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Par julianrenan le 19 Juin 2010 à 13:59
Ton Oeil Vigilant
En aventurier , J'ai beaucoup trouvé de riches trésors
Mais aucun n'avait la rare bonté de ton joli corps .
Les filles des rues ne me plaisent plus le jour ou la semaine ;
Dès que je t'ai vue ,elles ont perdu à toutes les mènes ;Ton œil vigilant que je sens souvent , Ne pèse pas lourd .
c'est , je te l'avoue , Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Un bien doux parfum , léger mais certain , comme un goéland
Vole en l'air serein ; lavande et puis thym s'y mêlent souvent .
Et d'entre les pages du souvenir nage , victorieux et sain ,
Ce bien doux mirage , cette belle image que toujours j'étreins .Ton œil vigilant que je sens souvent ,ne pèse pas lourd .
C'est , je te l'avoue ,Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Un tendre jardin au bout du chemin pour nos retrouvailles ,
Ma lèvre et sa faim tout contre ton sein et lors tu défailles !
Tes bras qui se nouent autour de mon cou sont de douces chaînesQui , je te l'avoue , Oh , par dessus tout toujours me retiennent .
Ton œil vigilant que je sens souvent , ne pèse pas lourd .
C'est , je te l'avoue , Oh , par dessus tout , celui de l'Amour .Texte de Gérard Salert
Musique de Patrick Moltaldo
Interprétation : Julian Renan
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Par julianrenan le 5 Juin 2010 à 18:58
VIE DE MARIN
I
A l'approche de mon départ,
Elle se fait tendre et sans fard
Elle m'avoue sa lassitude
Pour affronter la solitude.
Elle vient alors tout contre moi
Se nicher au creux de mes bras
Et se serrant fort sur nos cœurs
On fait cargaison de douceurs
Pour ces lendemains sans bonheur.
R
Matelots et marins, notre avenir s'expose aux drames
Que devienn'nt alors nos femmes.
Ainsi combien de doux rêv's / tombent à l'eau
Et s'engloutiss'nt / au fond des flots.
II
C'est maintenant l'heur' du départ,
Celle où l'on se dit "Au revoir",
Celle où se tendent les mouchoirs
Trempés des pleurs de désespoir.
Le bateau est vite très loin
Pour n'être au large plus qu'un point.
Le ventre alors de l'océan
Peut paraître plus menaçant
Que celui d' la mer aux mamans.
R
Matelots et marins, notre avenir s'expose aux drames
Que devienn'nt alors nos femmes.
Ainsi combien de doux rêv's / tombent à l'eau
Et s'engloutiss'nt / au fond des flots.
III
Ell' prie pour un' bonn' météo
Toujours accro à ma radio.
Ses journées tout comme ses nuits
Sans moi ne sont jamais finies.
Si la corn' de brume résonne
Ell' déclenche de vrais cyclones
Qui la font trembler comm' personne.
Et si l' bateau prend du retard
Ell' vit alors un cauchemar.
R
Matelots et marins, notre avenir s'expose aux drames
Que devienn'nt alors nos femmes.
Ainsi combien de doux rêv's / tombent à l'eau
Et s'engloutiss'nt / au fond des flots.
Matelots et marins, notre avenir s'expose aux drames
Que devienn'nt alors nos femmes.
Ainsi combien de doux rêv's / tombent à l'eau
Et s'engloutiss'nt / au fond des flots.
Ainsi combien de doux rêv's / tombent à l'eau Et s'engloutiss'nt / au fond des flots.
Etc …
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Par julianrenan le 30 Mai 2010 à 13:45
"AU RENDEZ VOUS DE MES SOUVENIRS ..."
Au rendez-vous de mes souvenirs , Je t'ai retrouvée ;
Au rendez-vous de mes souvenirs Je t'ai préférée :
A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
Ton image s'était Vue suspendre à mon cou.
Au rendez-vous de mes souvenirs , C'était fréquenté ,
Au rendez-vous de mes souvenirs , Tu n'as jamais manqué;
A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
Tu ne m'as jamais quitté: Et ma gorge se noue !
Au rendez-vous de mes souvenirs , Je veux être seul,
Au rendez-vous de mes souvenirs ,Mon coeur est en deuil ;
A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
T'étais à mes côtés, J'étais à tes genoux !
