• Sur un papier buvard..

    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique et Interprétation Julian Renan

    Je viens d'écrire un nom sur un papier buvard
    à l'aide d'un crayon retrouvé par hasard ,
    c'est ton nom posé là mais tu ne le sais pas
    toi qui m'a tant donné mais ne demandes pas .

    Dormir au près de toi, et me perdre en tes yeux
    la muse cette fois  me souffle un air heureux
    pour éveiller matin et revivre si tu veux
     la muse souffle en moi le bonheur d'être deux.

    C'est le bruit de la rue, qui vient nous éveiller
    et l'odeur du pain chaud du fournil d'à côté
    j'ouvre alors un rideau pour bien laisser entrer
    cet air doux du matin sur la fleur d'un rosier.

    Dormir au près de toi, et me perdre en tes yeux
    la muse cette fois me souffle  un air heureux
    pour éveiller matin et revivre si tu veux
    la muse souffle en moi le bonheur d'être deux. 

    Nous vivions en hiver notre propre printemps
    et avions oublié cette belle saison ,
    sous les rayons épars qui entrent en la maison
    il est l'heure maintenant de dévorer le temps.

    Dormir au près de toi, et me perdre en tes yeux
    la muse cette fois me souffle un air heureux
    pour éveiller matin et revivre si tu veux
    la muse souffle en moi  le bonheur d'être deux.


    Il était une histoire d'amours incomprises
    merci au doux moment qui t'a faite soumise
    une rose des vents entre nos corps s'immisce
    ah si Ronsard savait combien il est complice.

    Dormir près de toi, et me perdre en tes yeux
    la muse cette fois me souffle un air heureux
    pour éveiller matin et revivre si tu veux
    la muse souffle en moi le bonheur d'être deux.

     


    la muse souffle en moi le bonheur d'être deux.

     

     


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  • OCEAN    OCEAN
    Texte de Jean-Louis Lucas
    Musique et Interprétation Julian Renan

     

    Quand vibrait le navire de tribord à babord
    comme au temps glorieux des bateaux à sabords
    nous étions sur le pont tout près du grand pavois
    dans ces bruits incessants que mon émoi charroit.

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu jouais pour nous les plus belles des  notes.
     
    l'océan bien des fois coutait larmes aux marins
    qui souvent vomissaient un peu de leur destin
    laissant dans le sillage femmes et souvenirs
    ils scrutaient l'horizon ne voyant rien venir.

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu jouais pour nous les plus belles des notes

    Quand au bistrot du port on s'en allait chanter
    la serveuse un peu lasse faisait semblant de jouer
    mais repoussait les mains qui voulaient la toucher
    dans la salle crasseuse et toujours enfumée.

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu jouais pour nous les plus belles des  notes.

    Revenions de Cuba enfin de La Havane
    après trois jours d'escale au port de Caracas
    Grenade Grenadine et la mer des Sargasses
    évitions les Bermudes pour bien rentrer à Vannes.

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu  jouais pour nous les plus belles des notes. 

     

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu  jouais pour nous les plus belles des notes. 

     

    Océan Océan toi que j'ai tant aimé
    Océan Océan quand tu te déchainais
    tu prenais ton violon qui vibre et qui sanglote
    et tu  jouais pour nous les plus belles des notes. 

     

     

     


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  • Tu fermes les yeux.
    Texte Jean-Louis Lucas

    Musique et interprétation Julian Renan

     

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    Et tu fermes les yeux pour mieux t'y retrouver
    quand le cœur en dérive tu voudrais me quitter ,
    et tu écris mon nom sur le sable mouillé
    que l'océan bien vite s'empresse d'effacer.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Oubliant nos tempêtes et nos raz de marée ,
    quand tu fermes les yeux pour te faire pardonner ,
    un moment de folie sur nos amours lassés
    nous conjuguons alors le verbe nous aimer.

     Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
     par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Tu viens à l'oasis pour t'y désaltérer
    et tu fermes les yeux pour mieux t'abandonner ,
    quand j'ai levé les miens les tiens se sont baissés
    pour laisser une tache auprès de l'encrier.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré ,
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    instru

    Les noires et les blanches frémissent exaltées
    sur le clavier d'ivoire doucement caressé
    ta main près de la mienne est venue se poser
    et tu fermes les yeux pour mieux les écouter.

