• LE CHATEAU DE L'ESPERANCE

    J'fais la cour debout.

    J'ai de l'amour sur les joues.

    J'écris jour après jour avec goût.
    J'fais un tour dans le domaine.

    J'y savoure la fontaine.

    Je souris au retour de ma Reine.
    J'adresse des roses à ma dulcinée.

    Je dresse de la prose sur papier.

    Je cesse le morose sur mes traits.
    J'aligne les rimes.

     Je souligne l'illégitime.

    J'indigne le richissime.

    Le château de l'espérance.

    berceau de la tolérance.

    Flambeaux pour la paix.

    Drapeaux pour l'égalité.
    Le château de l'espérance.

    Renouveau et délivrance.

    Oiseaux blancs pour la pureté.

    Bateaux flottants pour la liberté.

    J'rêve toutes les nuits.

    J'enlève les doutes et l'insomnie.

    Je m'élève et écoute les mélodies.
    J'fais que penser à mon hirondelle.

    J'fais que bronzer au soleil.

    J'fais que dessiner à l'aquarelle.
    J'suis acteur de ma vie.

    J'suis preneur pour l'envie.

    J'suis acheteur pour les rubis.
    J'ai besoin d'une âme-sœur.

    J'ai les refrains dans la flamme de mon cœur.

    Afin d'attirer une femme de couleur.

    Le château de l'espérance.

    Cadeau de la bienveillance.

    Gâteaux pour le partage.

    Joyaux pour l'habillage.
    Le château de l'espérance.

    L'anneau de la reconnaissance.

    L'eau pour la bénédiction.

    Les tonneaux pour la réconciliation.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     


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  • Cent jours et cent nuits

     

    Cent jours et cent nuits.

    En ta compagnie.

    C'était vraiment un amour de folie.

    Dans ma vie.

    Les secondes étaient des heures.

    Sur ce Monde de couleur.

    Sans que gronde la douleur.


    Cent jours et cent nuits.

    En ta présence.

    C'était tellement court, mais joli.

     Dans le silence.

    Tes câlins étaient profonds.

    Tous les matins, très bons.

    Surtout avec tes petits soins à l'horizon.


    Cent jours et cent nuits.

    Prés de ton corps.

    J'étais totalement dans la cour du Paradis.

    Emerveiller par tant d'or.

    Tes baisers étaient d'une saveur absolue.

    Ta pureté était une fraîcheur, qui m'a plus.

    Ta sincérité était une valeur sur l'Avenue.


    Cent jours et cent nuits.

    Dans cette histoire parfaite.

    C'était touchant, comme le velours d'une poésie.

    Mais dès à présent, c'est la tempête.

    Et noir dans ma tête.

    Mais l'espoir à fait de moi un poète.

    Pour pouvoir continuer ma voie dans la fête.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     


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