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Par julianrenan le 30 Décembre 2010 à 20:33
« IL MANQUE UN SENTIMENT »
Cette chanson fut inspirée par un texte de Bernard Pichardie
Tout prés du téléphone posé sur le bottin,
À même le plancher,
Se trouve son calepin :
À la douzième consonne, la page pleine à moitié,
Mon numéro noté est situé à la fin
Un contenu « basic » pour une jeune femme libre,
Des estimes logiques comme maintient de l’équilibre.
Elle m’appelle souvent, c’est pas d’ça que je me plains ;
Mais qu’ j’sui pas l’ « amant », juste un meilleur copain ...
Ref : Il manque un sentiment dans « l’appel » ...
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle,
Je demande ce qui est dû : juste une main tendue :
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
Absente préoccupée, quand j’l'invite à manger
Dissipée, débordée, elle pourra pas passer ...
Une pensée d’amitié ; « salut à la prochaine »
J’raccroche le combiné, je n’éprouve aucune haine
Pas d’ranqueur amère, pas de colère aigüe,
Mais consterné, dépité, à la voir m’éviter
Je sais qu'elle compte sur moi comme un frère un cousin
Les confidences ne s’f’’ront, jamais sur le coussin
Ref : car il manque un sentiment dans l'appel
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle ...
Je demande ce qui est dû : juste une main tendue !
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
De grandes et bonnes excuses pour des lapins posés
Regret quand elle refuse parfois de m’accompagner
Ravie de me retrouver, heureuse de me connaître
Rassurée, rassasiée quand elle reçoit mes lettres
Inquiète, solidaire aux mauvaises nouvelles
À nos manques de moral, à, « jeter » aux poubelles.
Sérieuse, autoritaire quand elle fait sa « police »,
Elle sait quand ça fait mal à subir l’injustice ...
Ref : Mais il manque un sentiment dans « l’appel » ...
Moi qui ai si souvent rêvé d’elle
Je demande ce qui m’est dû : juste une main tendue ! :
L’indifférence, elle, m’est bien parvenue !
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Par julianrenan le 30 Juillet 2010 à 18:55
LA TERRE EST RONDE
(Paroles & musique: Alain GUERIN)
Ils sont près de l'enfer
Et trop loin de nos coeurs,
Que nos humbles prières
Ont une drôle d'odeur.
Toutes nos insuffisances
Au fond des grands déserts,
Le manque de pitance
Qui leur fait la misère.
Et ces maîtres carrés
Qui savent faire l'école,
Les "au-dessus" planqués
Tous ces blanchis du col,
A longueur de discours
Nous rabâchent des leçons,
Et oublient tous les cours
Dans leurs récréations.
Mais la terre est ronde
Elle n'a pas de bout,
Elle veut que ce monde
Est à eux, comme à nous.
De tous ces pieux refrains
Sous leurs mines tragiques,
Plus rien le lendemain
On connait la musique.
Partager un nanti
Pour rendre des vies meilleures,
C'est une vue de l'esprit
Sans en voir la couleur.
Que faudra-t'il attendre,
Rébellion ou menace?
Qu'on vienne un jour nous prendre
Notre si chaude place.
Nos piteux grabataires
Aux abris stratègiques,
Nous mettrons dans la guerre
Pour une question de fric.
Mais la terre est ronde
Elle n'a pas de bout,
Elle veut que ce monde
Est à eux, comme à nous.
Le peuple se révolte
Pas d'oubli de leçons,
Les colères se transportent
Quand on ne dit que non.
Gardons bien en mémoire
Que des êtres humains,
Peuvent avoir la victoire
D'un pouvoir qui les tient.
Car la terre est ronde
Elle n'a pas de bout,
Elle veut que ce monde
Est à eux, comme à nous.
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Par julianrenan le 3 Juillet 2010 à 08:22
MA FILLE A QUITTE LA MAISON
Paroles de Jacques-Hubert Frougier
déposées à la Sacem
Musique et interprétation de Julian Renan
Ma fille a quitté la maison
Sans un seul mot d’explication
Elle est partie je ne sais où
Pourquoi pour qui ça me rend fou
Elle est partie de son plein gré
Mais dans quels bras est-elle tombée ?
