• Tu es

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan


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  • Mon île n'est pas grande


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  • Garçon ne me fait pas d'histoire


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  • Dans le sable un sillon

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique & Interprétation Julian Renan

     

    ô femme que je cherche en ce désert sans fond

    que giflent tes soleils sous d' ardentes saisons

    je recherche un coin d'ombre sur ce sol brûlé,

    avant que de ne perdre la raison à jamais.

     

    Des goutelettes salées légères et cristallines

    inondent tout mon front et suivent ses ravines,

    pourtant en ce désert parfois je te devine

    qui lève doucement ma couronne d'épines.

     

    Il n'y a en ce lieu pas de feuilles qui frissonnent

    et pas de vents légers quand le sirocco sonne

    qui puissent mener ta voix où le chant d'un oiseau,

    pourtant le ciel est bleu mais il n'y a plus d'eau.

     

    Des goutelettes salées légères et cristallines

    inondent tout mon front et suivent ses ravines,

    pourtant en ce désert parfois je te devine

    qui lève doucement ma couronne d'épines.

     

    Je voudrais tant et tant y apaiser ma soif

    et trouver l'oasis, celui où tu te coiffes

    admirer ta beauté et tes cheveux d'ébènes,

    en ce psyché  au sol où tu te fais hautaine.

     

    Des goutelettes salées légères et cristallines

    inondent tout mon front et suivent ses ravines,

    pourtant en ce désert parfois je te devine

    qui lève doucement ma couronne d'épines.

     

    Faut-il que je subisse de si profonds tourments

    et s'il me faut payer au monde un châtiment

    le soleil qui me frappe altère ma raison,

    dans le sable ma croix y laisse bien des sillons.

     

    Des goutelettes salées légères et cristallines

    inondent tout mon front et suivent ses ravines,

    pourtant en ce désert parfois je te devine

    qui lève doucement ma couronne d'épine...

     

    pourtant en ce désert parfois je te devine

    qui lève doucement ma couronne d'épines.

     


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  •  

    Maman

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

    C'est au jardin des souvenirs

    que je vais chercher la chaleur...

    je viens près de toi me blottir...

    alors qu'il neige sur mon cœur

     

    Poser ma tête sur ton épaule

    attendre le petit matin...

    pour sentir ta main qui me frôle

    et qui apaise mes chagrins ...

     

    tu m'appelais ‘mon petit drôle ‘

    pour dire 'ton petit gamin'

    je n'étais pas vraiment très drôle

    mais tu me le pardonnais bien.

     

    C'est au jardin des souvenirs

    que je vais chercher la chaleur...

    je viens près de toi me blottir

    alors qu'il neige sur mon cœur

     

    Tu n'es plus là petite mère

    tu n'es plus là pour me gronder...

    s'il nous restait une heure entière                

    en tes bras j'irais me lover.

     

    J'aurais- aimé te dire ‘je t'aime’

    j'aurais tant-aimé t'enlacer...

    mais c'est une pudeur extrême

    qui m'empêchait  de m'exprimer.

     

    C'est au jardin des souvenirs

    que je vais chercher la chaleur...

    je viens près de toi me blottir

    alors qu'il neige sur mon cœur

     

    Il m'a fallu devenir homme

    pour voir combien tu t'es privée...

    pour dire combien tu étais bonne

    pour dire combien  tu m'as donné.

     

    Maintenant que mes années sonnent

    elles viennent pour me rappeler...

    qu'avant moi il n'y a  personne...

    personne pour me protéger .

     

    C'est au jardin des souvenirs

    que je vais chercher la chaleur...

    je viens près de toi me blottir

    alors qu'il neige sur mon cœur

     

    je viens près de toi me blottir...

    alors qu'il neige sur mon cœur...

     


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