Quand   Greame chante…

Texte de Jean-Louis Lucas

Musique et interprétation Julian Renan

Toi qui chantes sans tes chaussures

à la colo tu étais roi,

et nous allons trinquer bien sûr

à « l'amitié l'amour la joie »,

Dès que tu entres sur la scène

sous la lumièr' des projecteurs,

en un instant tu nous entraînes

avec « Suzanne » dans ton cœur,

tu viens nous chanter Léonard (Cohen )

et « la bouteille » sur ton chemin,

tu dis qu'il n'est jamais trop tard

pour vivre « comme un vrai gamin »

Toi qui chantes sans tes chaussures

à la colo tu étais roi,

et nous allons trinquer bien sûr

à « l'amitié l'amour la joie »,

tu viens nous parler « d'un vieux con »

qu'a de l'eau jusqu'à la ceinture,

qui refuse de  passer le pont

et qui s'est trompé de mesure,

tu mets en boit' « des petit' boites »

et nous conseilles de « gommer »,

les uniformes que ni la droite

ni mêm' la gauche n'ont supprimés,

Toi qui chantes sans tes chaussures

à la colo tu étais roi,

et nous allons trinquer bien sûr

à « l'amitié l'amour la joie »,

Tu nous dis que « ton cœur est triste »

tu nous dis que « t'as mal aux pieds »,

ce sont bien là des mots d'artiste

pour un amour qui t'a miné,

toi qui chantes sans tes chaussures

à la colo tu étais roi,

trinquons à l'amitié bien sûr

à « l'amitié l'amour la joie »

trinquons à l'amitié bien sûr

à l'amitié l'amour la joie ,,,,,

à l'amitié l'amour la joie ,,,