    Et  s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

    Si tu reviens un jour prends soin de m'éveiller
    je serai ce navire à la coque rouillée ,
    tu couperas les chaînes où je suis amarré
    tu fermeras mes yeux pour mieux nous retrouver.

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.

     

    Et s'éclipsent les jours lorsque s'éteint l'été
    quand ballotte la barque au delà de son gré
    par le temps se jaunissent souvenirs et papiers
    mais la porte entrouverte ne veut pas se fermer.




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  • C'EST LA FETE AU VILLAGE
    Texte de Jean-Louis Lucas

    Musique & Interprétation Julian Renan

    Et crépitent les flammes , autour d'un feu de joie
    où déjà tant de femmes ont le cœur en émoi. 
    Tu pourras j'en suis sûr ,la prendre par la main
    lui parler du futur lui parler de demain. 


    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons,
    quand l'orchestre s'anime  on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc ,
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est  celui des Bretons.


    C'est la foule qui chante , de Lannion à  Clisson 
     et partout dans les landes  et aussi à Ouessant.
    On ne se soucie guère , des contes et légendes ,
    qui promettaient naguère  l'enfer à tout le monde.

     
    Y'a un chant qui domine , c’est le chant des Bretons ,
    quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est le celui des Bretons

    .
     
    Et les bouteill ' de cidre , signe de l'amitié ,
    celle qu' Armel avait prises se sont toutes vidées.
    Les joueurs d'accordéon , viennent de s'approcher ,
    et leurs notes se diffusent  sur toute l'assemblée.

    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons ,
    quand l'orchestre s'anime on danse  à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine  c'est celui des Bretons.


    Dolmens et pardons , participent à la fête
    en ce jour Cupidon vient de toucher Suzette.
    Alors nous reviendrons ,pour partager les crêpes
    au mariage de Suzon nous referons la fête.



    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse  à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.



    Mais finissons la nuit , la nuit Armoricaine
    nos amoureux s'enfuient tout près de la fontaine.
    De leurs amours nouvelles , ils s'en  vont s'enivrer
    O que la vie est belle quand on se sent aimé.


     
    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.

     

    Y'a un chant qui domine , c'est le chant des Bretons
      quand l'orchestre s'anime on danse à l'unisson.
    C'est la fête au village , allez accordez donc
    près de la grande place orchestres et flonflons.
    On fait vibrer l'estrade , guirlandes et lampions
    mais le chant qui domine c'est celui des Bretons.



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    COMPLAINTE DES REGRETS

    (amour perdu)

    Texte de Jacques Mège

    Musique et Interprétation : Julian Renan

     

    Un décor tapageur, autour de moi le bruit,

    Je sais que c’est un leurre, je cherche un paradis

    Je sais bien que pour l’heure, je suis encore maudit

    Pourtant chaque pécheur a le droit à l’oubli

     

    Alors pour ce passé dont je fais confession

    Et pour tous mes péchés je demande pardon

     

    Pour écarter les ronces du chemin que je suis

    Il faut que je renonce à  ce que fut ma vie

    Cette vie de  mensonges qui depuis me poursuit

    Ces regrets qui me rongent et qui hantent mes nuits

     

    En mon esprit le doute se coule et s’insinue

    L’issue que je redoute… C’est un amour perdu

     

    Je cherche la fraîcheur au milieu du chaos

    Espoir de voyageur  ou lueur de flambeau

    Vers un monde enchanteur, vers un eldorado

    Découvrir l’âme sœur et mon alter égo

     

    Pont

     

    Il faut que je renonce à ce que fut ma vie

    Cette vie de mensonge de fureur et de bruit

    Je sais bien que pour l’heure, je suis encore maudit

    Pourtant chaque pêcheur a le droit à l’oubli

     

    Alors pour ce passé dont je fais confession

    Et pour tous mes péchés je demande pardon

     

    Alors pour ce passé dont je fais confession

    Et pour tous mes péchés je demande pardon

     

    Alors pour ce passé dont je fais confession

    Et pour tous mes péchés je demande pardon


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