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Par julianrenan le 17 Juin 2012 à 19:15
Tu fermes les yeux.
Texte Jean-Louis LucasMusique et interprétation Julian Renan
suite à un problème de taille de fichier vous pouvez l'écouter sur
http://julianrenan.eklablog.com/tu-fermes-les-yeux-a46902561
Et tu fermes les yeux pour mieux t'y retrouver
quand le cœur en dérive tu voudrais me quitter ,
et tu écris mon nom sur le sable mouillé
que l'océan bien vite s'empresse d'effacer.
Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré ,
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.
Oubliant nos tempêtes et nos raz de marée ,
quand tu fermes les yeux pour te faire pardonner ,
un moment de folie sur nos amours lassés
nous conjuguons alors le verbe nous aimer.
Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré ,
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.
Tu viens à l'oasis pour t'y désaltérer
et tu fermes les yeux pour mieux t'abandonner ,
quand j'ai levé les miens les tiens se sont baissés
pour laisser une tache auprès de l'encrier.
Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré ,
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.instru
Les noires et les blanches frémissent exaltées
sur le clavier d'ivoire doucement caressé
ta main près de la mienne est venue se poser
et tu fermes les yeux pour mieux les écouter.
Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.
Si tu reviens un jour prends soin de m'éveiller
je serai ce navire à la coque rouillée ,
tu couperas les chaînes où je suis amarré
tu fermeras mes yeux pour mieux nous retrouver.
Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
quand ballotte la barque au delà de son gré
par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.
4 commentaires -
Par julianrenan le 17 Juin 2012 à 18:53
C'EST LA FETE AU VILLAGE
Texte de Jean-Louis LucasMusique & Interprétation Julian Renan
Et crépitent les flammes , autour d'un feu de joie
où déjà tant de femmes ont le cœur en émoi.
Tu pourras j'en suis sûr ,la prendre par la main
lui parler du futur lui parler de demain.
Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons,
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc ,
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.
C'est la foule qui chante , de Lannion à Clisson
et partout dans les landes et aussi à Ouessant.
On ne se soucie guère , des contes et légendes ,
qui promettaient naguère l'enfer à tout le monde.
Y'a un chant qui domine , c’est le chant des Bretons ,
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est le celui des Bretons
.
Et les bouteill ' de cidre , signe de l'amitié ,
celle qu' Armel avait prises se sont toutes vidées.
Les joueurs d'accordéon , viennent de s'approcher ,
et leurs notes se diffusent sur toute l'assemblée.
Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons ,
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.
Dolmens et pardons , participent à la fête
en ce jour Cupidon vient de toucher Suzette.
Alors nous reviendrons ,pour partager les crêpes
au mariage de Suzon nous referons la fête.
Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.
Mais finissons la nuit , la nuit Armoricaine
nos amoureux s'enfuient tout près de la fontaine.
De leurs amours nouvelles , ils s'en vont s'enivrer
O que la vie est belle quand on se sent aimé.
Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
C'est la fête au village , allez accordez donc
près de la grande place orchestres et flonflons.
On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.
3 commentaires -
Par julianrenan le 27 Mai 2012 à 09:32
Vous pouvez écoutez le mp3 sur (suite à un pb enregistrement sur ce blog):
http://julianrenan.eklablog.com/ecoute-le-noroit-a46520903
Ecoute le Noroît
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian RenanMe voilà prisonnier de bien des idées folles
et j'écoute dans le soir le cri des vents hurlants
en mon âme fatiguée des démons caracolent
à l'abri sous mon drap je m'éveille en tremblant.
C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
sur la barque isolée un goéland frissonne
et la plage désertée à décembre s'enlace
après bien des étés après bien des automnes.
La détresse parfois harpe du cœur frissonne
quand la pluie traversière se déverse sur moi
alors j'entends les bruits des gouttes qui résonnent
parfois je rêve en vain d'avoir un feu de bois.
