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Par julianrenan le 13 Janvier 2013 à 18:19
HOMMES DES SABLES, HOMMES DES NEIGES
Texte de jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Les hommes des sables, les hommes des neiges
Sont-ils vraiment si différents ,
C’est comme une fable ou comme un manège
Des chevaux noirs, des chevaux blancs
Qui est le meilleur du blanc ou du noir?
Ils partagent la même histoire
Mêm’ couleur de sang, mêmes sentiments
Peut-être des mots un peu différents
Des trous dans la glace et un hameçon,
L’homme du nord veut du poisson.
Creuser dans le sable, se casser le dos,
L’homme du sud cherche de l’eau.
Autre latitud’ mais même manège
Homme des sables, homme des neiges
De savoir souffrir, ils ont l’habitude
Les hommes du nord, les hommes du sud
Creuser dans la glace ou dans le désert
Pour nourrir femmes et enfants
Les mêmes soucis, les mêmes galères
Que les hommes soient noirs ou blancs
Même naufragés et même radeau
Et sous la peau les mêmes os
Même sentiments, même couleur de sang
Il n’est que les maux qui soient différents
Les hommes des sables, les hommes des neiges
Sont-ils vraiment si différents ,
C’est comme une fable ou comme un manège
Des chevaux noirs, des chevaux blancs
Qui est le meilleur du blanc ou du noir?
Ils partagent la même histoire
Mêm’ couleur de sang, mêmes sentiments
Peut-être des mots un peu différents
5 commentaires -
Par julianrenan le 23 Décembre 2012 à 18:36
FLEURS DE NOËL
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Le sol ruisselle et fond, La pluie n’en finit pas
C’est Noël au balcon, bientôt le gel viendra
Mais à la vérité
Il reste encor(e) du vert
Et les prés sont mouillés
Comme en un faux hiver.
Des fleurs toujours subsistent,
D’autres viennent d’éclore
Elles allongent la liste
D’un bien curieux décor.
Le sol ruisselle et fond, La pluie n’en finit pas
C’est Noël au balcon, bientôt le gel viendra
Là c’est un mimosa
Qui vient de refleurir,
Ici un bégonia
Se refuse à mourir.
Tiens encore un bouton,
La fleur d'un camélia,
Le sol ruisselle et fond,
La pluie n’en finit pas.
Le sol ruisselle et fond, La pluie n’en finit pas
C’est Noël au balcon, bientôt le gel viendra
Douze coups vont sonner,
C’est Noël que voilà.
La pluie s’est arrêtée,
Bientôt le gel viendra,
Et la bise d’hiver
Engourdie nos phalanges,
Faisant craquer la terre
Et frissonner les anges.
Allume les lampions, le gel est arrivé
C’est Noël aux tisons, Noël est arrivé
À grandes enjambées
C’est Noël qui s’approche
Entends sur le pavé
Le bruit de ses galoches.
La paix est sur la terre.
La nuit s’est engourdie
Tandis qu’au ciel s’éclaire
Un million de bougies
Le sol ruisselle et fond, La pluie n’en finit pas
C’est Noël au balcon, bientôt le gel viendra
Le sol ruisselle et fond, La pluie n’en finit pas
C’est Noël au balcon, bientôt le gel viendra
4 commentaires -
Par julianrenan le 15 Décembre 2012 à 15:41
CHANTEUR ARMORICAIN
Texte de Jacques mège
Musique et interprétation Julian Renan
C’est un chanteur Armoricain
Et sa voix porte à tous les vents
Cette arme qu’il tient dans la main
Un’ guitare dont il joue souvent
C’est un chanteur Armoricain
La Bretagne il l’a dans le sang
Et la musique est son seul bien
Il chante quelque soit le temps
La guitare qu’il tient dans la main
C’est sa boite à médicament
Et ses notes nous font du bien
Sa voix est un tranquillisant
C’est un chanteur Armoricain
Les yeux tournés vers l’océan
Vers les rivages Américains
Le blues de Nouvelle Orléans
Il joue la musiqu’ des indiens
Des Berbères ou bien du Soudan
Il chante des chants de terriens
Aux autres homm’ la main il tend
A travers tous les continents
Il aime les sons Amers-Indiens
Il aime les musiciens Gitans
Et les chansons des Cap-verdiens
C’est un chanteur Armoricain
Il travaille comm’ un artisan
Il chante pour le genre humain
C’est un artiste de son temps
