• Si cette aventure

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et Interprétation Julian Renan

     

    Et  voilà que dansent, et voilà que chantent ,

    déjà les haubans;

    mais sans que j'y pense, les odeurs m'encensent,

    et me donn’ vingt ans.

     

    refrain

    Et claque la toile, et vibre la voile,

    au large nous allons;

    Si la mer est belle, depuis La Rochelle,

    irons à Quiberon.

     

    Le lit n'est pas large, et nos deux visages,

    nous rapprocherons ;

    et si le tangage nous rend pas très sages,

    nous nous aimerons.

     

    refrain

    Et claque la toile, et vibre la voile,

    au large nous allons;

    Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,

    irons à Quiberon.

     

    Si cette aventure, nous vient d'Epicure ,

    vite nous le saurons ;

    si ce doux murmure, laisse une morsure,

    vivons le moment.

     

    refrain

    Et claque la toile, et vibre la voile,

    au large nous allons;

    Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,

    irons à Quiberon.

     

    Le soleil se couche,  et ses couleurs rousses,

    chevauchent l'horizon ;

    toi tu te fais douce, et glisse ton pouce,

    sous mes vêtements.

     

    refrain

    Et claque la toile, et vibre la voile,

    au large nous allons;

    Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,

    irons à Quiberon.


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  • Je marche je marche...

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan 

     

    J'aime ces oiseaux de passage

    que les saisons mènent au large,

    où se chevauchent tous mes rêves

    quand le vent souffle  la falaise.

     

    Refrain (bisé)

    il y'a des abeilles qui butinent

    sur la fenêtre de la cuisine,

    il y'a du soleil dans les branches

    et puis après tout c'est dimanche.

     

    j'écoute les lames qui se brisent

    j'écoute les chants qui en dérivent.

    alors que dansent mes automnes

    alors que ton prénom résonne.

     

    Refrain (bisé)


    il y'a des abeilles qui butinent

    sur la fenêtre de la cuisine,

    il y'a du soleil dans les branches

    et puis après tout c'est dimanche.

     

    Tout comme ces feux de la Saint Jean

    qui flirtent encore avec le vent,

    Tout comme la vague qui se noie

    je marche je marche et je me ploie.

     

    Refrain (bisé)

    il y'a des abeilles qui butinent

    sur la fenêtre de la cuisine,

    il y'a du soleil dans les branches

    et puis après tout c'est dimanche.

     


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  • Une Lumière sur la dune

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Ma main ce soir parle à ma plume

    il se fait temps d'aller coucher

    c'est un peu comme une habitude

    parler de toi sur le papier.

     

    C'est quand une porte se ferme

    qu'on sait enfin qui l'on aimait

    mais voilà que mon cœur bohème

    se met encore à espérer

    et sur la page mes doigts blêmes

    laissent bien des maux chavirer.

     

    Tu dois penser je le présume

    que j'ai bien dû m'encanailler

    mais mes pensées sont dans la brume

    et c'est l'hiver dans mon quartier.

     

    C'est quand une porte se ferme

    qu'on sait enfin qui l'on aimait

    mais voilà que mon cœur bohème

    se met encore à espérer

    et sur la page mes doigts blêmes

    laissent bien des maux chavirer.

     

    Ma main ce soir parle à ma plume

    Regard tourné vers le passé

    Alors mes yeux s’emplissent d’écume

    Et je ne puis volets tirer.

     

    C'est quand une porte se ferme

    qu'on sait enfin qui l’on aimait

    mais voilà que mon cœur bohème

    se met encore à espérer

    et sur la page mes doigts blêmes

    laissent bien des maux chavirer.

     

    Une lumière sur la dune

    Celle du phar’ de lîl’ de Ré

    De nos amours au clair de lune

    As-tu vraiment tout oublié.

     

    C’est quand une porte se ferme

    qu’on sait enfin qui l’on aimait

    mais voilà que mon cœur bohème

    se met encore à espérer

    et sur la page mes doigts blêmes

    laissent bien des mots chavirer.

     

    C’est quand une porte se ferme

    Qu’on sait enfin qui l’on aimait……


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  • Si tu veux m’écouter…

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Souviens- toi sur la place le banc était en bois

    il y avait un kiosque, et tu m'attendais là

    te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois

    serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.

