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Par julianrenan le 22 Septembre 2012 à 15:10
Si cette aventure
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et Interprétation Julian Renan
Et voilà que dansent, et voilà que chantent ,
déjà les haubans;
mais sans que j'y pense, les odeurs m'encensent,
et me donn’ vingt ans.
refrain
Et claque la toile, et vibre la voile,
au large nous allons;
Si la mer est belle, depuis La Rochelle,
irons à Quiberon.
Le lit n'est pas large, et nos deux visages,
nous rapprocherons ;
et si le tangage nous rend pas très sages,
nous nous aimerons.
refrain
Et claque la toile, et vibre la voile,
au large nous allons;
Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,
irons à Quiberon.
Si cette aventure, nous vient d'Epicure ,
vite nous le saurons ;
si ce doux murmure, laisse une morsure,
vivons le moment.
refrain
Et claque la toile, et vibre la voile,
au large nous allons;
Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,
irons à Quiberon.
Le soleil se couche, et ses couleurs rousses,
chevauchent l'horizon ;
toi tu te fais douce, et glisse ton pouce,
sous mes vêtements.
refrain
Et claque la toile, et vibre la voile,
au large nous allons;
Si la mer est belle, depuis La Rochelle ,
irons à Quiberon.
5 commentaires -
Par julianrenan le 15 Septembre 2012 à 09:17
Je marche je marche...
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
J'aime ces oiseaux de passage
que les saisons mènent au large,
où se chevauchent tous mes rêves
quand le vent souffle la falaise.
Refrain (bisé)
il y'a des abeilles qui butinent
sur la fenêtre de la cuisine,
il y'a du soleil dans les branches
et puis après tout c'est dimanche.
j'écoute les lames qui se brisent
j'écoute les chants qui en dérivent.
alors que dansent mes automnes
alors que ton prénom résonne.
Refrain (bisé)
il y'a des abeilles qui butinent
sur la fenêtre de la cuisine,
il y'a du soleil dans les branches
et puis après tout c'est dimanche.
Tout comme ces feux de la Saint Jean
qui flirtent encore avec le vent,
Tout comme la vague qui se noie
je marche je marche et je me ploie.
Refrain (bisé)
il y'a des abeilles qui butinent
sur la fenêtre de la cuisine,
il y'a du soleil dans les branches
et puis après tout c'est dimanche.
3 commentaires -
Par julianrenan le 5 Août 2012 à 09:48
Une Lumière sur la dune
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
Ma main ce soir parle à ma plume
il se fait temps d'aller coucher
c'est un peu comme une habitude
parler de toi sur le papier.
C'est quand une porte se ferme
qu'on sait enfin qui l'on aimait
mais voilà que mon cœur bohème
se met encore à espérer
et sur la page mes doigts blêmes
laissent bien des maux chavirer.
Tu dois penser je le présume
que j'ai bien dû m'encanailler
mais mes pensées sont dans la brume
et c'est l'hiver dans mon quartier.
C'est quand une porte se ferme
qu'on sait enfin qui l'on aimait
mais voilà que mon cœur bohème
se met encore à espérer
et sur la page mes doigts blêmes
laissent bien des maux chavirer.
Ma main ce soir parle à ma plume
Regard tourné vers le passé
Alors mes yeux s’emplissent d’écume
Et je ne puis volets tirer.
C'est quand une porte se ferme
qu'on sait enfin qui l’on aimait
mais voilà que mon cœur bohème
se met encore à espérer
et sur la page mes doigts blêmes
laissent bien des maux chavirer.
Une lumière sur la dune
Celle du phar’ de lîl’ de Ré
De nos amours au clair de lune
As-tu vraiment tout oublié.
C’est quand une porte se ferme
qu’on sait enfin qui l’on aimait
mais voilà que mon cœur bohème
se met encore à espérer
et sur la page mes doigts blêmes
laissent bien des mots chavirer.
C’est quand une porte se ferme
Qu’on sait enfin qui l’on aimait……
4 commentaires -
Par julianrenan le 29 Juillet 2012 à 18:50
Si tu veux m’écouter…
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
Si tu as cinq minutes si tu veux m’écouter
Ce matin je me dois de vraiment m'épancher ;
parfois hier encore tu me donnais la main
vas-tu enfin cesser de ne plus regarder
parfois hier encore tu me disais demain.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
si tu cinq minutes si tu veux m'écouter ,
Le cœur en bandoulière tu n'as pas remarqué
le temps qui vient tuer un peu le quotidien ,
s'il reste du soleil qui heurte le volet
en ce jour notre lit n'est plus vraiment le tien.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
si tu as cinq minutes si tu veux m'écouter ,
il reste trace de pas sur le sol enneigé
mais l’hiver est bien là qui enserre nos liens ,
en infime harmonie que le vent peut briser
sur nos cœurs qui s'oublient et se font baladins.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
4 commentaires -
Par julianrenan le 29 Juillet 2012 à 09:06
Comme le ciel ...
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
Quand j'ai rencontré Mariette
Soudain il me vint une idée ,
une idée tellement chouette
voilà ce que j’ai demandé ,
« viendrais-tu à cette fête
celle du quatorze juillet ,
pour faire tourner nos têtes
et me laisser t’embrasser. »
Ca fait longtemps que je l'aime
Et n’osais lui avouer ,
bien des Pâques et des Carêm’
loin d’elle se sont écoulés ,
quand vint ce moment suprême
où par chance je l'ai trouvée ,
fi de ma pudeur extrême
enfin j'ai osé lui parler,
ta la la la la la la la
ta la la la la lé.
Elle n'a pas dit non la belle
Et au bal je l'ai emmenée ,
C’est auprès de la tonnelle
Que je l'ai dans mes bras serrée ,
bien assis sur la margelle
très vite les mots j’ai trouvé ,
pour lui dire qu'elle est belle
de joie elle m'a embrassé.
Ca fait longtemps que je l’aime
Et n’osais lui avouer ,
Bien des Pâques et des Carêm’
Loin d’elle se sont écoulés ,
Quand vint ce moment suprême
Où par chance je l’ai trouvée ,
Fi de ma pudeur extrême
Enfin j’ai osé lui parler ,
ta la la la la la la la
ta la la la lé.
Comme le ciel était très clair
Et sa voûte bien étoilée ,
à la vitesse de l'éclair
enlacés nous sommes allés ,
nous coucher à la clairière
dans le petit bois d'à côté ,
me demandez pas quoi faire
je vous laisse le deviner ,
Ca fait longtemps que je l'aime
Et n’osais lui avouer ,
bien des Pâques et des Carêm’
loin d’elle se sont écoulés ,
quand vint ce moment suprême
où par chance je l'ai trouvée,
fi de ma pudeur extrême
enfin j'ai osé lui parler ,
Ca fait longtemps que je l'aime
Et n’osais lui avouer ,
bien des Pâques et des Carêm’
loin d’elle se sont écoulés ,
quand vint ce moment suprême
où par chance je l'ai trouvée,
fi de ma pudeur extrême
enfin j'ai osé lui parler ,
ta la la la lé.
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