• Tu fermes les yeux.
    Texte Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    suite à un problème de taille de fichier vous pouvez l'écouter sur

    http://julianrenan.eklablog.com/tu-fermes-les-yeux-a46902561


    Et tu fermes les yeux pour mieux t'y retrouver
    quand le cœur en dérive tu voudrais me quitter ,
    et tu écris mon nom sur le sable mouillé
    que l'océan bien vite s'empresse d'effacer.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Oubliant nos tempêtes et nos raz de marée ,
    quand tu fermes les yeux pour te faire pardonner ,
    un moment de folie sur nos amours lassés
    nous conjuguons alors le verbe nous aimer.

     Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
     par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Tu viens à l'oasis pour t'y désaltérer
    et tu fermes les yeux pour mieux t'abandonner ,
    quand j'ai levé les miens les tiens se sont baissés
    pour laisser une tache auprès de l'encrier.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    instru

    Les noires et les blanches frémissent exaltées
    sur le clavier d'ivoire doucement caressé
    ta main près de la mienne est venue se poser
    et tu fermes les yeux pour mieux les écouter.

    Et  s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Si tu reviens un jour prends soin de m'éveiller
    je serai ce navire à la coque rouillée ,
    tu couperas les chaînes où je suis amarré
    tu fermeras mes yeux pour mieux nous retrouver.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

     

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.




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  • C'EST LA FETE AU VILLAGE
    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique & Interprétation Julian Renan

    Et crépitent les flammes , autour d'un feu de joie
    où déjà tant de femmes ont le cœur en émoi. 
    Tu pourras j'en suis sûr ,la prendre par la main
    lui parler du futur lui parler de demain. 


    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons,
    quand l'orchestre s'anime  on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc ,
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est  celui des Bretons.


    C'est la foule qui chante , de Lannion à  Clisson 
     et partout dans les landes  et aussi à Ouessant.
    On ne se soucie guère , des contes et légendes ,
    qui promettaient naguère  l'enfer à tout le monde.

     
    Y'a un chant qui domine , c’est le chant des Bretons ,
    quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est le celui des Bretons

    .
     
    Et les bouteill ' de cidre , signe de l'amitié ,
    celle qu' Armel avait prises se sont toutes vidées.
    Les joueurs d'accordéon , viennent de s'approcher ,
    et leurs notes se diffusent  sur toute l'assemblée.

    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons ,
    quand l'orchestre s'anime on danse  à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine  c'est celui des Bretons.


    Dolmens et pardons , participent à la fête
    en ce jour Cupidon vient de toucher Suzette.
    Alors nous reviendrons ,pour partager les crêpes
    au mariage de Suzon nous referons la fête.



    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse  à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.



    Mais finissons la nuit , la nuit Armoricaine
    nos amoureux s'enfuient tout près de la fontaine.
    De leurs amours nouvelles , ils s'en  vont s'enivrer
    O que la vie est belle quand on se sent aimé.


     
    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.

     

    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.



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  • Vous pouvez écoutez le mp3 sur (suite à un pb enregistrement sur ce blog):

    http://julianrenan.eklablog.com/ecoute-le-noroit-a46520903

    Ecoute le Noroît
    Texte de Jean-Louis Lucas
    Musique et interprétation Julian Renan

    Me voilà prisonnier de bien des idées folles
    et j'écoute dans le soir le cri des vents hurlants
    en mon âme fatiguée des démons caracolent
    à l'abri sous mon drap je m'éveille en tremblant.

    C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
    sur la barque isolée un goéland frissonne
    et la plage désertée à décembre s'enlace
    après bien des étés après bien des automnes.

    La détresse parfois harpe du cœur frissonne
    quand la pluie traversière se déverse sur moi
    alors j'entends les bruits des gouttes qui résonnent
    parfois je rêve en vain d'avoir un feu de bois.

    C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
    sur la barque isolée un goéland frissonne
    et la plage désertée à décembre s'enlace
    après bien des étés après bien des automnes.

