• MERCI LA VIE

    Texte: Gérard Salert 

    Composition: Jean-Pierre Lombard

    I II
    Pour être né au monde   Pour cette bonne étoile
    Sans tare trop profonde   Qui nous veille sans voile
    Et pour avoir grandi   Et ces pluies de mousson 
    Dans un riche pays;   Où se lave l'affront;
    Pour avoir eu la chance   Pour ce si beau soleil
    De sortir de l'enfance   Illuminant le ciel
    Avec ce plein d'amour   Et sa douce lumière
    A donner en retour,   Où les idées s'éclairent,
    Merci la vie !   Merci la vie !
    III   IV
    Pour avoir eu la force   Pour le bien doux parfum
    D'élever ces beaux gosses   D'un bouquet de jasmin
    Et d'avoir eu le temps   Ou la saveur d'un thé
    De vivre ces moments;   Que l'on prend au goûter;
    Pour avoir préservé   Pour ces matins si beaux
    Tout ce que j'ai aimé   Avec leurs chants d'oiseaux 
    Sans que jamais ne meurent Et pour ces mille choses
    Ces instants de bonheur,   Qui font voir tout en rose,
    Merci la vie !   Merci la vie !

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  • "AU RENDEZ VOUS DE MES SOUVENIRS ..."

    Au rendez-vous de mes souvenirs , Je t'ai retrouvée ;
    Au rendez-vous de mes souvenirs Je t'ai préférée :
    A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
    Ton image s'était Vue suspendre à mon cou.

    Au rendez-vous de mes souvenirs , C'était fréquenté ,
    Au rendez-vous de mes souvenirs , Tu n'as jamais manqué;
    A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
    Tu ne m'as jamais quitté: Et ma gorge se noue !

    Au rendez-vous de mes souvenirs , Je veux être seul,
    Au rendez-vous de mes souvenirs ,Mon coeur est en deuil ;
    A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
    T'étais à mes côtés, J'étais à tes genoux !

    Au rendez-vous de mes souvenirs ,Ce grand bal masqué ,
    Au rendez-vous de mes souvenirs ,Je t'ai retrouvée ;
    A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
    Le nôtre fit coucou : Je ne peux t'oublier !


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  •            POUR SE PASSER DE VOUS ...    
    Auteur: Gérard Salert  Compositeur: Jean-Marie Djibedjan
                       
    I Vous êtes comme des diamants II Vous savez porter le "chapeau"
      Pour briller de mille facettes     Qu'à vous voir, je lève bien haut:
      Et vous parer de beaux pendants   C'est la toque dans la cuisine  
      Sur l'écrin de votre toilette .     Après la blouse de l'usine;  
      Vous aimez la beauté, la classe,   C'est la maîtresse d'un foyer  
      L'élégance et surtout la grâce   Après le stress d'une journée:  
      Pour être jusqu'aux doigts de pied   Dire que faible est votre sexe  
      Vernies, teintées et parfumées .   Me laisse on ne peut plus perplexe !
                       
          Pour se passer, lassé, de vous    
          O, Femme, il faut être un peu fou !    
          Pour se passer, lassé, de vous    
          O, Femme, il faut être un peu fou !    
                       
    III Vous aimez bien la comédie   IV Vous avez une volonté  
      Pour changer trés souvent d'habits:   A vous décrocher les étoiles  
      C'est le tailleur-jupe classique     Et, généreuse, vous donnez  
      Sur le string d'une politique;     La lune à qui lève le voile.  
      C'est le tablier du ménage     Vous pouvez être la plus tendre
      Sur un décolleté peu sage     Pour sacrifier jusqu'à la vie  
      Pour passer des larmes au rire   Comme une des plus exigeantes
      Le temps d'un éclair, d'un sourire !   Et capricieuse à l'infini .  
                       
          Pour se passer, lassé, de vous    
          O, Femme, il faut être un peu fou !    
                       
        V Vous êtes comme des diamants    
          Pour briller de mille facettes      
          Et donner des aspects changeants    
          Comme un miroir aux alouettes.    
          Vous pouvez être cette chatte    
          Qui s'étire et fait le gros dos      
          Ou cette tigresse en savates    
          Qui vous fustige de grands mots !    
                       
          Pour se passer, lassé, de vous    
          O, Femme, il faut être un peu fou !    

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  • À MA FILLE

    Toi…
    Tout en câlins
    Moi…
    Sur le déclin

    Toi…
    Tu vis tes plus tendres frissons
    Et voici qu’il te pousse
    Une allure de gazelle
    Sur les pas d’un garçon
    De cette jeune pousse
    Pour qui tu deviens belle

    Moi…
    Si je devine dans tes yeux
    Cette joie façonnée
    Par les mains de l’amour
    Je fais ce que je peux
    Mais pour te protéger
    Je n’ai plus de discours

    Toi…
    Sur le chemin
    Moi…
    Près du ravin

    Toi…
    Tu vis tes tendresses nouvelles
    Tu envahis ton coeur
    Des premiers gros chagrins
    De ceux
    qui s’amoncellent
    De ceux qui te font peur
    Quand tu quittes un copain

    Moi… Si je te vois pousser trop vite
    Je me sens affaibli
    Devant tes insolences
    Les élans qui t’agitent
    Sont des coups de fusil
    Habillant mes silences

    Toi…
    Tu viens chercher
    Auprès de moi
    Du réconfort

    Moi…
    Je vais chercher
    Rien que pour toi
    L’île au trésor

    Paroles de Bernard Pichardie


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  • LE TEMPS D’UN FEU ROUGE

    Le temps d’un feu rouge
    Se croisent deux regards,
    Tiens il se fait tard
    Venez prendre un verre.
    Le temps d’un feu rouge,
    Autour d’une table,
    Se conte une fable,
    Mousseuse comme la bière.

    Le temps d’un feu rouge,
    Un petit dîner
    Si bien cuisiné
    Auprès des chandelles.
    Le temps d’un feu rouge
    Dans le canapé
    Ils se sont aimés,
    Amour passionnel.

    Saturne bouscule Cupidon,
    Le temps ne laisse pas le temps
    De dormir sur l'édredon
    Et de savourer l'instant.

    Le temps d’un feu rouge
    Les enfants grandissent
    Voici les prémices
    Des petits conflits.
    Le temps d’un feu rouge
    Ils prennent leur envol
    Au diable l’école,
    Pour vivre leur vie.

    Le temps d’un feu rouge
    Enfin la retraite
    Plus de prise de tête
    Vivre enfin ses rêves.
    Le temps d’un feu rouge
    Tiens la maladie,
    Feux verts, sont partis,
    La vie est si brève.

    Saturne séduit la camarde,
    Le temps ne laisse pas le temps
    De traîner en arrière-garde,
    De savourer un printemps.

    Le temps d’un feu rouge
    Se croisent deux regards,
    Tiens il se fait tard
    Venez prendre un verre.
    Le temps d’un feu rouge,
    Autour d’une table,
    Se conte une fable,
    Mousseuse comme la bière.

    Saturne ignore tes prières,
    Le temps ne laisse pas le temps
    De retourner en arrière
    De revivre tous nos printemps.

    Saturne ignore tes prières,
    Le temps ne laisse pas le temps
    De retourner en arrière
    De revivre tous nos printemps.

    Jean-Pierre GEORGET

    courriel
    jean-pierre.georget@wanadoo.fr
    site
    http://www.e-monsite.com/aneries


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