• Et si l'amour....

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et Interprétation Julian Renan

     

    Tu pleureras ma fille si tu te fais cruelle,

    en montrant tes gambilles en montrant tes dentelles,

    tu te fais juvénile ou plutôt jouvencelle,

    en maquillant tes cils et tes yeux au rimmel.

     

    Mais si l'amour t'appelle

    à quoi bon résister

    chante la ritournelle

    celle qui te fait danser...

     

    O souviens toi ma muse  qu'un seul regard fatal,

    dans sa sollicitude pourrait bien te faire mal,

    sous des paroles prudes se cache l'animal,

    et sa fausse attitude pourrait être amorale.

     

    Mais si l'amour t'appelle

    à quoi bon résister

    chante la ritournelle

    celle qui te fait danser...

     

    Dans la brume des doutes laisse toi désirer,

    et sur la bonne route laisse toi dévorer,

    tu dois coûte que coûte savoir te protéger,

    car l'homme qui t'envoute pourrait bien te leurrer.

     

    Mais si l'amour t'appelle

    à quoi bon résister

    chante la ritournelle

    celle qui te fait danser...

     

    Mais si l'amour t'appelle

    à quoi bon résister

    chante la ritournelle

    celle qui te fait danser...


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  • YVON

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Allons écoutes- moi ,toi notre compagnon

    Écoutes donc ma voix… Ecoutes moi Yvon…

    nous partions sur la mer partager le bon temps

    partager la misère , partager les chansons.

     

    Nous ne redoutions guère , la peine et la souffrance

    et les jours de galère passés loin de la France …

    nous allions naviguer sur les grands océans

    contre vents et marées vivre de durs moments.

     

    Un air de violon flotte encore dans les airs

    Quand je pense à toi mon pote, mon copain sur la mer…

    Qui nous a quitté un jour sur l’île de saint Pierre

    où une histoire d’amour t’a entraîné à terre.

     

    tu avais ton archet  et puis ton violon

    tu savais nous jouer des airs réconfortants…

    t’étais un troubadour amoureux de chansons

    tu nous parlais d’amour, d’amitiés et de chants.

     

    Nous avons rencontré les grains les plus violents

    Il nous fallait prier le dieu Poséidon…

    Mais avec ton archet, archet et violon

    tu faisais oublier un peu de nos tourments.

     

    Cet air de violon flotte encore dans les airs

    Quand je pense à toi mon pote, mon copain de naguère…

    Qui nous a quitté un jour sur l’île de saint Pierre

    pour une histoire d’amour qui t’a gardé à terre.

     

    Cet air de violon flotte encore dans les airs

    Quand je pense à toi YVON  mon copain de galère…

    Qui nous a quitté un jour sur l’île de saint Pierre

    Où une histoire d’amour t’a entraîné à terre.


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  • Et je guette ton pas.

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Ma page reste blanche

    Et ma mémoire flanche,

    Et si j’ai un peu froid

    C’est que j’ai mal de toi,

    Parc’que tu n’es plus là……

     

    Parc’que tu n’es plus là

     

    Refrain

    Minuit vient de sonner

    Je ne suis pas couché  (e)

    la bougie allumée

    s'est toute consumée

    et tu ne viendras pas……

     

    mais je guette ton pas

     

    Et tu hantes mes nuits

    quand je voudrais l'oubli,

    quand pour toi je m'éveille

    quand tu prends mon sommeil,

    moi qui veux t’oublier……

     

    moi qui veux t’oublier

     

    Refrain

    Minuit vient de sonner

    Je ne suis pas couché

    la bougie allumée

    s'est toute consumée

    et tu ne viendras pas……

     

    mais je guette ton pas...

     

    Mais il  faut que je danse

    et il faut que je chante,

    et faire semblant de rire

    lorsque mon cœur expire,

    car toi tu n’es plus là……

     

    car toi tu n’es plus là

     

     


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  • Allons cap'taine

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Après plus de dix jours en mer

    du capitaine au moussaillon

    nous rêvons tous d'une bière

    d'une bière ou bien d'un jupon ;

     

    Après plus de dix jours en mer

    à frotter et brosser le pont

    afin  d’en oublier not’ peine

    et profiter de nos vingt ans.

     

    refrain

    Allons cap'taine sois bon enfant

    donn’ nous la perm’ et nous filons

    avec toi au bar  d’la sirène

    pour y passer un bon moment.

     

    Dans ce port où nous avons bu

    où nous chantons la Madelon

    à son amour nous avons crû

    le temps de craquer notr’ argent ;

     

    dans le port où nous avons bu

    où les bateaux sur toile de fond

    bercent encor’ nos rêves perdus

    bercent encor’ nos rêves d'enfant

    refrain

    Vraiment cap'taine t’es bon enfant

    D’avoir donné la permission

    pour aller au bar d'la sirène

    pour y passer un bon moment.

     

    Demain nous serons en partance

    pour affronter sur l'océan

    les vents du large et ouragans

    vers Le Cap de bonne espérance ;

     

    Lors de l’escale en remontant

    Et avant de rentrer en France

    Dans un troquet à Abidjan

    Recommencerons notr’ romance.

     

    refrain

    Alors cap'taine s’ra bon enfant

    Et donnera la permission

    Pour aller au bar d'la sirène

    Où nous pass’rons un bon moment.


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  • Celle qui chantait

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

    Suite à une erreur du serveur je vous invite à l'écouter

    sur mon 2ème blog

    http://julianrenan.eklablog.com/celle-qui-chantait-a58466005#

     

    Un bout de chaîne, une amulette

    et de sa frêle  silhouette

    elle captivait son auditoire,

    celle qui chantait près du comptoir.

     

    De grands yeux tristes chargés de fard

    Cherchant en vain dans les regards

    quelqu'un qui voudrait bien la voir,

    dans ce troquet près du boulevard.

     

    C'est un  de ces quartiers pas très net

    dans une rue moite de Phuket

    où elle gueulait son désespoir,

    la fille en noir près du comptoir.

     

    De grands yeux tristes chargés de fard

    Cherchant en vain dans les regards

    quelqu'un qui voudrait bien la voir,

    dans ce troquet près du boulevard.

     

    Cette chanson monte en ma tête

    comme la fumée de cigarette

    dont les volutes dans le soir,

    s'en vont rejoindre la fille en noir.

     

    De grands yeux tristes chargés de fard

    Cherchant en vain dans les regards

    quelqu'un qui voudrait bien la voir,

    dans ce troquet près du boulevard.


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