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Par julianrenan le 21 Avril 2013 à 17:04
Aussi souvent que d’une rose
Texte d’Alain GirardCopyright. Tous Droits Réservés.
Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD
Musique et interprétation Julian Renan
Si, près de Toi, il m’a tant plu
De regarder en ton miroir
Si, depuis, je suis peu ou plus
C’est que la vie va ses grimoires !
Le soleil inonde un faux pas
Comme d’un faux pas l’on s’éprend !
Le reste est là où l’où n’est pas
Puis reste ce que l’on comprend !
Un jour, au soleil éprouvé,
Les mains de la vie se souviennent :
« Comme j’avais su te trouver ! »
Et le gré des Valses de Vienne !
D’un jour, la nuit veille dans l’ombre
Infiniment comme un regard
Pour une pluie où l’on s’égare
Où la Chanson qui ne fut sombre !
Il fera doux bientôt, je sais !
Le printemps ouvre toute porte
A l’éclosion qu’un cœur emporte
Et ce qu’il dit, ce qu’il essaie !
Pour vivre il n’est assez de soi,
Ni de Celui qui voudrait être
Un homme que l’on aperçoit
Un beau matin, de sa fenêtre !
Non cela n’est pas le bonheur
Ni sa chanson, ni son parfum…
Au temps, le temps sonne son heure
Et de tous les temps vient la fin !
Auprès de Toi, comme un trouvère,
Il est mon cœur même brisé !
Je ne sais que t’offrir mes vers
Comme, tendrement, la rosée
« Sur les feuilles mortes » se pose
Et balbutie l’amour autant…
Aussi souvent que d’une rose
Une main d’une main s’attend !
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Par julianrenan le 5 Avril 2013 à 18:29
Et de par trop aimer d’aimer je ne sais l’or !
Alain Girard
Le 14 03 2013
Copyright. Tous Droits Réservés
Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARDhttp://alaingirard.vefblog.net/cat2/4.html#JULIAN_RENAN_chante_Et_de_par_trop_aimer_daimer_je-com
Musique & interprétation : Julian Renan
Après beaucoup de pluie, après beaucoup de froid
Après avoir marché par des jours défendus
Lorsqu’il pleut sur la vie, lorsque pleurent les droits
J’attendais un sourire, une main, un endroit
Qui fut autre secret que celui d’un pendu !
Je regarde partout mais ne perçoit nulle ombre
Au soleil balbutiant des beautés indolores !
Il est peut-être en moi bien des choses qui sombrent,
Des rêves de la vie que trop de vies encombrent
Et de par trop aimer d’aimer je ne sais l’or !
Je peux, petitement, piétiner l’imposture
Evincer ma douleur aux fenêtres du temps,
N’écrire que des Mots qui n’auraient de rature
Ou bien cette chanson dont fleurit la nature
Et vous semblez un Être élagué de l’instant !
Mais lorsque je m’éteins mes mots brillent d’un peu,
D’un peu de ma douleur et beaucoup de savoir
Qu’à vos pauvres façons il n’est le moindre feu
Ni le moindre secret qui ne serait un jeu
Car vous allez la vie pour ne plus rien en voir !
D’un souvenir, mon cœur, quand l’amour m’épousa,
J’ouvrais les bras du vent qui fait danser les fleurs ;
Il est en ma passion ce qu’on y déposa
La ronce d’un bonsoir, le frais d’un mimosa
Comme un rire en chantant fait chanter quelques pleurs !
Après beaucoup de pluie, après beaucoup de froid
Après avoir marché par des jours défendus
Lorsqu’il pleut sur la vie, lorsque pleurent les droits
J’attendais un sourire, une main, un endroit
Qui fut autre secret que celui d’un pendu !
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Par julianrenan le 22 Décembre 2012 à 18:56
Du haut de mon balcon.
Texte d’Alain Girard Le 22 11 2012
Copyright. Tous Droits Réservés
Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD
Musique et interprétation Julian Renan
Du haut de mon balcon
Espérant alentour
Voir un peu plus d’amour
Entendre la tendresse
Ou – du moins – son ivresse…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
Pour un regard perdu
Je me sentais pendu,
Ivre mort des douleurs
De ces regards qui pleurent…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
La nuit se faisait belle
Même au fond des poubelles
J’y plongeait mon regard
Comme un jour l’on s’égare…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
La lune dans les cieux
Me fit penser à Dieu
Comme à Celle que j’aime
Au miroir d’un poème…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
Etonné des souffrances
Je regardais la France
Et ses jeux engourdis,
Tout ce qu’Elle dédie…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
Pour un baiser volage,
Un regard, un présage
Un autre paysage
Il y eut un éclair
Tout ce qu’il faut pour plaire…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
Je vous imaginais :
Enfants de ce qui naît
Sur la route des jours
Où – quand - même l’amour
Ne vous aurait tués
Comme une prostituéeAu trottoir de personne
Et vos vies qui résonnent…
Je ne vis que passer des cons !
Du haut de mon balcon
Lorsque le soir s’assoit
Qu’à cela je perçois
Un peu la pluie qui vient
Sur la main que l’on tient
Sur le corps qu’on caresse
Et toutes les jeunesses
Qui hurlent parmi nous
Nous sommes à genoux :
On a vu que passer des cons
Du haut de nos balcons !
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Par julianrenan le 7 Juillet 2012 à 16:38
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Texte Alain Girard - Le 1 07 2012 - Copyright. Tous Droits réservés.
Musique Julian Renan
La taille du fichier étant conséquent vous pouvez écouter cette chanson sur:
http://julianrenan.eklablog.com/mes-mots-sur-ta-bouche-a47295093
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
Le ciel étroit, en sa demeure,
Accueille ce qui, de Nous, meure ;
Une chanson, une guitare
Aux soubresauts de nos retards !... nos retards
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
Je suis le secret d’un silence
A ton âme comme l’on pense
Un jour, un autre, une ombre, un cri ;
Je suis bien peu mais… je t’écris :… je t’écris
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
De la montagne naît la source
Où l’homme ainsi cherche sa course
Et le piètre et le bel étrange
Où l’Homme se voudrait un ange !... oh un ange
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
D’un autre ciel vient ma chanson
Comme tout passe où nous passons ;
Je suis le geste, le sonneur
D’un mal écrit pour un bonheur !... un bonheur
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
Du vent s’élève l’autre orage
Où nous sommes nus et sans âge
Où la beauté des aquilons
Connaît le jour, le jour trop long !... trop long
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
J’ai pris le gré d’un tendre espoir
Aux matins fiévreux de tes soirs ;
Je suis le rêve d’une vie
Le contre temps de tes envies… tes envies
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
Je m’endors où tu me reviens !
Je suis celui qui se souvient
D’un bel automne qui prêta
Nos jours anciens sur Etretat !... Etretat
Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
Où, du soleil, ainsi se couche
Un autre soir inhabité
Qui chante / haut la Liberté !
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