Il chante depuis si longtemps
Entre les vagues et les embruns
La musique c’est son printemps
Et il vit comme un baladin
La guitare qu’il tient dans la main
C’est sa boite à médicament
Et ses notes nous font du bien
Sa voix est un tranquillisant
A travers tous les continents
Il aime les sons Amers-Indiens
Il aime les musiciens Gitans
Et les chansons des Cap-verdiens
Sa voix est une médecine
Ell’ nous sert de tranquillisant
Mieux que la blanche Colombine
Ell’ nous envoie au firmament
4 commentaires -
Par julianrenan le 15 Décembre 2012 à 15:30
PORT DU BOUT DU MONDE
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Ployant sous la caresse d’une vague gourmande
Des genets se redressent s’accrochant à la lande
Un horizon de cendre sur un océan argent,
Des voiles qui se tendent. et gonflent sous le vent
Un horizon de cendre sur un océan argent,
Des voiles qui se tendent. et gonflent sous le vent
Océan tu berces des rêves d’espoir
Rêves de richesses et rêve de gloire
À la découverte, larguant les amarres
Attendant l’ivresse d’un nouveau départ
D’un nouveau départ
Du soleil en offrande quelques gouttes de sang
Dans le ciel se répandent en éclats de Diamant
Des lames ondulantes roulent en frissonnant
Accrochant à leurs pentes l’écume en longs rubans
Accrochant à leurs pentes l’écume en longs rubans
Océan tu berces des rêves d’espoir
Rêves de richesses et rêve de gloire
À la découverte, larguant les amarres
Attendant l’ivresse d’un nouveau départ
D’un nouveau départ
Quelques marins hagards qui traînent leurs carcasses
Titubent dans le soir vers un hôtel de passes
Ombres que le hasard dépose à marée basse
Les vagues et le brouillard en recouvrent les traces
Les vagues et le brouillard en recouvrent les traces
Les fumées du bar au fond du regard
Parlant des caresses de belles maîtresses
Une belle histoire qu’on voudrait fair’ croire
Mirage d’un soir, au coin d’un trottoir
au coin d’un trottoir
Océan tu berces des rêves d’espoir
Rêves de richesses et rêve de gloire
À la découverte, larguant les amarres
Attendant l’ivresse d’un nouveau départ
D’un nouveau départ
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Par julianrenan le 25 Novembre 2012 à 12:21
LES RÊVES PASSENT
(Arche du temps perdu)
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Quelques pensées qui se glissent
Sur mon papier qui se glace
Avant que l’encre palisse
Et que le temps passe
Il ne faut pas qu’on oublie,
Il ne faut pas qu’on se lasse
Des envies, des utopies
Que le temps efface
Lorsque le miroir se casse,
les regrets nous restent
Dans tous nos rêves qui passent,
Qu’est-ce que l’on cherche ?
Envies et désirs confus
Bateau en cale sèche,
Des rêves il n’en reste plus,
Arche du temps perdu.
De nos doutes et nos faiblesses
Le temps efface les traces
Mais les remords qu’il vous laisse
Sont parfois tenaces
Et les espoirs qui se glissent
S’évanouissent dans l’espace
Reste la trame où se tissent
Les rêves qui passent
Lorsque le miroir se casse,
les regrets nous restent
Dans tous nos rêves qui passent,
Qu’est-ce que l’on cherche ?
Envies et désirs confus
Bateau en cale sèche,
Des rêves il n’en reste plus,
Arche du temps perdu.
On voudrait que se bâtisse
Un destin qui nous dépasse
D’égalité , de justice,
Sortir de la nasse
Qu’une onde libératrice
Lave les doutes et les angoisses
Comme une pluie bienfaitrice
Mais les rêves passent.
Lorsque le miroir se casse,
les regrets nous restent
Dans tous nos rêves qui passent,
Qu’est-ce que l’on cherche ?
Envies et désirs confus
Bateau en cale sèche,
Des rêves il n’en reste plus,
Arche du temps perdu.
Lorsque le miroir se casse,
les regrets nous restent
Dans tous nos rêves qui passent,
Qu’est-ce que l’on cherche ?
Envies et désirs confus
Bateau en cale sèche,
Des rêves il n’en reste plus,
Arche du temps perdu.
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