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Par julianrenan le 12 Août 2012 à 08:31
GARDIENS DE LA PLANÈTE
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Nous sommes des gardiens, tout comme nos aïeux
Nous sommes les gardiens de la planète bleue
Le monde se lézarde, tout peut être sali,
Si nous n’y prenons garde, tout peut être détruit
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, de passage ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, locataire ici bas
La planète sera, ce que l’homme en fera
La planète sera comme l’homme voudra
Ne comptons que sur nous pour pouvoir la sauver
Afin que nos enfants puissent un jour l’habiter
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, de passage ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, locataire ici bas
Ce que sera demain dépend de nos envies
Nous sommes les comptables de tout ce qui vit
La planète où nous sommes sera à nos enfants
Il faut la laisser comme elle était en entrant
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, de passage ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, locataire ici bas
Nous sommes les gardiens du monde que je veux
Nous sommes les gardiens de la planète bleue
Les humains d’aujourd’hui doivent la protéger
Pour que ceux de demain puissent la partager
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, de passage ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, locataire ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, de passage ici bas
Le monde où nous vivons ne nous appartient pas
Et tous les hommes sont, locataire ici bas
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Par julianrenan le 12 Août 2012 à 08:26
STATION MADELEINE
(couloir du métropolitain)
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Nous avions tous deux la vingtaine
Quand dans le métropolitain
J’ai vu ses deux jambes de reine
Et la courbure de ses reins
Les seul(e)s images qui me viennent :
Sont cell’s d’un bonnet Péruvien
Le blanc d’une robe de laine
Et le bleu de ses yeux de lin
J’étais scotché station « Madeleine »
Je n’avais pas l’air très malin
J’aurai tant voulu qu’ell’ fut mienne
Quand je lui ai tendu la main
Je rêvais d’elle en souveraine
Et moi qui n’avais presque rien,
Sauf une écharpe arachnéenne
Achetée à un Guinéen
La chambre donnait sur la Seine
Je m’en souviens par tous les saints
Le soleil derrière les persiennes
Caressait le bout de son sein
Ses cheveux blonds pris dans le peigne
Dans cette chambre aux papiers peints
Et cette toile arachnéenne
Découvrant le bas de ses reins
Et sous ses airs de lycéenne
Moi la main posée sur son sein
On dirait une mise en scène
Les souvenirs sont assassins.
Elle est restée ma souveraine
Et moi toujours homme de rien
J’aurai tant voulu qu’elle revienne
Et chaque jour j’attends en vain
Assis à la station « Madeleine »
Couloir du métropolitain
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Par julianrenan le 5 Août 2012 à 09:53
RADEAU DES AMOURS NAUFRAGÉS
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Bateau des amours naufragés
Le radeau des amours fanés
Est venu mourir à mes pieds
Comme une épave sur la grève
Une carcasse de voilier
Qu’un vent mauvais aurait poussé
Et qui viendrait se fracasser
Sur les rochers noirs de mes rêves
Abandonné par la marée
Au bout de la plage où s’éveillent
Dans les nuages de l’été
Ces amours que le vent balaye.
Les souvenirs d’une tempête
Des bouts de bois, une silhouette
Une ombre surgit du passé
Radeau des amours naufragés.
Et dans cette nuit qui s’achève
Les vagues qui roulent sans trêve
Sont venues gommer sur la grève
Les traces des amours passés
Et l’océan va effacer
La peine et les amours fanés
Et d’autres destins naufragés
Qui viendront mourir sur la grève
Abandonné par la marée
Au bout de la plage où s’éveillent
Dans les nuages de l’été
Ces amours que le vent balaye.
Les souvenirs d’une tempête
Des bouts de bois, une silhouette
Une ombre surgit du passé
Radeau des amours naufragés.
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Par julianrenan le 29 Juillet 2012 à 08:49
MONA LISA
Texte de Jacques Mège
Musique et Interprétation Julian Renan
A quoi rêvait Léonardo ?
À des cieux d’or et de poussière
A ce modèle, à ce cadeau
Aux traits d’une beauté altière
Faisant jaillir de son pinceau
Au milieu d’éclats de lumière,
Un visage sur un tableau,
Des ombres bleues et un mystère
A quoi pensait Léonardo
Penché sur sa planche de bois ?
Peignant la blancheur de la peau
Et le cou de Mona Lisa.
Sait-on ce qu’ell’ lui inspirait
Lorsque s’éteignait la chandelle
Si les rêves qui le hantaient
Allaient jusqu’aux visions charnelles
Et le cœur de Mona Lisa
Sous les habits, sous les dentelles
Savoir pour qui vraiment il bat
C’est une question éternelle.
Ce qui se cache en ce tableau
Rien ne nous est dit ici bas,
Pas une trace et pas un mot
Du mystère de Mona Lisa.
Et la vérité qu’il cherchait
Dans ce visage énigmatique
Restait scellée comme un secret
Derrière un sourire angélique
Sur la planche de peuplier
Où il trimait comme un forçat
Combien de mois, combien d’années
À contempler Mona Lisa
A quoi pensait Léonardo
Penché sur sa planche de bois ?
Peignant la blancheur de la peau
Et le cou de Mona Lisa.
Ce qui se cache en ce tableau
Rien ne nous est dit ici bas,
Pas une trace et pas un mot
Du mystère de Mona Lisa.
Ce qui se cache en ce tableau
Rien ne nous est dit ici bas,
A quoi pensait Léonardo
Penché sur sa planche de bois ?
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Par julianrenan le 25 Juin 2012 à 15:39
AMOURS INSULAIRES
Texte de Jacques Mège
Musique et interprétation Julian Renan
Une belle métisse
Est au fond de mon verre
Et chaque soir s’immisce
En un rêve éphémère
Ce ne sont que prémices
Pour amours incendiaires
Image évocatrice
D’une belle croisière
Refrain
Voir quelques reflets d’or
Sur la voute stellaire
Heureux conquistador
Et course aventurière
Visa sur passeport
Pour amours insulaires
Dans le bouge d’un port
Pas très loin du cap vert.
Voir sa peau de réglisse
Et sa brune crinière
Dans les ombres complices
Le désir s’accélère
Heureuse inspiratrice
Elle est ma passagère
A ses pieds je me glisse
Esclave volontaire
Refrain
Voir quelques reflets d’or
Sur la voute stellaire
Heureux conquistador
Et course aventurière
Visa sur passeport
Pour amours insulaires
Dans le bouge d’un port
Pas très loin du cap vert.
Sur le sable qui crisse
Nouvel itinéraire
Tout au long de ses cuisses
Et ses doux hémisphères
En un doux sacrifice,
A genoux, en prière
Nos étreintes franchissent
Les ultimes frontières
Refrain
Voir quelques reflets d’or
Sur la voute stellaire
Heureux conquistador
Et course aventurière
Visa sur passeport
Pour amours insulaires
Dans le bouge d’un port
Pas très loin du cap vert.
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