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Par julianrenan le 28 Mai 2012 à 16:21
« OUBLIE NOUS DEUX »
Texte et musique : Patrick Moltaldo
Interprétation : Julian Renan
J’regardais pas assez le ciel , j’avais « la tête à tes cheveux » …
Ton souvenir au goût de miel , m’a distrait de sa couleur bleue …
Assis sur la petite parcelle, j’oubliais que la vie est belle
C’est alors qu’un nuage a caché le soleil :
j’ai levé les yeux …
J’ai enfin vu les cumulus se déchirer dans l’bleu du ciel ,
J’ai contemplé les drôles de figures qu’effectuaient des hirondelles …
Assis sur un « parterre » de fleurs, j’ai pu enfin trouvé l’bonheur ;
Entre les pissenlits , un trèfle à quatre feuilles :
Oublié nous deux …
J’ai trouvé la facilité , rien qu’à « voir » quand je regardais … :
Je devais être en grande forme , bien reposé :
Comme on dit : levé du bon pied !
J’ai pu enfin défaire les nœuds qu’j’avais mis tant d’mois à croiser ;
Chasser les fantômes langoureux de ces désirs qu’l’on m’imposait …
J’ai pu m’libérer de « l’emprise » ; ne plus attendre de « surprise » ! :
Libérer mon esprit ,dans ma tête : ma « propre église » ! …
Oublié nous deux …
J’ai trouvé la facilité , à n’pas avoir à t’ téléphoner :
J’ai coupé tous les liens , le fil , cesser le courrier ,
Comme si j’mettais « éliminé » …
je n'ai pas eu b'soin d'voir la mer
j'ai eu juste à m'asseoir sur terre !
au milieu des pissenlits , d'un champs de trèfles ,
j'me suis guérit !
quand le nuage a caché le soleil
quand j'ai levé les yeux , j' n'ai plus souffert
du manque de nous "deux", tout dev'nait clair :
Au milieu des pissenlits , d'un champ de trèfles ,
j'me suis guérit !
quand le nuage a caché le soleil !
lorsque j'ai contemplé le bleu du ciel
au dessous du balai des hirondelles !
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Par julianrenan le 26 Mars 2011 à 10:44
« SUR LES QUAIS »
Je vois le linge aux fenêtres, les façades de couleur, et les mâts des bateaux arrimés …
Le soleil reflète, balade sa chaleur aux passants s’en allant au marché .
Un peintre dessine une mouette et puis met tout son cœur à finir d’achever son tableau
Pour moi le temps s’arrête et je goûte là « la Provence » : un instant de repos .
Ref : Sur les quais , je longe les maisons du bonheur, les unes les autres accolées ;
dans le passé, on pouvait voir le travail des pêcheurs, réparant leur filet ...
Je vois les arbres en travers sur la place à Ferrières, les ponts bleus qui chevauchent l’étang
Quelques personnes prennent l’air, les autres se servent un verre : L’atmosphère de détente à son temps .
Sur cette longue rivière quelques bateaux de fer nous rappellent les usines et l’enfer :
Celui qui brûle l’étang et fait de l’ancien temps un souvenir pour tous ces vieux loups
d’ mer
Ref : Qui sur les quais ,se rappellent le temps des voiliers et du ciel dégagé ,
Pas de fumées, de pollution de poison transparent à humer .
Je marche dans les rues nouvelles, j'aperçois le clocher : les pigeons ont élus domicile,
Les avions traversent le ciel pour aller se poser , j'ai l’impression sur une île ...
Quelques enfants se rebellent et moi je me rappelle mon enfance aux « miroir aux oiseaux »
là , moi quand j’étais minot, avec du papier , je faisais des bateaux ...
Ref : Sur les quais , je longe les maisons du bonheur où on avait vue sur les cales
Des pointus, qui accostaient sur ce coin nommé la « Venise provençale ».
