• Aussi souvent que d’une rose
    Texte d’Alain Girard

    Copyright. Tous Droits Réservés.
    Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD

    Musique et interprétation Julian Renan

    Si, près de Toi, il m’a tant plu
    De regarder en ton miroir
    Si, depuis, je suis peu ou plus
    C’est que la vie va ses grimoires !

    Le soleil inonde un faux pas
    Comme d’un faux pas l’on s’éprend !
    Le reste est là où l’où n’est pas
    Puis reste ce que l’on comprend !

    Un jour, au soleil éprouvé,
    Les mains de la vie se souviennent :
    « Comme j’avais su te trouver ! »
    Et le gré des Valses de Vienne !

    D’un jour, la nuit veille dans l’ombre
    Infiniment comme un regard
    Pour une pluie où l’on s’égare
    Où la Chanson qui ne fut sombre !

    Il fera doux bientôt, je sais !
    Le printemps ouvre toute porte
    A l’éclosion qu’un cœur emporte
    Et ce qu’il dit, ce qu’il essaie !

    Pour vivre il n’est assez de soi,
    Ni  de Celui qui voudrait être
    Un homme que l’on aperçoit
    Un beau matin, de sa fenêtre !

    Non cela n’est pas le bonheur
    Ni sa chanson, ni son parfum…
    Au temps, le temps sonne son heure
    Et de tous les temps vient la fin !

    Auprès de Toi, comme un trouvère,
    Il est mon cœur même brisé !
    Je ne sais que t’offrir mes vers
    Comme, tendrement, la rosée

    « Sur les feuilles mortes » se pose
    Et balbutie l’amour autant…
    Aussi souvent que d’une rose
    Une main d’une main s’attend !



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  • Et de par trop aimer d’aimer je ne sais l’or !
    Alain Girard
    Le 14 03 2013
    Copyright. Tous Droits Réservés
    Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD

    http://alaingirard.vefblog.net/cat2/4.html#JULIAN_RENAN_chante_Et_de_par_trop_aimer_daimer_je-com

     

    Musique & interprétation : Julian Renan

    Après beaucoup de pluie, après beaucoup de froid
    Après avoir marché par des jours défendus
    Lorsqu’il pleut sur la vie, lorsque pleurent les droits
    J’attendais un sourire, une main, un endroit
    Qui fut autre secret que celui d’un pendu !

    Je regarde partout mais ne perçoit nulle ombre
    Au soleil balbutiant des beautés indolores !
    Il est peut-être en moi bien des choses qui sombrent,
    Des rêves de la vie que trop de vies encombrent
    Et de par trop aimer d’aimer je ne sais l’or !

    Je peux, petitement, piétiner l’imposture
    Evincer ma douleur aux fenêtres du temps,
    N’écrire que des Mots qui n’auraient de rature
    Ou bien cette chanson dont fleurit la nature
    Et vous semblez un Être élagué de l’instant !

    Mais lorsque je m’éteins mes mots brillent d’un peu,
    D’un peu de ma douleur et beaucoup de savoir
    Qu’à vos pauvres façons il n’est le moindre feu
    Ni le moindre secret qui ne serait un jeu
    Car vous allez la vie pour ne plus rien en voir !

    D’un souvenir, mon cœur, quand l’amour m’épousa,
    J’ouvrais les bras du vent qui fait danser les fleurs ;
    Il est en ma passion ce qu’on y déposa
    La ronce d’un bonsoir, le frais d’un mimosa
    Comme un rire en chantant fait chanter quelques pleurs !

    Après beaucoup de pluie, après beaucoup de froid
    Après avoir marché par des jours défendus
    Lorsqu’il pleut sur la vie, lorsque pleurent les droits
    J’attendais un sourire, une main, un endroit
    Qui fut autre secret que celui d’un pendu !




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  • Du haut de mon balcon.

    Texte d’Alain Girard Le 22 11 2012
    Copyright. Tous Droits Réservés
    Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD


    Musique et interprétation Julian Renan


    Du haut de mon balcon
    Espérant alentour
    Voir un peu plus d’amour
    Entendre la tendresse
    Ou – du moins – son ivresse…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    Pour un regard perdu
    Je me sentais pendu,
    Ivre mort des douleurs
    De ces regards qui pleurent…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    La nuit se faisait belle
    Même au fond des poubelles
    J’y plongeait mon regard
    Comme un jour l’on s’égare…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    La lune dans les cieux
    Me fit penser à Dieu
    Comme à Celle que j’aime
    Au miroir d’un poème…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    Etonné des souffrances
    Je regardais la France
    Et ses jeux engourdis,
    Tout ce qu’Elle dédie…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    Pour un baiser volage,
    Un regard, un présage
    Un autre paysage
    Il y eut un éclair
    Tout ce qu’il faut pour plaire…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    Je vous imaginais :
    Enfants de ce qui naît
    Sur la route des jours
    Où – quand - même l’amour
    Ne vous aurait tués
    Comme une prostituée

    Au trottoir de personne
    Et vos vies qui résonnent…

    Je ne vis que passer des cons !

    Du haut de mon balcon
    Lorsque le soir s’assoit
    Qu’à cela je perçois
    Un peu la pluie qui vient
    Sur la main que l’on tient
    Sur le corps qu’on caresse
    Et toutes les jeunesses
    Qui hurlent parmi nous
    Nous sommes à genoux :

    On a vu que passer des cons
    Du haut de nos balcons !


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  • Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Texte Alain Girard - Le 1 07 2012 - Copyright. Tous Droits réservés.
    Musique Julian Renan

    La taille du fichier étant conséquent vous pouvez écouter cette chanson sur:

    http://julianrenan.eklablog.com/mes-mots-sur-ta-bouche-a47295093

     

     

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    Le ciel étroit, en sa demeure,
    Accueille ce qui, de Nous, meure ;
    Une chanson, une guitare
    Aux soubresauts de nos retards !... nos retards

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    Je suis le secret d’un silence
    A ton âme comme l’on pense
    Un jour,  un autre, une ombre, un cri ;
    Je suis bien peu mais… je t’écris :… je t’écris

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    De la montagne naît la source
    Où l’homme ainsi cherche sa course
    Et le piètre et le bel étrange
    Où l’Homme se voudrait un ange !... oh un ange

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    D’un autre ciel vient ma chanson
    Comme tout passe où nous passons ;
    Je suis le geste, le sonneur
    D’un mal écrit pour un bonheur !... un bonheur

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    Du vent s’élève l’autre orage
    Où nous sommes nus et sans âge
    Où la beauté des aquilons
    Connaît le jour, le jour trop long !... trop long

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    J’ai pris le gré d’un tendre espoir
    Aux matins fiévreux de tes soirs ;
    Je suis le rêve d’une vie
    Le contre temps de tes envies… tes envies

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

    Je m’endors où tu me reviens !
    Je suis celui qui se souvient
    D’un bel automne qui prêta
    Nos jours anciens sur Etretat !... Etretat

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !

     

    Mes mots s’inscrivent sur ta bouche
    Où, du soleil, ainsi se couche
    Un autre soir inhabité
    Qui chante / haut la Liberté !


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