• « OUBLIE NOUS DEUX »

     

    Texte et musique : Patrick Moltaldo

    Interprétation : Julian Renan

     

     

    J’regardais pas assez le ciel , j’avais « la tête à tes cheveux » …

    Ton souvenir au goût de miel , m’a distrait de sa couleur bleue …

    Assis sur la petite parcelle, j’oubliais que la vie est belle

    C’est alors qu’un nuage a caché le soleil :

    j’ai levé les yeux …

     

    J’ai enfin vu les cumulus se déchirer dans l’bleu du ciel ,

    J’ai contemplé les drôles de figures qu’effectuaient des hirondelles …

    Assis sur un « parterre » de fleurs, j’ai pu enfin trouvé l’bonheur ;

    Entre les pissenlits , un trèfle à quatre feuilles :

    Oublié nous deux …

     

    J’ai trouvé la facilité , rien qu’à « voir » quand je regardais … :

    Je devais être en grande forme , bien reposé :

    Comme on dit : levé du bon pied !

     

    J’ai pu enfin défaire les nœuds qu’j’avais mis tant d’mois à croiser ;

    Chasser les fantômes langoureux de ces désirs qu’l’on m’imposait …

    J’ai pu m’libérer de « l’emprise » ; ne plus attendre de « surprise » ! :

    Libérer mon esprit ,dans ma tête : ma « propre église » ! …

    Oublié nous deux …

     

    J’ai trouvé la facilité , à n’pas avoir à t’ téléphoner :

    J’ai coupé tous les liens , le fil , cesser le courrier ,

    Comme si j’mettais « éliminé » …

     

    je n'ai pas eu b'soin d'voir la mer

    j'ai eu juste à m'asseoir sur terre !

    au milieu des pissenlits , d'un champs de trèfles ,

    j'me suis guérit !

    quand le nuage a caché le soleil

     

    quand j'ai levé les yeux , j' n'ai plus souffert

    du manque de nous "deux", tout dev'nait clair :

    Au milieu des pissenlits , d'un champ de trèfles ,

    j'me suis guérit !

    quand le nuage a caché le soleil !

    lorsque j'ai contemplé le bleu du ciel

    au dessous du balai des hirondelles !

     


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  • « SUR LES QUAIS »

     

    Je vois le linge aux fenêtres, les façades de couleur, et les mâts des bateaux arrimés …

    Le soleil reflète, balade sa chaleur aux passants s’en allant au marché .

    Un peintre dessine une mouette et puis met tout son cœur à finir d’achever son tableau

    Pour moi le temps s’arrête et je goûte là « la Provence » : un instant de repos .

     

    Ref  :   Sur les quais , je longe les maisons du bonheur, les unes les autres accolées ;

                dans le passé, on pouvait voir le travail des pêcheurs, réparant leur filet ...

     

    Je vois les arbres en travers  sur la place à Ferrières, les ponts bleus qui chevauchent l’étang

    Quelques personnes prennent l’air, les autres se servent un verre : L’atmosphère de détente à son temps .

    Sur cette longue rivière  quelques bateaux de fer nous rappellent les usines et l’enfer :

    Celui qui brûle l’étang et fait de l’ancien temps un souvenir pour tous ces vieux loups

    d’ mer 

     

    Ref : Qui sur les quais ,se rappellent le temps des voiliers et  du ciel dégagé ,

             Pas de fumées, de pollution de poison transparent à humer .

     

    Je marche dans les rues nouvelles,  j'aperçois le clocher : les pigeons ont élus domicile,

    Les avions traversent le ciel  pour aller se poser , j'ai l’impression sur une île ...

    Quelques enfants se rebellent et moi je me rappelle mon enfance  aux « miroir aux oiseaux »

     là , moi quand j’étais minot, avec du papier , je faisais des bateaux ...

     

    Ref  :   Sur les quais , je longe les maisons du bonheur où on avait vue sur  les cales

              Des pointus, qui  accostaient sur ce coin nommé la « Venise provençale ».

     

    *Le parfum de nostalgie de ce petit paradis , je le retrouve le Dimanche

    Laisses moi rien que marcher à pieds sur la rue pavée en attendant que tout se « déclenche ».