    Dans un coin de mémoire où ils se sont logés
    me reviennent parfois sur un chemin d'étoiles
    en cris et en souffrances en ma tête brisée
    des souvenirs précieux bien cachés sous un voile.
    .
    C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
    sur la barque isolée un goéland frissonne
    et la plage désertée à décembre s'enlace
    après bien des étés après bien des automnes.

    Je regarde le ciel et ses nuages fous
    et j'écoute le vent qui vient et qui se sauve
    habillé de lumière et de grands reflets roux
    qui souffle longuement sur l'ardent buisson rose.
    .
    C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
    sur la barque isolée un goéland frissonne
    et la plage désertée à décembre s'enlace
    après bien des étés après bien des automnes.


    Ecoute le Noroit et le chant qu'il entonne
    c'est l'hallali je crois des sirènes d'été
    pas un marin tu vois sur le port où résonne
    pas un marin ne croît tout près de la jetée.

    C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
    sur la barque isolée un goéland frissonne
    et la plage désertée à décembre s'enlace
    après bien des étés après bien des automnes.


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  •  De Brest à Santiago

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     Me voilà matelot en cap sur Coquimbo
     je rêvais de bateaux je rêvais d'hisser haut.
     J'ai bien trop écouté les gars de la marine
     qui me parlaient joyeux des ports des Philippines.
     
     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     C'est bien par désamour qu'un jour je t'ai quittée
     pour ces voyages fous je me suis en allé.
     Grisé de vagues en vagues et de rêves moins sages
     je voulais m'éloigner après nos nuits d'orages.
     
     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     Et c'est l'âme en dérive mais l'esprit embrasé
     qu'un beau jour on arrive près de la Trinité.
     Trinidad Tobago me voilà aux Antilles
     j'vais laisser mon magot comme j'ai fait à Manille.
     
     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     Les soirs où mille milles viennent nous séparer
     souvent ton doux sourire revient dans mes pensées
     et c'est dans un troquet tout près de Santiago
     que je rêve du quai ,du quai de Saint Malo.
     
     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     C'est le cri des sirènes qui devient lancinant
     être si loin de toi éveille bien des tourments.
     Aussi je ne vois guère ces filles qui s'exposent
     sur le port ou ailleurs ces filles qui proposent.....

     

    Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étapes douces et folles en passant par Lima.
     
     Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
     pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
     O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
     étape un peu folles en passant par Lima.


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  •     VIENS DONNES- MOI LA MAIN


       
    Texte de Jean-Louis Lucas

        Musique et Interprétation Julian Renan
       
        Petite fleur petit bleuet
        que le soleil a éveillé
        pleine d'odeurs et de couleurs
        tu étais mon premier bonheur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN
       
        Ma petite reine des prés
        dans la froidure de février
        parler de toi avec pudeur
       éveille en moi de la chaleur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN.
       
        Petite fille torturée
        petite princesse égarée
        si j'avais pu toucher ton cœur
        te faire oublier tes malheurs.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN
       
        Petite fleur de mes pensées
        sans le soleil pour te chauffer
        tu ne pouvais cacher tes pleurs
        malgré mes gestes de douceur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN
       
        Bien malgré moi tu t'es fanée
        malgré cet amour partagé
        tu me parlais de tes douleurs
        de cette flèche dans ton cœur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN


       
        Et l'hirondelle s'est envolée
        pour se noyer dans ses pensées
        je savais bien qu'ell' avait peur
        qu'elle refusait le bonheur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN.
       
        C'est au matin qu'on l'a trouvée
        les yeux fermés les bras croisés
        je ne saurai vous dire l'heur'
        où est mort mon petit bonheur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN
     
        C'est au matin qu'on t'a trouvée
        les yeux fermés les bras croisés
        je ne saurai te dire l'heure
        où tu es mort mon p’tit bonheur.
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN.
       
       
       
        VIENS DONNES- MOI LA MAIN
        VIENS PRENONS LE CHEMIN.............


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