Au rendez-vous de mes souvenirs ,Ce grand bal masqué ,
Au rendez-vous de mes souvenirs ,Je t'ai retrouvée ;
A chaque rendez-vous Que je leur ai donné ,
Le nôtre fit coucou : Je ne peux t'oublier !
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Par julianrenan le 26 Mai 2010 à 15:22
SI T'AS LES BOULES
Quand ton travail t'a absorbé Tôt le matin jusqu'en soirée,
Tu as la tête si farcie Qu'elle déborde de soucis.
Lors, il suffit de pas grand-chose Pour que tu te mett's en pétard
Et que de suite tu t'exploses A force de cris, le cigare.
Si t'as les boul's, fais comme nous Et fais le vid' mais pas de trou
Et que tu point's ou que tu tires Fais-nous, fais-toi surtout plaisir.
Quand t'as pointé dès le matin A l'A.N.P.E de ton coin,
Il ne faut pas bien pour autant Se foutre à l'eau mais tuer le temps.
Pourquoi broyer chez toi du noir Tout seul avec ce gros cafard:
Tu en auras un jour si marre Que tu vas t'tirer sans espoir.
Perds pas la boul' , fais comme nous Et viens jouer pour pas un sou.
A l'apéro, tu verras comme Tu s'ras d'venu un tout autre homme.
Crois pas pourtant que c'est un jeu Quand c'est un sport des plus sérieux.
Il fait appel à la technique Autant qu'à la forme physique.
A la tactique, y a le tic-tac De la montre où tous les nerfs craquent
Et puis surtout cette maîtrise Pour ne pas s' mettre en boule, en crise.
Si t'as les boul's, vas les jouer Mais ne nous casses plus les pieds:
On a beau avoir de l'adresse Il faut savoir gérer le stress.
Si t'as les boul's, fais comme nous Et fais le vid' mais pas de trou
Et que tu point's ou que tu tires Fais-nous, fais-toi surtout plaisir.
Perds pas la boul' , fais comme nous Et viens jouer pour pas un sou.
A l'apéro, tu verras comme Tu s'ras d'venu un tout autre "homme" ! ...
Arrangement de ALAIN OLIVE
Musique de Patrick Moltaldo
Texte de Gérard Salert
http://salertchansons.centerblog.net
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Par julianrenan le 26 Mai 2010 à 15:13
LE PETIT !
Il porte bien des noms Pour un si p'tit bouchon
Et c'est bien vrai pourtant Qu'son rôle est important.
Sans lui, on est sans but, Au bord de la culbute
Et il faut vers lui tendre Et se faire bien tendre
Pour , collant, le serrer L'étreindre et le têter.
Petit bouchon, / Peintre ou cochon
C'est toi qu'on veut / Dans tout le jeu;
Dés qu'on te tient / Bien dans la main
On sait qu'alors, / On est l' plus fort.
Il reste en buis de bois Quand des larmes le noient
A s'entendre appeler De cochon, cochonnet.
Est-ce parce qu'il joue Des tours qu'on désavoue
Ou parce que c'est lui Qui le port définit
Mais je trouve en effet Laid ce nom d' cochonnet.
Petit bouchon, / Peintre ou cochon
C'est toi qu'on veut / Dans tout le jeu;
Dés qu'on te tient / Bien dans la main
On sait qu'alors, / On est l' plus fort.
Le petit, c'est le nom Que de tous, je préfère
Et tous mes biberons Le fêt'nt à leur manière.
Il est rond pour rouler Non pas sous mais sur terre
Et pour mieux énivrer Tous ceux-là qui l'enserrent
Il se fait bien tirer Comme trop désiré.
Petit bouchon, / Peintre ou cochon
C'est toi qu'on veut / Dans tout le jeu;
Dés qu'on te tient / Bien dans la main
On sait qu'alors, / On est l' plus fort.
Pas trop loin du vieux port Les cochonets s'arborent
Pour faire des parties Toute l'après-midi.
Le petit est lancé Et des boules pointées
Mais c'est au bord du trou Qu'on le tire de coup
Car embrasser Fanny Vous consol' du petit.
Petit bouchon, / Peintre ou cochon
C'est toi qu'on veut / Dans tout le jeu;
Dés qu'on te tient / Bien dans la main
On sait qu'alors, / On est l' plus fort.
Musique: Patrick Moltaldo
Arrangement de ALAIN OLIVE
Texte de Gérard Salert
http://salertchansons.centerblog.net
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