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Par julianrenan le 15 Octobre 2011 à 18:03
Mon enfant
Texte de C Mafille pour son petit garçon Juluan
http://mesitinerrances.wordpress.com.
Musique et Interprétation : Julian Renan
A ton regard profond qui cherche mon regard,
A tes doigts si parfaits qui enserrent ma main,
A ta bouche goulue qui dévore mon sein.
A ton rire joyeux, carillon dans mon cœur,
A tes pleurs quelquefois quand je ne suis pas là,
A mes larmes aujourd’hui, perdue dans notre nuit.
Aux châteaux de sable que nous ne ferons pas,
Aux plongeons dans la mer, à la vague à l’écume,
A la glace à la fraise et aux barba papas.
A ton petit doudou si désœuvré sans toi
A ta boîte à musique qui ne chante plus,
A cet adolescent que je voyais en Toi.A cette famille que nous aurions formée,
A tes frères et sœur, à la petite souris,
A ce Papa Noël que tu n’as pas connu.
Ton enfance me manque et j’ai perdu la mienne
Quelques fois je la cherche au creux de mon miroir.
Où est cette fillette au cœur rempli d’espoir,
Face à des lendemains qui chanteraient, peut-être.
Enfant privé d’enfance Maman privée d’enfant,
Je t’offre Petit Homme la mer et le vent,
L’arc en ciel un oiseau qui s’envole en chantant,
Le Renard et la Rose, endors toi mon enfant.
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Par julianrenan le 3 Juin 2011 à 10:14
In nineteen fifty five
Texte & Musique : Julian Renan
In nineteen fifty five, je suis né
Ce fût parait-il une excellente année
Je ne fus pas le seul dans ce cas,
Il y eu, parait-il Nicolas
Tout petit, j’avais le temps de vivre
Et pas vraiment le goût des livres
J’aimais plutôt flâner
Et prendre le temps d’être câliner
In nineteen fifty five, je suis né
Une excellente année pour le vin bordelais
Je ne fus pas le seul qui naquit
Il y eu, paraît-il, Valérie
Et comme ado, je n’sais pas trop
Si mes hormones me titillaient
Auprès des filles j’étais pas celui qui comptait
Les autres gars étaient plus beaux
In nineteen fifty five, je suis né
Bien que ce soit une excellente année
Elle ne fût pas singulière
Car James et Georges nous quittèrent
Et quand j’atteins l’âge de raison
Et que naquirent mes deux garçons
Grâce à une épouse attentionnée
J’ai laissé aller mes idées
In nineteen fifty five, je suis né
Ce fût parait-il une excellente année
Car elle le fût vraiment, sans mentir
Puisqu’Alain, Michel et Bruce naquirent
Et quand je regarde vers le futur
Si je me garde de démesure
Dans le domaine de l’artistique
Je m’élèverais par la musique
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Par julianrenan le 1 Mai 2011 à 11:20
Loguivy de la mer
Texte : François Budet
Arrangement musical & interprétation : Julian Renan
Ils reviennent encore à l'heure des marées
S'asseoir sur le muret le long de la jetée
Ils regardent encore au-delà de Bréhat
Respirant le parfum du vent qui les appelle
Mais s'il est révolu le temps des Terres Neuvas
La race des marins, chez nous ne s'en va pas
(Refrain)
Loguivy de la mer, Loguivy de la mer
Tu regardes mourir, les derniers vrais marins
Loguivy de la mer, au fond de ton vieux port
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.
Ils ont connu le temps où la voile était reine
Ils parlent de haubans, de focs et de misaines
De tout ce qui fait le charme de leur vie
Et qu'ils emporteront avec eux dans l'oubli
Mais il est révolu le temps des Cap-Horniers
Il reste encore chez nous d'la graine d'aventuriers
(au Refrain)
Je n'ai jamais su dire ce que disent leurs yeux
Perdu dans ces visages burinés par le vent
Ces beaux visages d'hommes, ces visages de vieux
Qui savent encore sourire et dire à nos vingt ans
Remettez vos cabans et rompez les amarres
Allez-y de l'avant, mais tenez bon la barre.
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Par julianrenan le 16 Janvier 2011 à 19:10
Ô femmes, femmes, femmes
( Paroles de chanson )
Grâce et beauté divine,
Douceur et volupté
Avec dans votre regard,
Une étoile nommée flamme
Femmes, femmes, Ô femmes
De vous, on n'peux se passer
Ô mes douces coquines
Vous serez toujours belles
Belles et Ô combien fidèles
Belles, belles, belles
Toutes les femmes sont belles
Si... Belles
Femmes, que vous êtes belles
D'vous, nous sommes l'otage
D' nos tendres nuits volages
Entre nos mains tremblantes
Vous êtes exceptionnelles
En nous comblant sans attentes
D'amour et de tendresse
Ô femmes, femmes, femmes
Sans vous, ça s'rait un drame
De ne pouvoir partager
Quelques douceurs tant rêvées
Un petit regard coquin
Un sourire ravageur
Pour un moment de douceur
Auprès de vous, vous si belles
Ô femmes, femmes, femmes
Ravivez notre flamme
Jolies donzelles
Volez belles coccinelles
Volez dans nos draps satin
Déposez votre parfum
Avec délice et douceur
Femmes, que vous êtes belles
Belles, belles, si belles
Ô femmes, femmes, femmes
Vous aimer est un dilemme
Car brunes, rousses, blondes
Nous vous aimons telle quelle
Alors, qui faut-il choisir ?
Toutes, vous êtes si belles
Douces et éternelles
Un brillant avenir
Pour nous , les hommes
Version parlé
Ô femmes
Pour la beauté du monde
Pour t'aimer à genoux
J'envole des colombes
Je bâtis dans les houx
Une maison profonde
Ô femmes
L'amour nous fait une âme
Écrit par Jenny MARTY
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Une louve fibropensive & fibropoésies
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Par julianrenan le 15 Janvier 2011 à 17:10
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