin

    faire oublier le temps qui se veut assassin

    faire oublier l'hiver nous mener vers demain...

    faire oublier congères….. et froidure de toussaint.

     

    refrain

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

    Un souffle de tendresse envahit le chemin

    apprends-moi les caresses et les petits câlins

    apprends- moi le bonheur le bonheur d'un matin...

    apprends- moi la douceur….. et tout ces petits riens.

     

     

    Apprends- moi la douceur...et tout ces petits riens .

     


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    Notre pain ,notre blé

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Notre pain , notre blé n'ont plus les goûts d'antan,

    le ruisseau on le sait ne chante plus vraiment,

    et le vieux marronnier se meurt lentement.

     

    Il faut ouvrir les yeux notre monde agonise,

    Et la leçon des vieux ne semble pas acquise,

    quel sera le destin des enfants de demain,

    quel sera leur chemin en ce monde incertain …

    .

    Notre pain , notre blé n'ont plus les goûts d'antan,

    le ruisseau on le sait ne chante plus vraiment,

    et le vieux marronnier se meurt lentement.

     

     

    Nous perdons je le sais les poids et les mesures,

    détruisons sans compter tout dans la démesure,

    par bêtise nous polluons rivières et poissons,

    nos prés nous nourrissons de mille et un poisons.

     

    Notre pain , notre blé n'ont plus les goûts d'antan,

    le ruisseau on le sait ne chante plus vraiment,

    et le vieux marronnier se meurt lentement.

     

    Pour plus de rendements nous tuons la nature,

    par cette déraison pour cette folle aventure,

    pauvres abeilles butinant sur la fleur des champs,

    pesticides et frelons vous déciment vraiment.

    .

    Notre pain , notre blé n'ont plus les goûts d'antan,

    le ruisseau on le sait ne chante plus vraiment,

    et le vieux marronnier se meurt lentement.

     

    Forêt Amazonienne du chef Raoni,

    n’est que plaies et souffrances sous l’arme qui détruit,

    qui laboure et défonce sans respect pour la vie ,

    ce beau poumon immense où le ciel s’assombrit.

     

    Notre pain , notre blé n'ont plus les goûts d'antan,

    le ruisseau on le sait ne chante plus vraiment,

    et le vieux marronnier se meurt lentement.

     


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  • Ma dernière étoile

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation : Julian Renan

     

    J'entends le bruit des vagues

    et le vent dans les voiles

    pour ce dernier voyage

    vers ma dernière étoile;

     

    je vois tes lèvres qui s'ouvrent

    pour un dernier sourire

    tu es comme la louve.....   

    mais vogue le navire.

     

    Cette fois je m'en vais

    je veux que tu sois là,

    que tu fermes mes yeux

    pour la  dernière fois,

    que tu me dises adieu...    

    et les mots d'autrefois.

     

    Il y a mille étoiles

    qui  allument le ciel

    et qui percent la toile

    de la voute  éternelle;

     

    sous le bleu de tes yeux

    tu te veux naturelle

    pourtant ,s'éteint le feu...

    et se meurt la chandelle.

     

    Cette fois je m'en vais

    je veux que tu sois là,

    que tu fermes mes yeux

    pour la  dernière fois,

    que tu me dises adieu...

    et les mots d'autrefois.

     

    Tu vois la mer est d'huile

    il n'y a pas de drame,

    et je m'en vais tranquille

    pour reposer mon âme;

     

    je sens déjà l'embrun

    couler sur mon visage

    tu l'essuies de ta main...   

     non...ce n'est pas une larme.     

     

    Cette fois je m'en vais

    je veux que tu sois là,

    que tu fermes mes yeux

    pour la  dernière fois,

    que tu me dises adieu...

    et les mots d'autrefois.


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  • Ma Bretagne

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Je connais bien tes côtes et tes toits en ardoise,

    où de Sein à Ouessant sur ta mer d'Iroise,

    tes tempêtes souvent viennent me fendre l'âme…

    Bretagne o ma Bretagne… Bretagne je t'acclame.

     

    Je suis de ce Pays et quand j'étais enfant

    Après notre quatr’ heures nous partions en courant

    traîner près des bateaux en rade sur le port

    où nous venions rêver… des îles et de trésors.

     

    Quand ton soleil se cache derrière les cumulus,

    Se pose une langueur sur ta terre d'angélus,

    Finistère enchanteur où les pêcheurs le soir…

    Recherchent le sommeil… le sommeil et l’espoir.

     

    Je suis de ce Pays et quand j'étais enfant

    Après notre quatr’ heures nous partions en courant

    traîner près des bateaux en rade sur le port

    où nous venions rêver… des îles et de trésors.

     

     

     

     

     

    De Cancale à Pornic quand l'océan fait rage,

    j'aime tes jours de pluie et ton ciel qui se charge,

    façonnant le granite en projetant l'embrun…

    et les cornes de brume …qui parlent- aux marins .

     

    Je suis de ce Pays et quand j'étais enfant

    Après notre quatr’ heures nous partions en courant

    traîner près des bateaux en rade sur le port

    où nous venions rêver… des îles et de trésors.

     

    Dolmens et menhirs votre histoire est mystère,

    vos contes et légendes nous n’y croyons plus guère,

    mais on les dit toujours au fond de la taverne…

    où l'on vient boire un pot… quand le cœur est en berne.

     

    Je suis de ce Pays et quand j'étais enfant

    Après notre quatr’ heures nous partions en courant

    traîner près des bateaux en rade sur le port

    où nous venions rêver… des îles et de trésors.

     


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