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Ton Oeil Vigilant
En aventurier , J'ai beaucoup trouvé de riches trésors
Mais aucun n'avait la rare bonté de ton joli corps .
Les filles des rues ne me plaisent plus le jour ou la semaine ;
Dès que je t'ai vue ,elles ont perdu à toutes les mènes ;Ton œil vigilant que je sens souvent , Ne pèse pas lourd .
c'est , je te l'avoue , Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Un bien doux parfum , léger mais certain , comme un goéland
Vole en l'air serein ; lavande et puis thym s'y mêlent souvent .
Et d'entre les pages du souvenir nage , victorieux et sain ,
Ce bien doux mirage , cette belle image que toujours j'étreins .Ton œil vigilant que je sens souvent ,ne pèse pas lourd .
C'est , je te l'avoue ,Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Un tendre jardin au bout du chemin pour nos retrouvailles ,
Ma lèvre et sa faim tout contre ton sein et lors tu défailles !
Tes bras qui se nouent autour de mon cou sont de douces chaînesQui , je te l'avoue , Oh , par dessus tout toujours me retiennent .
Ton œil vigilant que je sens souvent , ne pèse pas lourd .
C'est , je te l'avoue , Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Texte de Gérard Salert
Musique de Patrick Moltaldo
Interprétation : Julian Renan
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JASMINE
Tu es dans un ailleurs
Où mes écrits résonnent
Et tu cherches le bonheur
Comme tant d’autres personnes
Dans ton lointain
Je t’imagine
Jasmine
Tu vis sur cette rive
Recherchant la chaleur
De mots qui te captivent
L’amour, les joies les pleurs
Vers l’incertain
Tu t’achemines
Jasmine
Tu crois à ces jours meilleurs
Ces chemins de traverse
L’horizon de douceurs
L’envie qui te transperce
De mon lointain
Je te devine
Jasmine
( pont musical )
Je ne suis qu’un poète égaré
Dans ce monde où tu aimes surfer
Tes aveux se sont évadés
Sur des flammes à partager
Vers ton lointain
Je lance des signes
Jasmine
Près de ton lointain
Je dépose ces lignes
Jasmine
Texte Bernard PICHARDIE
Musique et interprétation : Julian RENAN
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DE GALÈRE EN GALA
De galère en gala
De gala en galère
De larmes aux paupières
En explosions de joies
Dans le feu et la chair
De bonheur en éclats
Dans la cendre et la terre
De sanglots comm’ repas
De calvaire en calva
De calva en calvaire
C’est la grande misère
Qui me joue la diva
Et je vide ce verre
Rêvant mon cinéma
Dans l’ombre des lumières
Qui se colle à mes pas
De galère en gala
De gala en galère
Sur ma vie en jachère
Je recherche ma loi
Dans le vent du désert
Bien loin de l’Olympia
Je descends vers l’enfer
Espérant les vivatsDe calvaire en calva
De calva en calvaire
Mon étoile est trop fière
Pour pleurer devant toi
parlé pendant le pont musical :
J’ai même pas assez d’argent pour me payer un whisky
ou une coupe de champagne, alors je termine ma nuit
avec ce tord-boyaux infect et je pense à toi
qui m’attends dans cette chambre où je rentrerai au petit matin.
Tu apprivoiseras ma peine. Tu me diras encore que tu crois en moi.
Et moi, moi… je ferai semblant de te croire.
Quand je brame des vers
En élevant mes bras
C’est pour la France entière
Que je joue ce soir-là
De galère en gala
De gala en galère
De larmes aux paupières
En explosions de joies
De galère en gala
De gala en galère
Sur ma vie en jachère
Je recherche ma loiTexte : Bernard PICHARDIE
Musique & Interprétation: Julian RENAN
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LE CAFE BARNUM
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Dans ce cirque de bouffons
Pas de clowns ni d’orphéon
Une piste sans étoiles
L’amitié mène le bal
Le patron d'ce bric à brac
A plus d’un tour dans son sac
Si t’es un peu esseulé
Cet endroit va t’adopter
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Pour noyer tes insomnies
Quand la ville est endormie
Une faune littéraire
Réinvente la planisphère
Ecrivains en rade de texte
Comédiens pleins de complexes
Ou chanteurs qui ne sont pas
Tête d’affiche à l’Olympia
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Quand tu rentres dans ce bistrot
L’oxygène te fait défaut
Complètement intoxiqué
Par les clopes et le rosé
En joyeux méli-mélo
S’ébattent nos marginaux
Cour des miracles réunit
Quasimodo à Gipsy
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Seul bémol dans ce décor
C’est le frêle et triste corps
D’une fille qui a grandi
Entre nuits blanches et whisky
Et qui donne chaque soir
Du soleil au désespoir
Elle qui ne connaîtra pas
D’autres lieux que celui là
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Si tu crois qu’j’ai inventé
Ce p’tit bar de déjantés
Cherche un peu tu trouveras
Un Barnum près de chez toi
Ce genre de lieu pas béni
Est souvent le paradis
De gens marginalisés
Par cet’putain d’société
Je t’ai raconté bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère..... d’amitié
Texte de Jean-Michel Leleu
Musique de Jean-Pierre Lombard
Interprète : Julian Renan
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Paroles de Marino (Marie-Noëlle Rinaudo) sur lesquelles j'ai commis la musique
AMOUR TOURMENT
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Je me réveille
Je me demande pourquoi
Alors que la veille
Tu étais dans mes bras
Tout seul j’ai dormi
Dans mon lit trop grand
Pourquoi t’es partie
Mon amour tourment.
Mon corps a en mémoire les parfums de la nuit
Le souvenir gourmand de tes lèvres coquines,
Le frisson des caresses qu’offrent tes mains divines,
Ton cœur contre mon cœur et ta vie dans ma vie.
Combien de jours encore
Il me faudra attendre
Pour retrouver ton corps
Et pouvoir nous étendre
A nouveau sur la couche
S'aimer avec passion,
Ma bouche sur ta bouche.
Retrouver l’émotion.
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Je vais par habitude
De veille en lendemain,
Je traîne ma solitude
Et cache mon chagrin.
Je ne pense qu’à toi
Je ne vois plus que toi
Là où mes pas me portent
Ton ombre est mon escorte.( Pont musical )
Je me dis chaque fois
Ce sera la dernière,
Mais dès que tu es là
J’oublie tout.
Je me dis pourquoi pas
tu serais ma première
si ce n’est pas le cas
Je m’en fous.
Je ne pense qu’à toi
Je ne vois plus que toi
Là où mes pas me portent
Ton ombre est mon escorte.
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Marie-Noëlle Rinaudotexte déposé
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