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Si tu veux m'écouter...
Si tu veux m’écouter…
Texte de Jean-Louis Lucas
Musique et interprétation Julian Renan
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
Si tu as cinq minutes si tu veux m’écouter
Ce matin je me dois de vraiment m'épancher ;
parfois hier encore tu me donnais la main
vas-tu enfin cesser de ne plus regarder
parfois hier encore tu me disais demain.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
si tu cinq minutes si tu veux m'écouter ,
Le cœur en bandoulière tu n'as pas remarqué
le temps qui vient tuer un peu le quotidien ,
s'il reste du soleil qui heurte le volet
en ce jour notre lit n'est plus vraiment le tien.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque, et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois ,
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Il faut que je te parle je ne puis plus garder
si tu as cinq minutes si tu veux m'écouter ,
il reste trace de pas sur le sol enneigé
mais l’hiver est bien là qui enserre nos liens ,
en infime harmonie que le vent peut briser
sur nos cœurs qui s'oublient et se font baladins.
Souviens- toi sur la place le banc était en bois
il y avait un kiosque et tu m'attendais là
te souviens -tu aussi de ce joueur de hautbois
serrés l'un contre l'autre nous écoutions Ferrat.
Fanon venait parfois nous chanter ses émois
petit pêcheur de lune "écharpe" sous le bras
qu’il portait à son cou même s’il n’avait pas froid
quand fond d’air était doux en souvenir de toi.
Tags : chanson, variété, chanson française, interprétation, variété française, chanteur français, chanson à texte
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Commentaires
2LéoneSamedi 4 Août 2012 à 15:04A écouter sans modération!
j'ai adoré ! beau texte, belle musique et superbe voix ! mille bravo Jean-Louis et Jean-Luc. Amicalement3marysouDimanche 5 Août 2012 à 11:52encore une belle chanson
tres beau :belles paroles et belle interprétation comme toujours ;votre complicités fait des merveilles : bravo : et bisous colores de vos succès4lucasjlMardi 21 Août 2012 à 14:58merci
Merci Julian , parfois tu dois souffrir tout de même ,pour mettre en musique un texte pas très évident. Promis (enfin peut-être pas ) maintenant j'écrirais "amour avec toujours"
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très beau texte bien mis en valeur par une belle musique encore bravo à tous les deux bisous