Je suis un père à la dérive
perpétu’llement sur le qui vive
MA FILLE EST ENCORE UNE ENFANT
MAIS UNE ENFANT DE 17 ANS
CA N’EST DEJA PLUS UNE ENFANT
C’EST UNE FEMME MAINTENANT
Je marche seul dans la maison
En me posant mille questions
J’ouvre la porte de sa chambre
Où ses poupées semblent l’attendre
Sur son piano une partition
Par terre ses bottes d’équitation
Je reste seul dans la nuit
Jusqu’au bout de mes insomnies
MA FILLE EST ENCORE UNE ENFANT
MAIS UNE ENFANT DE 17 ANS
CA N’EST DEJA PLUS UNE ENFANT
C’EST UNE FEMME MAINTENANT
Bien sûr je me culpabilise
C’est aujourd’hui qu’je réalise
Que je ne l’ai pas vu grandir
Que je l’aimais sans le lui dire
Pour qu’elle comprenne que je l’aime
Pour qu’elle m’entende et qu’elle revienne
On pourra tout recommencer
Si elle veut bien me pardonner
MA FILLE N’EST PLUS UNE ENFANT
C’EST UNE FEMME MAINTENANT
MA FILLE JE T’AIME
JE T’AIME…
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Par julianrenan le 19 Juin 2010 à 13:17
Paroles de Marino (Marie-Noëlle Rinaudo) sur lesquelles j'ai commis la musique
AMOUR TOURMENT
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Je me réveille
Je me demande pourquoi
Alors que la veille
Tu étais dans mes bras
Tout seul j’ai dormi
Dans mon lit trop grand
Pourquoi t’es partie
Mon amour tourment.
Mon corps a en mémoire les parfums de la nuit
Le souvenir gourmand de tes lèvres coquines,
Le frisson des caresses qu’offrent tes mains divines,
Ton cœur contre mon cœur et ta vie dans ma vie.
Combien de jours encore
Il me faudra attendre
Pour retrouver ton corps
Et pouvoir nous étendre
A nouveau sur la couche
S'aimer avec passion,
Ma bouche sur ta bouche.
Retrouver l’émotion.
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Je vais par habitude
De veille en lendemain,
Je traîne ma solitude
Et cache mon chagrin.
Je ne pense qu’à toi
Je ne vois plus que toi
Là où mes pas me portent
Ton ombre est mon escorte.( Pont musical )
Je me dis chaque fois
Ce sera la dernière,
Mais dès que tu es là
J’oublie tout.
Je me dis pourquoi pas
tu serais ma première
si ce n’est pas le cas
Je m’en fous.
Je ne pense qu’à toi
Je ne vois plus que toi
Là où mes pas me portent
Ton ombre est mon escorte.
Le vague à l'âme,
Surfe sur ma tristesse,
Le vague à l'âme,
Sans espoir de tendresse.
Marie-Noëlle Rinaudotexte déposé
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Par julianrenan le 19 Juin 2010 à 13:09
Voici un texte de Franck Gama que j'ai mis en musique
site
http://gama83.monsite.wanadoo.fr
blog
http://gama83.blog4ever.comCE SONT NOS ENFANTS
Regarde au fond d’eux
Même s’ils te sourient
Ils pleurent silencieux
Par peur de l’oubli
Mais quand cessera
Cette indifférence
Mais quand arrivera
Leur juste délivrance
leur juste délivrance
Entends ces cris
Qui percent la nuit
Ne ferme pas ta fenêtre
C’est ton enfant peut-être
Faut-il en mourir
De vouloir vivre
Faut-il en mourir
De vouloir rire
Qui entend ces cris
Et qui voit leurs larmes
Ils sont là tapis
Croupis dans leurs drames
Croupis dans leurs drames
Entends ces cris
Qui percent la nuit
Ne ferme pas ta fenêtre
C’est ton enfant peut-être
Ils voudraient sourire
Éclairer leurs nuits
Beaucoup crèvent de faim
D’autres meurent de froid
Tendons une main
Suffit de le vouloir
Pourquoi cette souffrance
Pour notre enfance
Pour notre enfance
Entends ces cris
Qui percent la nuit
Ne ferme pas ta fenêtre
C’est ton enfant peut-être
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