    J’ai la passion pour la paix de ces p’tites maisons bleutées ,

    C’est là que  je veux demeuré , même un soupçon de ma vie ,

    pour le week-end comme on dit ou bien pour l’éternité.

     

    Sur les quais, je longe les maisons du bonheur les unes les autres accolées ,

    Dans le passé, on pouvait voir le bonheur des pêcheurs réparant leur filets …

     

    Sur les quais …..

    Dans le passé ….

     

    Texte et musique : Patrick Moltaldo

     

    Je vous invite à regarder la vidéo créée sur cette chanson sur le blog de Patrick :

    http://moltaldocompo.centerblog.net/156-


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  • Presque Madeleine

    Paroles et musique: Patrick Moltaldo

     

    tu marchais la tête baissée

    pour cacher ta désinvolture,

    c'est pas facile de concilier

    au milieu de leur imposture,

    toi tu t'étonnes de tous ces gens

    qui te chahutes dans tes tourments,

    ils empoisonnent tes élans

    qui eux légitiment ton serment ...

     

    ... que tu as fait pendant qu'on danses

    pour oublier les jours d'offenses

    aux milieux des autres familles

     en paix devant des enfants qui rient

     mais aujourd’hui tu as vingt ans

    et saches que "ce n'est que seulement",

    qu'à chaque jour suffit sa peine ... :

    rie donc Marie, presque "Madeleine" !

    ...

     

    tu t'imagines que ce que tu portes

    certaines autour en sont lassées,

    et dans ton coeœur en quelques sortes ,

    y'a t'il vraiment la "vérité"?

    C'est pas facile parce que tu es reine

    de tes actes désordonnés,

    Tes décisions sont comme des chaines ,

    des guenilles à t'arracher..

     

    C'est pas tragique parce que tu aimes

    et ça , c'est déjà bien Donner,

    Bien "mieux acquis" que perdre haleine

    pour des "peines de condamnés".

    et puis que veux-tu qu'on y fasse?

    personne ne lit dans ta mémoire ! :

    Seuls "tes yeux ont leur histoire" , :

    de grandes fenêtres sans volets ...

     

     

    prends bien soin de ta transparence ,

    saisis les oiseaux le matin ;

     étale le voile de la patience ,

    ne t'arrêtes pas rien qu'à "demain"

    distribue bien "l'indifférence"

    mais donnes une chance , tends la main ;

     dans le berceau de l'espérance ,

    il y a les enfants de demain ...

     

    qui sont les "armes de la providence" ,

    les anges qui changeront le destin ,

    parmi les théâtres de batailles ,

    quelques acteurs anodins

    et viens au sein de la famille ,

    même de la mienne si t'es que "fille" ,

    viens rire , chanter , montes sur la scène :

    joues donc ton rôle de "jeune reine";

     

    Si tu as besoin de lumière

    pour "éclairer" certaines pensées ,

    tu dois un peu nous laisser faire ,

    avoir confiance en nos idées ...

    Fais-moi le sourire que j'aime

    et laisse faire la "volonté" ,

    "L'Amour" ne veut pas que tu te "freines" ,

    rie donc Marie , presque "Madeleine" !...

     

    Fais-moi le sourire que j'aime

    et laisse faire la "volonté" ,

    "L'Amour" ne veut pas que tu te "freines" ,

     rie donc Marie , presque "Madeleine" !...

     


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  • « J’AIMERAIS »

     

    Texte de Mireille Fayollet

    Musique de Patrick Moltaldo

     

    J’aimerais voir le monde en perle d’Univers

    Une Terre où le vent ne saurait que danser

    J’aimerais que les Hommes aient le droit d’aventure

    Au lieu de travailler pour payer leurs factures

    Je rêve d’utopie au fond de mon panier

    Je pourrais l’échanger contre ma poésie

     

    Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé

    Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer

    Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves

    Accueillent en leur berceau un petit nouveau-né

                      

    Je tresserai pour lui mes derniers cheveux blancs

    Pour qu’un tissu d’argent orne de jour sa nuit.