*Le parfum de nostalgie de ce petit paradis , je le retrouve le Dimanche
Laisses moi rien que marcher à pieds sur la rue pavée en attendant que tout se « déclenche ».
J’ai la passion pour la paix de ces p’tites maisons bleutées ,
C’est là que je veux demeuré , même un soupçon de ma vie ,
pour le week-end comme on dit ou bien pour l’éternité.
Sur les quais, je longe les maisons du bonheur les unes les autres accolées ,
Dans le passé, on pouvait voir le bonheur des pêcheurs réparant leur filets …
Sur les quais …..
Dans le passé ….
Texte et musique : Patrick Moltaldo
Je vous invite à regarder la vidéo créée sur cette chanson sur le blog de Patrick :
http://moltaldocompo.centerblog.net/156-
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Par julianrenan le 8 Janvier 2011 à 19:23
Presque Madeleine
Paroles et musique: Patrick Moltaldo
tu marchais la tête baissée
pour cacher ta désinvolture,
c'est pas facile de concilier
au milieu de leur imposture,
toi tu t'étonnes de tous ces gens
qui te chahutes dans tes tourments,
ils empoisonnent tes élans
qui eux légitiment ton serment ...
... que tu as fait pendant qu'on danses
pour oublier les jours d'offenses
aux milieux des autres familles
en paix devant des enfants qui rient
mais aujourd’hui tu as vingt ans
et saches que "ce n'est que seulement",
qu'à chaque jour suffit sa peine ... :
rie donc Marie, presque "Madeleine" !
...
tu t'imagines que ce que tu portes
certaines autour en sont lassées,
et dans ton coeœur en quelques sortes ,
y'a t'il vraiment la "vérité"?
C'est pas facile parce que tu es reine
de tes actes désordonnés,
Tes décisions sont comme des chaines ,
des guenilles à t'arracher..
C'est pas tragique parce que tu aimes
et ça , c'est déjà bien Donner,
Bien "mieux acquis" que perdre haleine
pour des "peines de condamnés".
et puis que veux-tu qu'on y fasse?
personne ne lit dans ta mémoire ! :
Seuls "tes yeux ont leur histoire" , :
de grandes fenêtres sans volets ...
prends bien soin de ta transparence ,
saisis les oiseaux le matin ;
étale le voile de la patience ,
ne t'arrêtes pas rien qu'à "demain"
distribue bien "l'indifférence"
mais donnes une chance , tends la main ;
dans le berceau de l'espérance ,
il y a les enfants de demain ...
qui sont les "armes de la providence" ,
les anges qui changeront le destin ,
parmi les théâtres de batailles ,
quelques acteurs anodins
et viens au sein de la famille ,
même de la mienne si t'es que "fille" ,
viens rire , chanter , montes sur la scène :
joues donc ton rôle de "jeune reine";
Si tu as besoin de lumière
pour "éclairer" certaines pensées ,
tu dois un peu nous laisser faire ,
avoir confiance en nos idées ...
Fais-moi le sourire que j'aime
et laisse faire la "volonté" ,
"L'Amour" ne veut pas que tu te "freines" ,
rie donc Marie , presque "Madeleine" !...
Fais-moi le sourire que j'aime
et laisse faire la "volonté" ,
"L'Amour" ne veut pas que tu te "freines" ,
rie donc Marie , presque "Madeleine" !...
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Par julianrenan le 30 Décembre 2010 à 20:21
« J’AIMERAIS »
Texte de Mireille Fayollet
Musique de Patrick Moltaldo
J’aimerais voir le monde en perle d’Univers
Une Terre où le vent ne saurait que danser
J’aimerais que les Hommes aient le droit d’aventure
Au lieu de travailler pour payer leurs factures
Je rêve d’utopie au fond de mon panier
Je pourrais l’échanger contre ma poésie
Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé
Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer
Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves
Accueillent en leur berceau un petit nouveau-né
Je tresserai pour lui mes derniers cheveux blancs
Pour qu’un tissu d’argent orne de jour sa nuit.
