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LES PLEURS DE MON COEUR
Les pleurs de mon cœur
Sont une chanson
Et je sens mon cœur
Qui bat sans raison
Pour toi
Je ne pense qu'à toi,
Je ne vois que toi
Pour notre amour mon cœur
Aimes- moi !
Dans mon cœur d'enfant
Les rêves se pressent
Et je sens gaiement
La joie qui m'oppresse
Pourquoi ?
Je ne pense qu'à toi
Je ne vois que toi
Pour notre Amour mon cœur
Aimes- moi !Vingt ans ont passés
On s'est retrouvés
Et là sur ce banc
Je veux te parler
à toiJe ne pense qu'à toi
Je ne vois que toi
Pour notre Amour mon cœur
Aimes- moi !Les pleurs de mon cœur
Sont secs à présent
Et toi belle fleur
Plus fière comme avant
Tu vois !Le temps est passé
Sur nos cœurs blessés
De nos anciens bonheurs
Souviens-toiOn a dans nos cœurs
Des souvenirs d’enfants
Refaisant nos bonheurs
Assis sur ce banc
De bois.Il est trop tard à présent
Pour se l’avouer
Et, ne pourra-t’on
Jamais se pardonnerDe n’avoir su simplement s’aimer
Alain SORGE SACEM : T-04.898.794.5
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CORBEAUX DE DIEU
Plaine d’âmes endormies,
Plaine d’âmes pourries,
Oui, c’est ça la vie,
Oui, le monde est pourri.Et, toi tu veux
Par des sermons
Faire croir’ en Dieu
Les enfants ..Et toi t’espères,
T’espères encore
Que la vie peut se faire,
d’ hommes morts.Personne ne veut plus croire
A une si belle histoire----------pont ------
Plaine d’âmes endormies,
Plaine d’âmes pourries,
Oui, c’est ça la vie,
Oui, le monde est pourri.Et Toi, qui croit
Sur cette terre
tuer par ta foi
La misèreEt toi qui veut
Faire croir’ en Dieu
sans le montrer
A nos yeuxPersonne ne peut plus croire
En une si belle histoire
Personne ne veut plus croire
En une si vieille histoireMusique et paroles d'Alain Sorge
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LA CIGARETTE
La cigarette est mon amie
Car elle ne m’a jamais trahie
Avec elle j’ai tout côtoyé
La haine, l’Amour et l’AmitiéElle m’a accompagné
Quand, j’étais au lycée
Je suis devenu grand
Et fier comme Artaban
Quand j’ai su la respirerElle a su me consoler
De mes cauchemars d’enfant
De mes chagrins d’adolescent
Et, de toutes calamitésAvec elle j’étais heureux
J’avais tout ce que je veux
Elle a su me récompenser
Pour mes rêves réalisésAujourd’hui, je suis vieux
Mes yeux, mes oreilles, mes poumons, mon coeur sont foutus
Mais je ne regrette pas de l’avoir tant connue
A l’heure de la mort je savoure encore sa fumée
C’est son odeur et son goût que je regrette le plusJe le savais pourtant
J’étais bien alerté
Elle tue très lentement
Mais j’étais pas presséLaisse-moi encore en tirer une bouffée
Je veux partir avec elle, là-haut, en fuméeAlain SORGE 1944 - ????
http://www.bellespoesies.com/node/6809
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Monsieur SORGE
C'est l'histoire d’un grand espion russe au Japon qui permit d’éviter une défaite russe face aux allemands, défaite qui aurait certainement changé la face du monde
Voir la vidéo
Oh OO Monsieur SORGE
Toi qui fut, un grand espion
Qui sauva des Allemands la Russie.
Pour ne pas avoir à te dire merci
Les manigances et les passions
T’abandonnèrent là-basOh oo Monsieur SORGE
On dit que pour ces gens là
Tout là-bas dans le fonds de ton Japon.
Un homme refusa de donner des noms
Sous la potence il leur cria
On ne m’achète pas.) Il est mort en héros
) Et sans rien dire aux bourreaux
REFRAIN………………… ……… .) Seul il a fait le chemin
) D’une cellule au poteau
) Sans jamais dire un seul mot
) Dans la fraîcheur d’un matinOh O O Monsieur Sorge
On dit que même en prison
Ils sont venus murmurer et lui dire
Un mot, un mensonge pour ne pas mourir
Rien qu’un mot au petit matin
Peut changer ton destinOh O O Monsieur SORGE
On dit que cet agent secret
A subi la loi qu’on avait dictée
Il n’a jamais accepté de parler
Trahissant peut-être ses amis
La mort il a choisiREFRAIN
Oh O O Monsieur SORGE
On dit que cette nuit là
Tout là-bas tout au fin fond de l’Asie
Un homme n’a pas voulu échanger sa vie
Sous la potence il leur cria
On ne m’achète pas
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Errance
De non dit en sous-entendu
De silence en malentendu
De regard en inaperçu
De vouloir en si j'avais su,
De l'amour à l'indifférence
Du mensonge à l'inadvertance
Du tangible à la circonstance
Du demeurer à la partance,
Réalité en rêverie,
Sincérité en fourberie
Fidélité en tromperie,
Enfin sourire en moquerie.
Tumultueux coulent les jours
De matin clair en sombre nuit
De ciel bleu en nuage lourd
De soleil chaud en froide pluie.
De patience en indécision,
Le cœur vaincu par la raison
Laisse évaporer la passion
Et s'évanouir la déraison.
Marie-Noëlle Rinaudo
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