    Je saurai dévider l’écheveau de mes veines

    Et broder un manteau de plumes et de soleil

    Je me nourrirai d’ombre et tairai les silences

    En vue d’ouvrir les ondes aux mélodies feutrées

     

    Je veux bien embarquer sur un radeau de muses

    Et me perdre aux remous d’un poème hors de sens

    Errer sur l’océan d’un univers sans lune

    Voir mon aube s’éteindre à la lumière du soir

    Les rivières de l’oubli perfusées dans mes peines

    Pour combler ce désir de mon enfant qui saigne

     

    Ref :Mais surtout j’aimerais qu’elle invente un bébé

    Que son ventre soit doux, arrondi pour l’aimer

    Et que les mains d’amant du semeur de ses rêves

    Accueillent en leur berceau, un petit nouveau-né

     

    J’aimerais que là-haut, tout en bas, où ailleurs,

    Une graine de pluie déniche dans l’Ether

    Un petit bout de fruit, une fleur à mûrir

    Petit Etre en futur dans le jardin des limbes

    Entends-tu les doux sons qui s’unissent pour toi

    Le cœur d’une maman dans le chœur d’un papa ?

     

    Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé

    Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer

    Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve

    En offrant un berceau à l’enfant espéré …

     

    Mais surtout j’aimerais qu’elle berce un bébé

    Que son foyer soit doux attendri pour l’aimer

    Et que leurs yeux de parents réalisent un rêve

    En offrant un berceau à l’enfant espéré …


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  • « SI , LOIN DE TOI ... » 

     

    Pr’essayer de toucher ton cœur , j’ai appris « l’émotion » par cœur :

    Quelques phrases qui rimes , une mélodie facile ;:

    Une octave de ma voix et quelqu’ « palapapa »!

     

    Je veux encore croire au bonheur , bien sur effacer tous les pleurs :

    Mes phrases malhabiles, qui froissent et qui abîmes ,

    Effacées , j’ te promet , de mon vocabulaire ...

     

    J’espère bien qu’un jour toi tu m’reviendras

    Qu’on pourra encore mieux  se serrer  dans nos draps

    Entre nos « quatre murs » , sans habits sans « armures »,

    Te murmurant à l’oreille de plus belles choses …

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

         Pardonnes moi et saches que :  « - Ce n’était pas pour mettre « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !

     

    Je m’étais perdu sur la scène (ou) ,  dev’nu sourd à cause des « larsens »?

    Plongé dans ma passion , noyé d’ mes illusions, :

    Pour une fois dans ma vie , un vrai « feu d’artifice » !

    Et tous ces gens qui m’ont conduis  ,  ceux qui m’ont toujours applaudi ,

    Dans mes grands découchés , mes dimanches manqués :

    Un métier qui demande beaucoup de sacrifices !

     

    Je commence aujourd'hui à regretter ce temps :

    J’composé qu’ pour toi dans notre appartement :

    Solitaire , anonyme  ...; un public magnanime

    Qu’tu r’présentais seule applaudissant mes airs ...

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

             Pardonnes moi et saches que :  « - Je ne mettrais jamais « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est de « chanter » … chanter ma façon d’aimer !

     

    J’essaie de rallumer la flamme , éteinte à force de toutes les larmes                            

    Que j’ai trop fait couler , ... je sais … j’en ai trop  fait ! :         

    Comment n’ pas comprendre ton départ sans laisser d’ traces?                                  

                                                  

    Il me manque une « part » , ma « moitié »  et c’est moi qui l’a condamné :                                          

     J’t’cherche dans mon sommeil   ; des cauchemars me réveillent : 

    Je me rends compte maint' nant que rien n’ te remplace           ...                               

                           

    J’espère' que très bientôt te parviendra ce chant ,                                           

    Pourqu’tu reviennes chez nous, là où triste, j'attends:                                      

    La maison renaîtra au seul son de ton rire        ! ..                              

    Et R’viendrons dans ma voix les mots que tu  désires ...et 

     

    Ref :  SI , … LOIN DE TOI , j’ai chanté  des paroles tendres :

        Pardonnes moi et saches que :  « - Ce n’était pas pour mettre  « mon cœur à vendre » !

             Bien loin de toi , je n’ai plus de raison de vivre ,

             Mon seul espoir est d’te « chanter » … chanter ma façon d’aimer SI , … LOIN DE TOI , ...

     

    Paroles et Musique : Patrick Moltaldo

     

     


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