Je saurai dévider l’écheveau de mes veines
Et broder un manteau de plumes et de soleil
Je me nourrirai d’ombre et tairai les silences
En vue d’ouvrir les ondes aux mélodies feutrées
Je veux bien embarquer sur un radeau de muses
Et me perdre aux remous d’un poème hors de sens
Errer sur l’océan d’un univers sans lune
Voir mon aube s’éteindre à la lumière du soir
Les rivières de l’oubli perfusées dans mes peines
Pour combler ce désir de mon enfant qui saigne
Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé
Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer
Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves
Accueillent en leur berceau, un petit nouveau-né
J’aimerais que là-haut, tout en bas, où ailleurs,
Une graine de pluie déniche dans l’Ether
Un petit bout de fruit, une fleur à mûrir
Petit Etre en futur dans le jardin des limbes
Entends-tu les doux sons qui s’unissent pour toi
Le cœur d’une maman dans le chœur d’un papa ?
Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé
Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer
Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve
En offrant un berceau à l’enfant espéré …
Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé
Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer
Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve
En offrant un berceau à l’enfant espéré …
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Par julianrenan le 18 Septembre 2010 à 21:44
« SI , LOIN DE TOI ... »
Pr’essayer de toucher ton cœur , j’ai appris « l’émotion » par cœur :
Quelques phrases qui rimes , une mélodie facile ;:
Une octave de ma voix et quelqu’ « palapapa »!
Je veux encore croire au bonheur , bien sur effacer tous les pleurs :
Mes phrases malhabiles, qui froissent et qui abîmes ,
Effacées , j’ te promet , de mon vocabulaire ...
J’espère bien qu’un jour toi tu m’reviendras
Qu’on pourra encore mieux se serrer dans nos draps
Entre nos « quatre murs » , sans habits sans « armures »,
Te murmurant à l’oreille de plus belles choses …
Ref : SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté des paroles tendres :
Pardonnes moi et saches que : « - Ce n’était pas pour mettre « mon cœur à vendre » !
Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,
Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !
Je m’étais perdu sur la scène (ou) , dev’nu sourd à cause des « larsens »?
Plongé dans ma passion , noyé d’ mes illusions, :
Pour une fois dans ma vie , un vrai « feu d’artifice » !
Et tous ces gens qui m’ont conduis , ceux qui m’ont toujours applaudi ,
Dans mes grands découchés , mes dimanches manqués :
Un métier qui demande beaucoup de sacrifices !
Je commence aujourd'hui à regretter ce temps :
J’composé qu’ pour toi dans notre appartement :
Solitaire , anonyme ...; un public magnanime
Qu’tu r’présentais seule applaudissant mes airs ...
Ref : SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté des paroles tendres :
Pardonnes moi et saches que : « - Je ne mettrais jamais « mon cœur à vendre » !
Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,
Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !
J’essaie de rallumer la flamme , éteinte à force de toutes les larmes
Que j’ai trop fait couler , ... je sais … j’en ai trop fait ! :
Comment n’ pas comprendre ton départ sans laisser d’ traces?
Il me manque une « part » , ma « moitié » et c’est moi qui l’a condamné :
J’t’cherche dans mon sommeil ; des cauchemars me réveillent :
Je me rends compte maint' nant que rien n’ te remplace ...
J’espère' que très bientôt te parviendra ce chant ,
Pourqu’tu reviennes chez nous, là où triste, j'attends:
La maison renaîtra au seul son de ton rire ! ..
Et R’viendrons dans ma voix les mots que tu désires ...et
Ref : SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté des paroles tendres :
Pardonnes moi et saches que : « - Ce n’était pas pour mettre « mon cœur à vendre » !
Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,
Mon seul espoir est d’te « chanter » … chanter ma façon d’aimer SI , … LOIN DE TOI , ...
Paroles et Musique : Patrick Moltaldo
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