    Fanon venait parfois nous chanter ses émois

    petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras

    qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid

    quand fond d’air était doux en souvenir de toi.

     

    Il faut que je te parle je ne puis plus garder

    Si tu as cinq minutes si tu veux m’écouter

    Ce matin je me dois de vraiment m'épancher ;

    parfois hier encore tu me donnais la main

    vas-tu enfin cesser de ne plus regarder

    parfois hier encore tu me disais demain.

     

    Souviens- toi sur la place le banc était en bois

    il y avait un kiosque, et tu m'attendais là

    te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,

    serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.

    Fanon venait parfois nous chanter ses émois

    petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras

    qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid

    quand fond d’air était doux en souvenir de toi.

     

    Il faut que je te parle je ne puis plus garder

    si tu cinq minutes si tu veux m'écouter ,

    Le cœur en bandoulière tu n'as pas remarqué

    le temps qui vient tuer un peu le quotidien ,

    s'il reste du soleil qui heurte le volet

    en ce jour notre lit n'est plus vraiment le tien.

     

    Souviens- toi sur la place le banc était en bois

    il y avait un kiosque, et tu m'attendais là

    te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,

    serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.

    Fanon venait parfois nous chanter ses émois

    petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras

    qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid

    quand fond d’air était doux en souvenir de toi.

     

    Il faut que je te parle je ne puis plus garder

    si tu as cinq minutes si tu veux m'écouter ,

    il reste trace de pas sur le sol enneigé

    mais l’hiver est bien là qui enserre nos liens ,

    en infime harmonie que le vent peut briser

    sur nos cœurs qui s'oublient et se font baladins.

     

    Souviens- toi sur la place le banc était en bois

    il y avait un kiosque et tu m'attendais là

    te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois

    serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.

    Fanon venait parfois nous chanter ses émois

    petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras

    qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid

    quand fond d’air était doux en souvenir de toi.

     

     


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  • Comme le ciel ...

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    Quand j'ai rencontré Mariette

    Soudain il me vint une idée ,

    une idée tellement chouette

    voilà ce que j’ai demandé ,

    « viendrais-tu à cette fête

    celle du quatorze juillet ,

    pour faire tourner nos têtes

    et me laisser t’embrasser. »

     

    Ca fait longtemps que je l'aime

    Et n’osais lui avouer ,

    bien des Pâques et des Carêm

    loin d’elle se sont écoulés ,

    quand vint ce moment suprême

    où par chance je l'ai trouvée ,

    fi de ma pudeur extrême

    enfin j'ai osé lui parler,

    ta la la la la la la la

    ta la la la la lé.

     

    Elle n'a pas dit non la belle

    Et au bal je l'ai emmenée ,

    C’est  auprès de la tonnelle

    Que je l'ai dans mes bras serrée ,

    bien assis sur la margelle

    très vite les mots j’ai trouvé ,

    pour lui dire qu'elle est belle

    de joie elle m'a embrassé.

     

    Ca fait longtemps que je l’aime

    Et n’osais lui avouer ,

    Bien des Pâques et des Carêm

    Loin d’elle se sont écoulés ,

    Quand vint ce moment suprême

    Où par chance je l’ai trouvée ,

    Fi de ma pudeur extrême

    Enfin j’ai osé lui parler ,

    ta la la la la la la la

    ta la la la lé.

     

    Comme le ciel était très clair

    Et sa voûte bien étoilée ,

    à la vitesse de l'éclair

    enlacés nous sommes allés ,

    nous coucher à la clairière

    dans le petit bois d'à côté ,

    me demandez pas quoi faire

    je vous laisse le deviner ,

     

    Ca fait longtemps que je l'aime

    Et n’osais lui avouer ,

    bien des Pâques et des Carêm

    loin d’elle se sont écoulés ,

    quand vint ce moment suprême

    où par chance je l'ai trouvée,

    fi de ma pudeur extrême

    enfin j'ai osé lui parler ,

     

    Ca fait longtemps que je l'aime

    Et n’osais lui avouer ,

    bien des Pâques et des Carêm

    loin d’elle se sont écoulés ,

    quand vint ce moment suprême

    où par chance je l'ai trouvée,

    fi de ma pudeur extrême

    enfin j'ai osé lui parler ,

     

    ta la la la lé.

     


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