C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
sur la barque isolée un goéland frissonne
et la plage désertée à décembre s'enlace
après bien des étés après bien des automnes.
Dans un coin de mémoire où ils se sont logés
me reviennent parfois sur un chemin d'étoiles
en cris et en souffrances en ma tête brisée
des souvenirs précieux bien cachés sous un voile.
.
C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
sur la barque isolée un goéland frissonne
et la plage désertée à décembre s'enlace
après bien des étés après bien des automnes.
Je regarde le ciel et ses nuages fous
et j'écoute le vent qui vient et qui se sauve
habillé de lumière et de grands reflets roux
qui souffle longuement sur l'ardent buisson rose.
.
C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
sur la barque isolée un goéland frissonne
et la plage désertée à décembre s'enlace
après bien des étés après bien des automnes.
Ecoute le Noroit et le chant qu'il entonne
c'est l'hallali je crois des sirènes d'été
pas un marin tu vois sur le port où résonne
pas un marin ne croît tout près de la jetée.
C'est l'heure où sans violence la lumière s'efface
sur la barque isolée un goéland frissonne
et la plage désertée à décembre s'enlace
après bien des étés après bien des automnes.
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Par julianrenan le 27 Mai 2012 à 08:46
De Brest à Santiago
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
Me voilà matelot en cap sur Coquimbo
je rêvais de bateaux je rêvais d'hisser haut.
J'ai bien trop écouté les gars de la marine
qui me parlaient joyeux des ports des Philippines.
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
C'est bien par désamour qu'un jour je t'ai quittée
pour ces voyages fous je me suis en allé.
Grisé de vagues en vagues et de rêves moins sages
je voulais m'éloigner après nos nuits d'orages.
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
Et c'est l'âme en dérive mais l'esprit embrasé
qu'un beau jour on arrive près de la Trinité.
Trinidad Tobago me voilà aux Antilles
j'vais laisser mon magot comme j'ai fait à Manille.
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
Les soirs où mille milles viennent nous séparer
souvent ton doux sourire revient dans mes pensées
et c'est dans un troquet tout près de Santiago
que je rêve du quai ,du quai de Saint Malo.
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
C'est le cri des sirènes qui devient lancinant
être si loin de toi éveille bien des tourments.
Aussi je ne vois guère ces filles qui s'exposent
sur le port ou ailleurs ces filles qui proposent.....Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étapes douces et folles en passant par Lima.
Je suis parti de Brest pour le Costa Rica
pour oublier ma belle pour oublier ses bras.
O quelle farandole jusqu'au Nicaragua
étape un peu folles en passant par Lima.
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Par julianrenan le 12 Mai 2012 à 08:10
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
Texte de Jean-Louis LucasMusique et Interprétation Julian Renan
Petite fleur petit bleuet
que le soleil a éveillé
pleine d'odeurs et de couleurs
tu étais mon premier bonheur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN
Ma petite reine des prés
dans la froidure de février
parler de toi avec pudeur
éveille en moi de la chaleur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN.
Petite fille torturée
petite princesse égarée
si j'avais pu toucher ton cœur
te faire oublier tes malheurs.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN
Petite fleur de mes pensées
sans le soleil pour te chauffer
tu ne pouvais cacher tes pleurs
malgré mes gestes de douceur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN
Bien malgré moi tu t'es fanée
malgré cet amour partagé
tu me parlais de tes douleurs
de cette flèche dans ton cœur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN
Et l'hirondelle s'est envolée
pour se noyer dans ses pensées
je savais bien qu'ell' avait peur
qu'elle refusait le bonheur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN.
C'est au matin qu'on l'a trouvée
les yeux fermés les bras croisés
je ne saurai vous dire l'heur'
où est mort mon petit bonheur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN
C'est au matin qu'on t'a trouvée
les yeux fermés les bras croisés
je ne saurai te dire l'heure
où tu es mort mon p’tit bonheur.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN.
VIENS DONNES- MOI LA MAIN
VIENS PRENONS LE CHEMIN.............
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